Un livre magnifique de sincérité qui ne plaira certainement pas à tout le monde. Leur récit est incroyable et permet de découvrir toutes les facettes des populations : les bonnes et les moins bonnes. C'est ce souci de vérité des auteurs qui a sans doute déplu à un commentaire sur ce site.
J'ai trouvé ça rafraîchissant et allant à l'encontre de ce qu'on peut lire habituellement dans ce genre de livres. Les auteurs se tournent tout autant en dérision que le reste de la planète (leur phrase d'intro est tout de même "Parce qu'un con qui roule va toujours plus loin qu'un intellectuel assis, Alex & Greg sont partis à vélo pour dépasser leur connerie.") et le message final est extrêmement positif sur la nature de l'espèce humaine.
Qui aime bien, chatie bien ?
Bravo messieurs pour ce voyage ! Et merci pour le livre !
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J'attendais de lire ce livre avec impatience. Je suis énormément decue . Les auteurs dénigrent beaucoup les locaux (mongolesarriérés, croates pas aimables, trop de mendicité ect...) . le but du voyage n'est il pas de s'ouvrir aux autres ? Certes il y a beaucoup de mendicité dans certains pays mais les conditions de vie sont différentes et à prendre en compte aussi. Voyager c est aussi se faire a
arnaquer ça fait parti du jeu c est leur moyen de gagner un peu d' argent. C'est dommage car c est super bien écrit et même si c est pas toujours évident de s ouvrir aux cultures des autres il aurait été bien de mettre les locaux un peu plus en valeur car ce sont eux qui font la richesse et la diversité des voyages.
Une amie voyageuse 😊
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Le meilleur moyen d'apprécier un pays, un voyage, est sans doute de ne rien en attendre.
Beaucoup associent un tour du monde avec des contes fabuleux. Nous y voyons une formidable occasion de décrire le monde tel qu'il est, et non pas comme nous aimerions qu'il soit.
Dans la plupart des pays, 99,9 % des gens vous veulent du bien, ou du moins ne vous veulent pas de mal. Dans un pays comme le Kirghizistan où le taux de connards serait au pifomètre, dix fois plus élevé, il reste encore 99 % de gens bien. Là encore, les pays dangereux sont donc souvent à relativiser, et la générosité de certains pays pauvres à surligner, alors que les pessimistes de tout poil annoncent régulièrement l’horreur que leur inspire l’espèce humaine qu’ils ne connaissent qu’à travers les journaux.
Les foules agissent systématiquement de façon stupide, immature et dangereuse. Il n’y a qu’à voir à quel point un supporter de foot peut devenir con une fois dans le stade. Je sais de quoi je parle, j’en suis un.
Parce qu’un con qui roule va toujours plus loin qu’un intellectuel assis, Alex & Greg sont partis à vélo pour dépasser leur connerie.