CLASSER, CRITIQUER CE LIVRE
Zollin a ajouté 9 livres
laurebouquine a ajouté à ses livres
Heidi, la merveilleuse histoire d'une fille.. par Johanna
Heidi, la merveilleuse histoire d'une fille de la montagne de Spyri Johanna
CLASSER, CRITIQUER CE LIVRE
Olga et le Machin qui pue
AstridGridelwald666 a ajouté une critique
Olga et le Machin qui pue de Elise Gravel
Olga est vraiment drôle daprès moi. le machin qui pu s'apelle Bof car il le dis tout le temps. Olga vent devenir Zoologiste plus tard. Je suis d'accord avec elle les humais m'énerve un peu d'éfois. Olga ma fais changer d'avis il faut agir maitenat
Commenter J'apprécie 00
Les aventures de Tintin, tome 20 : Tintin a..
Une nouvelle critique sur un de vos livres par hOUMUS
Les aventures de Tintin, tome 20 : Tintin au Tibet de Hergé
Ce n'est pas l'histoire en elle même que j'aime, à chaque fois que je relis cet album (souvent les histoires d'Hergé sont tirées par les cheveux et difficilement crédibles), mais tous les détails, les gags, les petites histoires inclues. Un Tibet mystérieux, dépaysant, documenté. Beaucoup de personnes ont du êtres sollicitées mais Hergé seul à signer. Dommage.
Commenter J'apprécie 20
AstridGridelwald666 a ajouté à ses livres à lire
Olga: Par-Dessus la Tete! par Gravel
Olga: Par-Dessus la Tete! de Elise Gravel
CLASSER, CRITIQUER CE LIVRE
AstridGridelwald666 a ajouté à ses livres en cours
Olga, on déménage par Gravel
Olga, on déménage de Elise Gravel
CLASSER, CRITIQUER CE LIVRE
HIER
Une nouvelle citation sur un de vos livres par leslecturesdetiph
Le Petit Prince de Antoine de Saint-Exupéry
Les hommes n'ont plus le temps de rien connaître. Ils achètent des choses toutes faites chez les marchands. Mais comme il n'existe point de marchands d'amis, les hommes n'ont plus d'amis. Si tu veux un ami, apprivoise-moi !
Commenter J'apprécie 20
Antoine de Saint-Exupéry
leslecturesdetiph a ajouté une citation de Antoine de Saint-Exupéry
Tu te jugeras donc toi-même, lui répondit le roi. C'est le plus difficile. Il est bien plus difficile de se juger soi-même que de juger autrui. Si tu réussis à bien te juger, c'est que tu es un véritable sage
Commenter J'apprécie 260
Le Petit Prince
Une nouvelle critique sur un de vos livres par leslecturesdetiph
Le Petit Prince de Antoine de Saint-Exupéry
Sur l'aspect extérieur du livre, il y a un vrai travail à mettre en avant, plusieurs points esthétiques appréciables :
- la couverture du livre, vernis et douce
- les pages d'une qualité supérieure douces également au toucher avec une impression des caractères et des illustrations nette, un plaisir pour les mains et les yeux
- les diverses aquarelles de l'auteur qui sont superbement mises en avant tout au long du livre, qu'elles soient en couleur ou en noir et blanc
Le livre peut paraître cher de prime abord, mais la qualité et le rendu final rendent ce prix tout à fait justifié. C'est un travail remarquable de la part de Gallimard pour cette collection Folio. Il s'agit d'un livre dont nous pouvons être fiers en tant que lecteur de tenir dans nos mains.
Relire ce livre de façon plus adulte a été un véritable coup de coeur pour moi. Notre vision des choses change, notre perception des textes aussi. Ce roman d'Antoine de Saint-Exupéry est fort.
Il est fort puisqu'il met en évidence le fossé entre la vision des enfants et celle des adultes. La différence de perception à la lecture, s'applique aussi dans l'histoire.
Il est fort puisqu'il parle d'une rencontre, celle d'une vie, celle qui nous marque à tout jamais.
Il est fort puisqu'il dénonce les vices de l'homme, les vices vus de la part du Petit Prince, je pense à sa visite de diverses planètes, à sa rencontre avec : le roi imbu de sa personne, le vaniteux, le buveur, le businessman, ...
Il est fort puisque dans la façon de fonctionner du Petit Prince, il faut aller à l'essentiel, chaque chose, chaque objet, chaque objectif à un sens, il faut le respecter, ne pas se perdre.
Il est fort puisqu'il nous prouve qu'il faut profiter de ce qui nous entoure, qu'un rien peut représenter un tout pour quelqu'un. Qu'une chose peut être précieuse aux yeux de certains même si elle peut paraître insignifiante aux yeux des autres.
Il est fort puisque l'imagination des personnages nous montre qu'aucune barrière n'est un obstacle.
Il est fort.
Cette chronique va s'arrêter ici. Ce n'est peut être pas la plus constructive sur ce livre, mais elle aura le mérite d'exister, d'être.
