L’Espagnol Benito Pérez Galdós se jouait de situations scabreuses pour interroger les obscures convoitises de notre modernité mutante. À (re) découvrir d’urgence.
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La plus grande vérité qu'on a dite sur terre est celle-ci: Nibil novum sub sole (Vulgate, Ecclesiaste, signifiant rien de nouveau sous le soleil). Par laquelle on exprime qu'il n'y a aucune aberration humaine qui n'ait pas un précédent. L' homme est toujours identique, et il n'y a pas plus de péchés aujourd'hui qu'hier.
L'invention en matière de perversité est nulle ... et si nous avions le livre des entrées de l'enfer, nous nous ennuierions en le lisant, tellement il est monotone.
Celui qui comme moi a passé tant d'années à examiner la conscience des criminels et des égarés ne s'effraie de rien ...
Quelle étrange ressemblance ! ...
Il ne manquait à Bringas que le regard profond et tout ce qui est propre à l'esprit. Il lui manquait ce qui fait la différence entre un homme supérieur, qui sait faire l'histoire et l'écrire, et l'homme commun qui est né pour réparer une serrure et clouer une moquette.
Biographie de Benito Perez Galdos