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EAN : 9782370730121
256 pages
Allary Editions (22/09/2016)
  Existe en édition audio
4.04/5   502 notes
Résumé :

Et si nous changions de regard sur l'échec ?

En France, échouer est mal perçu. Nous y voyons une faiblesse, une faute, et non un gage d'audace et d'expérience.

Pourtant, les succès viennent rarement sans accroc. Charles de Gaulle, Rafael Nadal, Steve Jobs, Thomas Edison, J.K. Rowling ou Barbara ont tous essuyé des revers cuisants avant de s'accomplir.

Relisant leurs parcours et de nombreux autres à la lumière d... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (60) Voir plus Ajouter une critique
4,04

sur 502 notes
Charles Pépin est un philosophe français contemporain que je voulais découvrir.
J'attendais un livre sur le statut de l'erreur, "échec" ayant une connotation négative, sauf au jeu homophone.
Dans ce livre, il essaie de démontrer, par une écriture plutôt psychologique, mais appuyée sur des bases philosophiques, que « l'échec » ne doit pas être la catastrophe que les petits Français de CM2 envisagent. L'esprit français de l'école par rapport à l'échec est celui d' une honte, dont il faut effacer tout-de-suite le souvenir.
Or, l'école finlandaise, dont les résultats PISA sont excellents, les américains, qui ont le sens de la réussite, et même Charles de Gaulle, sont des exemples inverses : mille fois sur la tâche ils sont revenus, afin de persuader, malgré l'adversité. De Gaulle a toujours eu une certaine idée de la France, et s'est évadé plusieurs fois des camps allemands en 1917, a proposé en 36 d'écraser Hitler quand il était encore petit, n'a eu que 300 résistants avec lui au début lors de son « appel »...
Pépin prend beaucoup d'autres exemples de gens connus qui ont essuyé des échecs avant de réussir comme Steve Jobs ou Rafa Nadal.
L'exemple de Jean Christophe Rufin ( lisez « Le grand Coeur » ) m'a sidéré :
bloqué dans ses projets en médecine, il va en humanitaire. Puis barré en humanitaire, il opte pour la politique...Et enfin il trouve sa voie de libre expression : l'écriture !
.
Je dois avouer que ce livre, très fluide, bien parti initialement, m'a laissé un goût bizarre au fond de la bouche en fin de parcours, et, chose rare chez moi, j'ai fini par retirer une étoile.
En effet, c'est le bazar, ça part dans tous les sens, il y a trop de citations, comme chez Montaigne, pas assez de Pépin, comme si l'auteur n'était pas sûr de lui.
Enfin, ça fait finalement trop « recettes de développement personnel », un genre de livres que je n'aime pas. J'ai pourtant en « gamma » le DP, mais c'est la faute de babelio qui n'a pas de case « Esprits et âme », alors je place mes bouquins sur le spiritisme en DP et en Ésotérisme ( une rubrique qui ne correspond pas non plus et fait trop charlatan ).
.
Au final, je suis d'accord avec l'auteur sur le plan pédagogique, mais pour moi, prof comme Pépin, il enfonce des portes ouvertes : je n'ai jamais sanctionné exagérément les hors sujets ou les élèves bizarres, ayant moi-même été bizarre. Ce qui est intéressant, c'est qu'il encourage « les apprenants » à explorer les pistes qu'ils creusent naturellement. Si j'avais suivi son exemple, j'aurais été un autre Pinninfarina ou un Bertone... Mais...

... je suis très content de mon sort : )
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Les vertus de l'échec, c'est un peu l'art de se faire plaisir en ratant les marches ? Masochisme ou pas ? Je positive.

La mort du roi est pour les uns un bienfait et pour les autres une épreuve. En persan, Shâh mât, Echec et mat, est à l'origine du mot échec, échec c'est le drame, car le roi est bien mort, et le vainqueur lève la poing.
La vertu, désigne l'énergie morale, la force, en latin vir, en bon chrétien c'est la recherche du bien pour autrui.

Les vertus de l'échec en résumé, ce sont donc les énergies morales et les forces à mettre en oeuvre pour abattre le roi ! Voila une proposition complexe, que Charles Pépin, nous propose de disséquer en 200 pages dans les allées du pouvoir.

Au jeux d'échecs, le roi est le dernier à tomber, c'est lui qui marque le succès ou l'échec. Quel profit en effet, de manger une dame ou un fou, c'est le roi qui compte, l'objectif c 'est le roi.
Comment atteindre son but malgré les échecs, tel est l'ambition de ce livre "les Vertus de l'Échec."

L'imprudence de Charles est d'avoir choisi des individus ayant une très forte confiance en eux, parfois imbus d'eux mêmes et qui ont développé des stratégies utiles pour remplacer le roi !
Faut -il les en blâmer !
Quel intérêt à montrer à un enfant en échec scolaire que De Gaulle, à essuyé un échec, que le patron d'Apple Steve Jobs s'est trompé, mais pour mieux rebondir ensuite.