Lien : HTTPS://LESLECTURESDETIPH.WO..
+ LIRE LA SUITE
Commenter J'apprécie 120
Le Petit Prince
Une nouvelle critique sur un de vos livres par leslecturesdetiph
Le Petit Prince de Antoine de Saint-Exupéry
Sur l'aspect extérieur du livre, il y a un vrai travail à mettre en avant, plusieurs points esthétiques appréciables :
- la couverture du livre, vernis et douce
- les pages d'une qualité supérieure douces également au toucher avec une impression des caractères et des illustrations nette, un plaisir pour les mains et les yeux
- les diverses aquarelles de l'auteur qui sont superbement mises en avant tout au long du livre, qu'elles soient en couleur ou en noir et blanc
Le livre peut paraître cher de prime abord, mais la qualité et le rendu final rendent ce prix tout à fait justifié. C'est un travail remarquable de la part de Gallimard pour cette collection Folio. Il s'agit d'un livre dont nous pouvons être fiers en tant que lecteur de tenir dans nos mains.
Relire ce livre de façon plus adulte a été un véritable coup de coeur pour moi. Notre vision des choses change, notre perception des textes aussi. Ce roman d'Antoine de Saint-Exupéry est fort.
Il est fort puisqu'il met en évidence le fossé entre la vision des enfants et celle des adultes. La différence de perception à la lecture, s'applique aussi dans l'histoire.
Il est fort puisqu'il parle d'une rencontre, celle d'une vie, celle qui nous marque à tout jamais.
Il est fort puisqu'il dénonce les vices de l'homme, les vices vus de la part du Petit Prince, je pense à sa visite de diverses planètes, à sa rencontre avec : le roi imbu de sa personne, le vaniteux, le buveur, le businessman, ...
Il est fort puisque dans la façon de fonctionner du Petit Prince, il faut aller à l'essentiel, chaque chose, chaque objet, chaque objectif à un sens, il faut le respecter, ne pas se perdre.
Il est fort puisqu'il nous prouve qu'il faut profiter de ce qui nous entoure, qu'un rien peut représenter un tout pour quelqu'un. Qu'une chose peut être précieuse aux yeux de certains même si elle peut paraître insignifiante aux yeux des autres.
Il est fort puisque l'imagination des personnages nous montre qu'aucune barrière n'est un obstacle.
Il est fort.
Cette chronique va s'arrêter ici. Ce n'est peut être pas la plus constructive sur ce livre, mais elle aura le mérite d'exister, d'être.
Lien : HTTPS://LESLECTURESDETIPH.WO..
+ LIRE LA SUITE
Commenter J'apprécie 120
LE 13/01/2020
Aurélie Jeannin
MagicSunMan007 a ajouté une citation de Aurélie Jeannin
Qu'est-ce que l'histoire retiendrait ? Y a-t-il plus imprécis qu'elle ? Elle est une broyeuse approximative qui creuse des sillons grossiers. C'est ça, aussi, qui me fait souffrir. L'histoire ne dit jamais ce qui se joue vraiment. Elle manque de justesse et de finesse. A la fin, elle dirait sous doute : Il est parti. Ils sont partis. Elle dirait cela de notre père, de mon fils et de mon frère. Elle omettrait les quand, les comment, les pourquoi. Les bonnes raisons et les souffrances. Elle ne dirait pas comment cela s'était passé et le mal que cela avait causé. Elle ne saurait pas dire les intonations, le contexte, les mots précis. Après quelle journée, quelle semaine. Elle tairait les détails. Je le comprends, elle ne peut pas s'encombrer. Mais je la déteste pour cela. Demain, dans longtemps, on ne retiendrait qu'une chose. Or, ce n'est pas ça, la vérité.Qu'est-ce que l'histoire retiendrait ? Y a-t-il plus imprécis qu'elle ? Elle est une broyeuse approximative qui creuse des sillons grossiers. C'est ça, aussi, qui me fait souffrir. L'histoire ne dit jamais ce qui se joue vraiment. Elle manque de justesse et de finesse. A la fin, elle dirait sous doute : Il est parti. Ils sont partis. Elle dirait cela de notre père, de mon fils et de mon frère. Elle omettrait les quand, les comment, les pourquoi. Les bonnes raisons et les souffrances. Elle ne dirait pas comment cela s'était passé et le mal que cela avait causé. Elle ne saurait pas dire les intonations, le contexte, les mots précis. Après quelle journée, quelle semaine. Elle tairait les détails. Je le comprends, elle ne peut pas s'encombrer. Mais je la déteste pour cela. Demain, dans longtemps, on ne retiendrait qu'une chose. Or, ce n'est pas ça, la vérité.Qu'est-ce que l'histoire retiendrait ? Y a-t-il plus imprécis qu'elle ? Elle est une broyeuse approximative qui creuse des sillons grossiers. C'est ça, aussi, qui me fait souffrir. L'histoire ne dit jamais ce qui se joue vraiment. Elle manque de justesse et de finesse. A la fin, elle dirait sous doute : