Pax et le petit soldat

Ce roman d'aventures écrit par Sara Pennypacker, dans la collection jeunesse de Gallimard est une belle découverte, une pépite que Clémence ma petite fille m'a proposée de lire un jour.
Elle rêve d'apprivoiser un renard.
En attendant ce jour!
Elle se coiffe volontiers d'un grand bonnet, sorte de camouflage représentant un goupil plus vrai que nature.
Elle accumule tout ce qui évoque les renards, dessins, livres, dessus de théière, vêtements, que sais-je encore.


Suivre les pas de ce garçon m'a semblé une chose bien naturelle, mais ce roman d'aventures est plus dans l'esprit de l'appel de la forêt de Jack London, que de la bande dessinée "le vilain méchant loup" qui tourne en bourrique un renard.


Que Peter le héros de ce roman d'aventures, souhaite apprivoiser un animal de compagnie, n'est-ce pas, ce que souhaite bien des enfants.
Quand on apprend le décès de sa maman, nous savons, que nous irons à la rencontre d'une histoire singulière. Peter a 7 ans, et le psychologue le trouve rongé par les remords, sidéré, perdu dans un mutisme qui le plombait.


"Si peu de temps après avoir vu le cercueil de sa mère s'enfoncer sous la terre, il avait ressenti un besoin irrépressible d'enterrer le cadavre d'un petit renard écrasé par une voiture. Recherchant un endroit adapté il avait trouvé le terrier, trois corps inanimés, froids et raides de renardeaux et une petite boule de poils chaude qui respirait encore. Il a mis Pax dans la poche de son pull, l'a ramené à la maison et a dit à son père page 61 :
-- je vais le garder."


Un vrai défi attends le jeune Peter. Il lui faut sauver un jeune renardeau, puis l'instruire, et malgré ses capacités de plus en plus spectaculaires, Pax devenant rapidement un renard adulte, il devra naturellement s'imposer pour être respecté.


On assiste avec émerveillement à cette métamorphose touchante et pleine d'espoir.
Après leur séparation imposée par le père de Peter, à cause des hommes et de leurs guerres, Pax devra faire l'expérience de la solitude, et de la survie dans un milieu qu'il ne connaît pas.
Il rencontre d'autres renards mais il découvre étrangement cette odeur, sur lui, qui n'est pas celle de ses congénères mais celle des humains.


Dans le langage animal, traduit en italique, les uns et les autres lui disent, "oh mais tu sens les humains", ou bien "des humains ne font pas cela".
Après sa rencontre avec le vieux renard il va se faire deux amis Avorton et Hérissée.
Apprendre comment vivent les renards est un long apprentissage surtout quand ils cherchent à se nourrir. Sa lente éducation dans le monde des canidés, est l'oeuvre de la fauve Hérissée, la renarde l'accompagne jusqu'au bout de ses tentatives, pour imiter ses gestes, il finira par croquer son premier petit mulot ; devenu un chasseur il se rendra compte que "son odeur d'humain a disparu".



Les deux amis Peter et Pax se croisent et se recroisent souvent de loin à travers les récits que dessine Sara Pennypacker, chacun s'accomplira sur le chemin pour lequel il est prédestiné.
L'amitié entre Pax et Peter ne fera que se renforcer et se justifier établissant un pont entre deux mondes.

La nature considérée comme le monde sauvage et l'autre si peu civilisé au regard du déroulement de la guerre, exhument beaucoup de symboles. En deuxième lecture ce livre si attachant, est un vrai livre d'écoute et d'éducation sur la nature, sans parti pris et sans masquer les réalités des uns et des autres dans une langue simple, sensible et émouvante.
Une très belle réussite.

Une jolie histoire pour enfant de 10 ans et + et pour… adulte aussi, ayant encore l'âme d'enfant. Peter va s'enfuir de chez son grand-père pour rejoindre Pax que son père, qui s'est porté volontaire à la guerre, l'a forcé à abandonner dans la forêt, à 500 kilomètres de là. Pax est un renard et ils sont unis depuis leurs plus jeunes âges, après la mort de leurs mères. Lors de son parcours, il sera blessé et recueilli par une dame qui vit isolée. Leurs échanges les aideront l'un et l'autre. Les chapitres sont alternés par les deux héros qui ne désespèrent pas de se retrouver.

Peter a 12 ans quand la guerre éclate. Orphelin de mère, il vit seul avec son père et Pax, un renard qu'il a sauvé quand celui-ci était tout petit. Son père qui doit s'enrôler pour la guerre, emmène Peter chez son grand-père à 500 kilomètres de là et abandonne Pax dans une forêt. Mais Peter n'accepte pas cette décision ; il fuit le lendemain de son arrivée. Alors qu'il revient sur ses pas, il se blesse et trouve refuge chez Vola, une femme étrange qui le soigne. Au fil des jours, Peter et Vola apprennent à mieux se connaître et tous deux vont s'entraider à aller mieux. Pendant ce temps, Pax qui n'a jamais connu autre chose qu'une maison, va découvrir la nature et rencontrer Hérissée, une jeune renarde farouche, son jeune frère Avorton et Gris, un vieux renard plein de sagesse. Mais en temps de guerre, la nature recèle bien des dangers. Pax réussira-t-il à s'en sortir seul ? Retrouvera-t-il Peter ?

J'ai emprunté un peu par hasard ce roman à la médiathèque de ma commune, attirée par la couverture montrant un renard contemplant l'horizon. Aimant beaucoup les histoires d'animaux et notamment celles de renards, animaux que je trouve mystérieux et attachants, j'ai tenté l'aventure avec ce roman jeunesse.
D'ailleurs, je m'interroge car ce livre est-il vraiment destiné à un jeune lectorat ? Certes, l'histoire avec ces animaux touchera probablement les plus jeunes mais il y a quand même beaucoup de violence (celle de la guerre) et certains passages sont très tristes. J'ai même sauté un chapitre pour lire plus vite (cela ne m'arrive jamais !) pour savoir si le renardeau allait s'en sortir. J'avais une vraie boule au ventre.
La fin du roman a été pour moi assez inattendue mais émouvante, je n'en dirai pas plus pour préserver le suspense.
J'ai apprécié aussi la construction du roman qui fait alterner dans chaque chapitre un coup le petit garçon et un coup le renard.
Certaines scènes ne paraissent pas très réalistes, je pense qu'il faut parfois laisser aller son imagination et accepter aussi un certain flou dans les détails de l'histoire (on ne sait pas où ni quand se passe l'action).
Ce roman m'a fait penser à "Cheval de guerre" de M. Morpurgo que j'avais trouvé vraiment émouvant, deux histoires d'amitié magnifiques entre des hommes et des animaux par temps de guerre et aussi au film "Le renard et l'enfant" que j'aime beaucoup.
Pour conclure, je pense que cette histoire peut être lue par de jeunes lecteurs mais plutôt par des adolescents, pas avant la classe de 5ème-4ème par exemple.
Ce roman a été élu meilleur roman 2016 par un journal américain à juste titre selon moi.

Comme j'avais beaucoup aimé le château des papayes, quelqu'un céans m'a gentiment conseillé ce titre. Ça tombe bien, la bibliothèque aussi en le mettant en exergue là où j'avais trouvé l'autre bouquin.
Je vous avoue que je n'y suis pas allée le coeur léger. Un renard apprivoisé, un garçon, on se doute comment ça va finir, et moi, gamine, Rox et Rouky m'a tellement traumatisée que je n'ai JAMAIS voulu le revoir. Bref en fait fallait pas s'inquiéter, PARCE QUE LE LIVRE COMMENCE EXACTEMENT DE LA FAÇON DONT JE CRAIGNAIS QU'IL SE TERMINE.

Hahaha
(snif)
Déjà que l'automne j'ai le coeur en berne, là j'ai commencé ma lecture en pleurant (bon en vrai j'ai juste tremblé du menton, en soirée je lis à côté de mon Faune, fallait pas qu'il s'inquiète) et je l'ai terminé de la même façon (en pleurant pour de vrai, mon démon était couché). Et je dois dire que j'étais pas joyeuse au milieu non plus.
C'est extrêmement bien écrit.
Décrit.
Rendu.
Quelle infamie pour ma mélancolie.
C'est tellement bien fait.
Que c'est atroce.
C'est beau
Mais version larmes.
Ça raconte l'abandon, la recherche pour retrouver le passé, l'injustice, la métaphore de qui grandit et devient independent, les liens entre les êtres qu'ils soient ou non de la même espèce, ça raconte l'amour par dessus tout.

J'ai beaucoup aimé
Mais purée que c'était dur
j'avais vraiment pas besoin de ça
Et c'est un livre jeunesse...
D'façon j'm'en fiche, quand on demande mon âge je réponds toujours que j'ai quinze ans.
Et en fait, au vu de mes larmes (OH ÇA VA JE M'EN DOUTAIS POURTANT), les quinze ans seulement, je les ai encore pour de vrai.

Une histoire d'amitié entre un enfant et un animal, ce n'est pas très nouveau. Ce qui est nouveau, dans le roman de Sara Pennypacker, c'est de mettre cette histoire en résonance avec un contexte de guerre. Il ne s'agit pas d'une guerre particulière de l'histoire mais d'une guerre "type", générique, représentative de toutes les guerres, avec son cortège de séparations douloureuses, de destructions, de souffrances... À travers la séparation que vivent Peter et Pax, les dangers qu'ils affrontent, l'auteure veut sensibiliser ses lecteurs aux souffrances des innocents pendant les conflits, que ce soient les enfants ou les animaux, abandonnés à eux-mêmes lorsque leurs maîtres fuient les combats.
La guerre n'est pas omniprésente, c'est une toile de fond, une menace qui se précise et se referme sur les deux protagonistes. le reste du récit raconte en alternance les aventures qu'ils vivent, les dangers qu'ils affrontent et les rencontres qu'ils font. C'est très bien écrit. On ne s'ennuie vraiment pas. C'est aussi poignant par moments.

Pax et le petit soldat est un roman riche et profond qui sort du lot dans la littérature jeunesse.

Challenge Romans Jeunesse 2023

A la lecture de ce roman, je n'ai pu m'empêcher de faire un parallèle avec le dessin animé “Rox et Rouky” et cette scène poignante (qui m'arrache encore des larmes à chaque fois) où la Veuve Tartine est contrainte d'abandonner Rox dans la forêt… (Rox, Pax, coïncidence ?) C'est donc le coeur serré que j'ai tourné les premières pages.

Peter a sept ans lorsqu'il recueille Pax, un renardeau orphelin. Depuis, l'enfant et le renard sont inséparables. Mais voilà, le papa de Peter s'en va faire la guerre et ce dernier doit aller vivre chez son grand-père. Malheureusement, Pax est de trop et ne peut l'accompagner. Peter, obéissant, s'y résout à contre-coeur avant de regretter amèrement son choix… Alors, malgré les dangers, il décide de retourner chercher son renard.

Le récit est à deux voix, il alterne des chapitres, plutôt courts, entre Peter et Pax. le lecteur suit donc les aventures de l'un et l'autre ainsi que leurs ressentis face à cette séparation soudaine.

De manière générale, à l'instar de “Croc-Blanc” ou de “Bari, chien loup”, j'affectionne particulièrement les histoires où l'on adopte le point de vue de l'animal. L'autrice, bien que s'aménageant certaines libertés, a tenté de reproduire le comportement des renards au plus près de la réalité. Et j'ai vraiment apprécié cet aspect !

Ce livre, axé jeunesse, est émouvant. de nombreuses thématiques sont abordées, avec mélancolie, douceur et parfois de manière un peu plus abrupte : le sentiment d'abandon, la mort, le deuil, la résilience, la guerre et ses conséquences… On ressent la douleur et le malheur des personnages mais l'on sent également combien une rencontre, une main tendue, un pas vers l'autre peut nous sortir de notre torpeur, de notre solitude, et tout changer.

C'est le récit d'une quête, plus complexe qu'il n'y paraît, car au travers de Pax, Peter se recherche lui-même. Et tous les personnages, écorchés vifs, ont quelque chose à s'apporter. (J'ai d'ailleurs beaucoup apprécié Vola, sa folie et sa sagesse !)

Bref, le dénouement de ce roman, bien que touchant et juste, n'en est pas vraiment un. J'ai ressenti comme un goût d'inachevé… On veut en savoir plus, c'est trop vague. Impossible donc de passer à côté du tome 2, dont j'attends la sortie poche avec impatience !

Challenge Multi-Défis 2023
Challenge ABC 2022-2023

L'histoire touchante d'une amitié profonde entre un enfant et son animal. Peter a perdu sa maman, son père est un homme distant voire violent, et l'on sent que le jeune garçon reporte toute son affection sur ce renard aux sentiments indéfectibles. Son trajet, à pieds, de plusieurs centaines de kilomètres, pour retrouver son ami, est un véritable parcours initiatique. Blessé, il est recueilli par Volva, une vieille femme un peu bourrue vivant en marge de son village. A ses côtés, Peter apprendra la patience et mettra toutes les chances de son côté pour mener à bien la mission qu'il s'est donnée.

En parallèle, on suit Pax le renard apprivoisé en mode survie dans la forêt. Lui aussi ressortira "grandi" de son expérience auprès des renards sauvages, Gris le paternel, Hérissée la méfiante et l'attendrissant petit Avorton. Par contre j'ai trouvé la fin très triste, même si elle est cohérente.
Il existe une suite à cette histoire: "Le chemin du retour".
Lien : https://www.takalirsa.fr/pax..

Voila un bien joli roman jeunesse qui conte une belle ode à l'amitié entre l'homme et l'animal où chacun est avant tout le compagnon de l'autre.

Le concept de la responsabilité de l'autre est par conséquent très fort dans l'histoire et parfaitement en lien avec l'idée de l'amitié entre l'espèce humaine et l'espèce animale. le fait d'avoir et d'être apprivoisé est magnifiquement traité entre les personnages principaux. le tout est sublimé par un récit parfait pour la période automnale avec son décor forestier et la chute de la nature et des couleurs qui arrivent parallèlement avec l'arrivée de la guerre. Un passage à la fois beau et triste de la vie à la mort.
C'est donc évidement aussi un roman sur la guerre, de comment elle s'annonce au loin et change déjà tout avant même d'arriver sur les lieux visés. de comment la guerre peut supprimer une identité mais également révéler la personne que l'on est. Tout comme "l'appel de la foret", l'animal longtemps endormi (dans le coeur de toutes les especes) se laisse aller à ses instincts primaires et retrouve les joies de la liberté, de l'être qu'on avait laissé derrière soi.

Le petit bonus reste sans consteste l'objet livre qui est magnifique ! On ne le dira jamais assez donc on félicitera encore une fois Jon Klassen pour la magnifique couverture de ce roman et la mélancolie qu'elle dégage.

C'est l'histoire de Pax, le renard et de Peter, son garçon. Peter a 7 ans lorsque sa mère décède. Peu après il trouve Pax, seul renardeau survivant d'une portée, au fond d'un terrier. Il décide de le garder et de l'élever comme un animal de compagnie.
Cinq ans plus tard, la guerre fait rage et le père de Peter s'engage. Alors que Peter doit aller vivre chez son grand-père, son père estime que ce dernier est trop vieux et trop bougon pour supporter un animal. Il contraint donc Peter d'abandonner Pax dans la forêt. Mais Pax n'a jamais vécu à l'état sauvage et encore moins hors de la maison et le garçon regrette immédiatement ce geste. Une fois chez son grand-père, à des centaines de kilomètres de son renard, Peter décide de partir à pied récupérer son renard. C'est une grande aventure qui commence, à la fois pour Peter mais aussi pour Pax…

Je ne le répéterai jamais assez mais les romans jeunesse ne s'adressent pas qu'aux enfants (ou ados) et j'ai eu grand plaisir à partager les vies de Peter et de Pax durant cette lecture. Les chapitres alternent ces deux personnages et beaucoup de réflexions sont menées sur le lien entre les humains et les animaux. Les thématiques de la guerre, de l'amitié mais également de la violence au sein de la famille sont amenées avec habileté tout au long du récit. Une très belle histoire à recommander aux jeunes et aux moins jeunes.

C'est mon deuxième roman que je lis avec la plume de Sara Pennypacker et j'ai beaucoup aimé. Je conserverai toujours une petite préférence pour le château des papayes en raison des thèmes ou du personnage principal qui m'a beaucoup touchée. Cependant, ce roman est très touchant, riche en enseignements et très intéressant. L'autrice confirme tout le bien que je peux penser de ses romans et je suis impatiente de découvrir ses prochains textes.

L'histoire nous présente le petit Peter obligé de quitter sa maison pour aller vivre chez son grand-père à cause de la guerre. Sur le chemin, il doit abandonner Pax, son renard. Malheureux, isolés, perdus, les deux personnages vont vivre de grandes aventures pour tenter de se retrouver. C'est une histoire très touchante, riche en émotions qui aborde plusieurs thèmes comme la famille, le deuil, l'abandon, la nature, le lien entre un enfant et un animal, le lien entre l'humain et la nature, la guerre, l'infirmité. C'est un texte très mature et sombre que propose l'autrice, mais qui a de la puissance et une élégance délicate.

J'ai beaucoup aimé le personnage de Vola qui fait un mentor extraordinaire pour le jeune Peter, j'ai adoré son histoire ainsi que ses enseignements. Ses répliques visent juste, elle est aussi forte que sensible, je l'ai trouvé formidable et son lien avec Peter était très amusant. La relation entretenue entre Pax et Peter est bouleversante et percutante, elle est magnifiquement bien décrite au fil de l'histoire et m'a beaucoup touchée. Je n'ai pas aimé la famille de Peter, son père et son grand-père ne sont pas de chouettes personnes, le père de Peter étant le pire du lot. Si je n'ai pas été charmée à 100 % par Peter, j'ai tout de même apprécié sa personnalité et sa sensibilité ainsi que son évolution.

Mon gros coup de coeur revient à Pax, et à tous les chapitres où il apparaît. Parce que l'autrice a su rendre ces passages incroyable et passionnant ! J'ai adoré les descriptions de la nature, les rencontres que Pax va faire, j'aime énormément la manière dont les renards s'expriment, leur façon de percevoir les humains et ce qui les entoure. Ça donne des chapitres uniques et prenants. J'ai bien aimé les renards rencontrés, ils sont très touchants et sympathiques.

La plume de Sara Pennypacker est parfaite. Précise pour donner du relief et de la vie aux animaux, aux paysages. Juste pour donner le ton et les émotions. Vibrante pour évoquer tous ces thèmes sans sombrer dans le trop ou le pas assez. le texte file avec fluidité tout en applaudissant le travail d'écriture de l'autrice. Et les illustrations de Jon Klassen – dont j'avais découvert le travail avec son excellent album jeunesse « Je veux mon chapeau » – sont splendides ! La couverture est superbe avec ces tons d'automne et cette palette plus terne au fond pour évoquer la guerre. Je regrette presque que les illustrations à l'intérieur soient en noir et blanc, parce qu'il a vraiment un chouette coup de crayon pour les décors et les animaux.
Lien : https://la-citadelle-d-ewyly..