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Critique de Marmara


Au regard du nombre de critiques concernant ce livre, je ne pense pas qu'il soit nécessaire d'en rappeler le résumé. Je tiens à dire à tous les lecteurs qui ont aimé ce roman, que leur avis, je le respecte, mais que moi, je me suis vraiment, mais vraiment ennuyée.
Non seulememt je n'ai pas trouvé l'intrigue très captivante, mais Valérie Perrin ne m'aura épargné ni longueurs, ni répétitions . Enfin... j'ai tenu bon. Quant à la fameuse enquête, qui elle non plus n'en finissait pas, elle m'a paru bien ennuyeuse également. Tant la manière dont elle fut menée que la ... oh combien "surprenante issue" !!!
Messieurs, ouvrez grand vos oreilles et surtout, prenez garde à vous, car nous les femmes...
Alors. Bien que n'étant pas féministe mais juste pour l'égalité des sexes, ce qui, selon moi, n'est pas du tout la même chose, il est une chose qui m'a tout de même sauté aux yeux.
Dans cet ouvrage on retrouve Violette , la Victime de la vie, la Sainte que j'aurais presqu'envie de béatifer si j'étais le pape François, et une certaine Célia qui, heureusement, "sauve un peu les meubles." Ce qui suit n'est pas triste !... Alors il y a Chantal, garce comme pas deux, et bien sûr, belle-mère haineuse, celà va de soi !... Il y a une écervelée, qui elle, plaque époux et enfant en bas âge, quelques heures et voire même quelques jours, pour s'enivrer d'alcool et d'amour avec son "fol amour". Un peu improbable quand-même, même au 21e siècle ! La raison pour laquelle cette charmante épouse et l'amoureux transi ne concrétisent pas cet amour me parait bien légère, mais bon. Il fallait bien en trouver une ! Encore une qui entre en scène ; une aristocrate si je ne me trompe. Elle aussi trompe son compagnon, vous l'aurez déjà deviné ! Qui plus est, avec un rustre qui la traite comme une moins que rien. Je cite : "Il m'a retournée. Sans me regarder. Il a baissé ma culotte, il a écarté mes cuisses. Pas de caresses. Pas de mots du tout. Il m'a baisé par derrière sans me regarder, me faisant pousser des cris de truie qu'on égorge". Mon Dieu que c'est charmant ! Alors attention à vous messieurs, si nous ne sommes pas des saintes, nous sommes des salopes . (Pardonnez-moi l'expression) ! Car il y a encore une infidèle dans l'affaire, mais passons. Ce n'était plus très surprenant, la rengaine quoi...
Voilà un livre qui se veut plein de bons sentiments, à telle enseigne que l'auteure fait même un clin d'oeil à la pratique de l'homosexualité. Cet homme, homosexuel, est tout à fait charmant. Délicat et d'une grande générosité de coeur, il est l'ami que nous aimerions tous avoir. le problème avec Valérie Perrin, c'est que les homosexuels ne font pas l'amour,...ils baisent. "J'avais un plan baise avec un collègue de travail". Voilà les propos qu'elle prête à cet homme que jusque là elle m'avait présenté comme étant si raffiné. Alors concernant ce sujet, il faudrait avant de l'aborder dans un roman, que l'auteure soit en accord avec eļle-même. On donne une bonne image ou une mauvaise, mais les deux en même temps, désolée mais pour moi ça ne tient pas debout.
Je dirai pour terminer que je suis plus légère de 23 euros 50, lourde de 554 pages d'ennui , mais il est une chose très certaine, c'est que Valérie Perrin ne my reprendra plus !!!!

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