Pour les ambitieux les winners, cette bible a été conçue pour vous, pour être le n°1 du tennis français, ou le N° 1 des navigateurs solitaires, et pour vous l'échec est la clé de la réussite, par la vertu de la détermination, de la persévérance, et de la combativité.


Ainsi dans la vie on se crée des objectifs démesurés, on cherche à faire tomber le roi, imprudente erreur, il suffit de choisir une autre cible, de dédaigner la première, trop prétentieuse et grâce à mes vertus, modestie, perspicacité, force de caractère je contourne l'échec et dédaigne le roi.

Le choix de la cible ou l'art de l'esquive, est pour moi une réponse aux Vertus de l'Échec, le traité de Charles Pépin y répond partiellement.

N'ayant crainte d'essuyer un pépin, ou un orage, je choisis la tour, et l'abattit, pour moi le tour était joué, foin de moi l'échec annoncé par la règle du jeu, je me conduisis en vertueux, Tour prends garde à toi, et j'en fis mon domicile.

Ainsi, la réponse adapté et sage à la question qui taraude le ministère de l'éducation nationale ; -que faire en cas de d'échec scolaire?- c'est d'aider l'enfant à choisir sa voie, choisir son objectif, et de proposer un redoublement choisi, ou une activité où il peut progresser, et lui apprendre à trouver sa tour.

La sagesse chinoise du tao est justement de ne pas se vanter, de ne pas jalouser celui qui a plus, et bien sur, ne pas agir délictueusement pour le remplacer. C'est aussi la mienne.

la deuxième remarque concerne cette idée, que la dépression est comme une faiblesse de caractère? En voilà une idée fausse que je n'imaginais pas trouver sous la plume de Charles Pépin qui ajoute ; « Les symptômes de la dépression indiquent qu'il y a, "sous le capot" de la conscience, quelque chose à éclaircir, à déchiffrer, ou à entendre ».
Le burn-out touche souvent les gens les plus vertueux les plus consciencieux. Il faut lire impérativement le livre le Poisson Pourrit par la Tête de Michel Goussu.
En conclusion de cette thérapie proposée par Charles Pépin.



"Échouer, c'est souvent en effet « redescendre sur terre », cesser de se prendre pour Dieu ou pour un être supérieur, guérir de ce fantasme infantile de toute-puissance qui nous conduit si souvent dans le mur." Cette phrase résume celle que j'ai posé de façon un peu humoristique, "Les vertus de l'échec ou l'art de se faire plaisir en ratant les marches".

Réussir sa vie est autre chose, c'est se focaliser vers d'autres enjeux, choisir sa tour, elle sera belle car ce sera la votre, c'est mettre en pratique l'art de l'esquive, que l'on retrouve chez Henri Laborit l'éloge de la fuite.

Gagner est un autre défi. Pour ce défi l'échec est le carburant de la performance, de l'excellence, de la mise en orbite de toute la machine, tester et qualifier chaque centimètre d'une carlingue, Pépin répond à ce défi celui de Fédérer et de Churchill. Il ne répond pas à l'échec scolaire qui était son but.

Pour ma part prenez le courant qui vous convient, selon vos désirs.


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Pour avoir eu une petite formation scientifique, je sais que l'échec fait partie du jeu : trouver une théorie brillante, la tester et prouver qu'elle était fausse, ça fait peut-être mal à l'égo sur le moment, mais ça fait progresser tout le monde. Dans un autre registre, je suis en train d'apprendre une langue étrangère et le même problème se répète souvent : choisir de ne rien dire plutôt que de se risquer à la honte d'une phrase mal formulée. Aussi étais-je tout acquis au propos du livre.

Pourtant, j'ai un gros problème avec lui. C'est un livre sur l'échec, mais ça ne parle finalement que de réussites spectaculaires : des grands sportifs, des grands chefs d'entreprise, des militaires, etc. qui sont passés par plusieurs échecs retentissants avant de briller sous les feux de la rampe. Comme si connaître l'échec n'était finalement qu'une étape obligatoire pour pouvoir connaître ensuite le succès de manière certaine, une sorte de monnaie d'échange.

Au final, j'ai plutôt eu l'impression de me retrouver face à un séminaire de pensée positive, à base de « quand on veut, on peut » répétés en boucle. D'autant que cette accumulation de témoignage ne repose que sur le biais du survivant, et oublient de préciser qu'après des échecs, une large partie de la population ne connaîtra qu'un autre échec, ou un succès si mesuré qu'il compensera à peine les coups des essais précédents.

Et justement, ce n'est pas grave ! Ce sont plutôt ces développements-là qui m'auraient intéressé : comment vivre l'échec en lui-même, sans forcément essayer de lui trouver une contrepartie positive qui arrivera forcément plus tard. On les voit parfois poindre de temps en temps avec des références au stoïcisme antique par exemple, ou la constatation que les regrets font mal plus longtemps que les échecs, mais ils disparaissent bien trop vite à mon goût. Même les passages qui décrivent des expériences en tant que prof face à des élèves banals a plus d'impact à mon sens que les réussites spectaculaires de stars.

­À mon sens, un livre qui manque un peu sa cible : quand on est au sommet d'une vie brillante, ce n'est pas compliqué de se retourner et de considérer ses erreurs avec bienveillance. C'est qu'on est dans le dur qu'on a besoin de conseils, et à mon sens, on en trouvera bien trop peu dans cet ouvrage.
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J'aimerais dire à quel point j'ai aimé ce livre de Charles Pépin. Vraiment un grand merci à l'auteur.

L'auteur nous éclaire sur le thème de l'échec et de la résilience. J'ai trouvé que les chapitres étaient superbement bien écrits. Charles Pépin donne beaucoup d'exemples, notamment des personnalités qui ont échoué à plusieurs reprises et qui ont bien su revenir après et trouver leur chemin.

C'est une lecture qui m'a beaucoup inspirée et qui m'a pris du temps aussi. Je pense que j'ai dû me laisser pas mal de temps et d'espace pour digérer chaque chapitre.

C'est un ouvrage plein d'optimisme donc vraiment, lisez-le!
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Eux : Vous enseignez quoi ?
Moi : Entre autres, l'échec !
Eux : Vous êtes un grand maître alors ?
Moi : Non cela ce sont les échecs ; moi c'est l'échec que j'enseigne…
Eux : Ah ?! Mais cela consiste en quoi alors d'enseigner l'échec ?
Moi : Bien je parle de mes échecs, des échecs des autres,…
Eux : Mais vous m'avez dit de …
Moi : Ok. J'enseigne la « failure ».
Eux : La fêlure ? des couples ? des vases ? des os ?
Moi : Non la « failure ». Comme dans la « sucessfull failure » dans Apollo XIII ; vous savez bien le film avec Tom Hanks et « Houston, we have a problem », Tom Hanks,…
Eux : … et vous savez si Tom court toujours ?

Avec ce préambule, vous comprendrez que je ne suis pas vierge sur le sujet de l'échec et sur les écrits sur l'échec. Ce n'est donc pas Les vertus de l'échec qui m'a permis de déflorer le sujet. Bien au contraire, j'enseigne L'art de l'échec ou comment réussir à échouer pour mieux réussir par la suite.

A quelques jours de commencer une nouvelle session de cours, je suis tombé sur ce livre de Charles Pépin. Après avoir vite lu le quatrième de couverture, je me suis dit que ce bouquin pourrait peut-être me servir même si mon cours est dans la langue de Beckett. D'habitude on dit la langue de Shakeaspeare mais je fais volontairement référence à Thomas Beckett : Beckett a écrit Cap au pire, un livre souvent cité pour parler d'échec et notamment parce qu'il y écrit « Essayer encore. Rater encore. Rater mieux encore. Ou mieux plus mal. Rater plus mal encore. Encore plus mal encore. »

Je vais être (ou du moins je vais essayer) ici aussi bref* que ma lecture aura été rapide. Je n'ai strictement rien appris dans la mesure où Charles Pépin ne fait que recycler des choses archi rabattues sur Thomas Edison, André Agassi, Steve Jobs, J. K. Rowling et bien d'autres - à part sur Barbara dont je ne connaissais pas le parcours vu que sa musique ne me passionne pas. Ainsi, il n'y a pas une technopole, un incubateur ou une structure de ce type dans le monde où la phrase de Thomas Edison « I have not failed. I've just found 10,000,ways that won't work » n'est pas affichée. de même, le web foisonne d'extraits du commencement speech de J.K. Rowling à Harvard et l'histoire de sa vie a été maintes fois racontées ici et là. Et ne parlons pas de l'histoire Steve Jobs.

Certes, le point de vue de Charles Pépin est de partir du constat que l'échec est peu étudié par les philosophes. Pour autant, son traitement est décevant de ce point de vue : il ne suffit pas de citer deux ou trois philosophes pour traiter le point de vue de l'échec sous l'angle de la philosophie et des philosophes.

Au surplus, Charles Pépin n'a strictement aucun regard critique sur l'engouement pour l'échec venu de la Silicon Valley ou de ses avatars (comme les Fuck Up Night) et qu'il ne fait que répéter et diffuser. Dans The Other F word, John Danner et Mark Coopersmith, tout en proposant une lecture de la « failure » et de son utilisation par les leaders, équipes ou entrepreneurs intelligents, se démarque de cet enthousiasme très siliconien** et leur livre est infiniment plus intéressant que celui de Charles Pépin ; et que dire d'un Karl Weick ou d'un Pascal Finette dont les lectures sont plus que dignes d'intérêt.

Il restera dans ma bibliothèque un livre jaune bien tape à l'oeil - je pense que je n'en n'avais pas de cette couleur - mais à la lecture dispensable***.

* Ce qui cadre bien avec le nom de l'auteur.
** Voir aussi La silicolonisation du monde d'Eric Sadin sur ce thème.
*** Et dont je me serai bien passé si j'avais su.
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Citations et extraits (106) Voir plus Ajouter une citation
… nous constatons que nous aurions préféré, quitte à échouer, avoir au moins essayé. Dans une de ses chanson les plus émouvantes, Les Passantes, Georges Brassens raconte ce manque d'audace et ses conséquences parfois douloureuses.

"Je veux dédier ce poème
A toutes les femmes qu'on aime
Pendant quelques instants secrets"

Ces "instants secrets" sont ceux où nous hésitons, sans trouver le courage d'engager la conversation. Il décrit ensuite différentes figures de femmes, que l'homme n'ose aborder :

"A la compagne de voyage
Dont les yeux, charmant paysage
Font paraître court le chemin
Qu'on est seul peut-être à comprendre
Et qu'on laisse pourtant descendre
Sans avoir effleuré sa main"…

Puis conclut sur l'amertume qui risque de nous gagner, au seuil de notre vie, en songeant à toutes ces occasions que nous n'avons pas pu saisir...
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Qu'est-ce qu'un dépression sinon une invitation, particulièrement douloureuse, à ouvrir une fenêtre sur ce que nous ne voulons pas voir ? C'est même probablement la fonction de la dépression : nous forcer à nous arrêter pour nous interroger sur nous-mêmes, sur l'écart entre notre existence et ce que nous en attendons, sur nos dénis, nos désirs inconscients. Combien d'entre nous ne se sont jamais interrogés sur leur inconscient avant de connaître cet effondrement psychique ? Il semble qu'il faille, ici aussi, que cela ne marche pas pour que nous daignions nous demander "comment ça marche". Les symptômes de la dépression indiquent qu'il y a, "sous le capot" de la conscience, quelque chose à éclaircir, à déchiffrer, ou à entendre. Ce peut être alors le début d'une aventure salutaire, le commencement d'une psychanalyse qui nous rendra plus conscients de nous-mêmes, plus lucides sur notre complexité, en un mot plus sages.
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Être existentialiste, c'est penser qu'une vie ne suffira de toute façon pas à épuiser tous les tous les possibles. Reste à ne pas trop passer à coté d'eux.
La mort est d'autant plus un scandale que la vie est pensée non comme essence ou valeur éternelle, mais comme "projet". Être existentialiste, c'est redouter que le succès dans une voie ne nous y enferme, et nous conduise jusqu'au terme de notre vie sans savoir qui nous sommes. Contre la vision habituelle, c'est valoriser l'échec comme ouverture du champ des possibles : échouer plus, finalement, c'est exister davantage.

L'échec comme chance de se réinventer, p. 96
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"Une très grande série de succès ne prouve aucune vérité, quand l'échec d'une seule vérification expérimentale prouve que c'est faux", a dit Albert Einstein de manière lumineuse. Qu'une théorie soit vérifiée par une expérience ne prouve pas qu'elle est vraie : l'expérience qui l'invalidera n'a peut être pas encore été réalisée. Qu'une théorie soit invalidée par une expérience prouve en revanche qu'elle est fausse.
Une expérience qui invalide une théorie permet donc de progresser de façon plus décisive dans la connaissance qu'une expérience qui réussit.
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Ces quelques exemples le suggèrent déjà : il n'y a pas une vertu de l’échec, mais plusieurs.
Il y a les échecs qui induisent une insistance de la volonté, et ceux qui en permettent le relâchement ; les échecs qui nous donnent la force de persévérer dans la même voie, et ceux qui nous donnent l'élan pour en changer.
Il y a les échecs qui nous rendent plus combatifs, ceux qui nous rendent plus sages, et puis il y a ceux qui nous rendent simplement disponibles pour autre chose.

Introduction, p. 10
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Vidéo de Charles Pépin
Augustin Trapenard accueille Charles Pépin, pour son essai "Vivre avec son passé", publié chez Allary Editions, Laure Murat, pour "Proust, roman familial", un essai sur le pouvoir émancipateur de la littérature édité chez Robert Laffont, Agnès Desarthe, pour "Le Château des Rentiers", paru aux Editions de l'Olivier, Nathacha Appanah, pour "La Mémoire délavée", publié au Mercure de France, et Neige Sinno, pour "Triste tigre", paru chez P.O.L. et récompensé par le prix littéraire "Le Monde 2023.
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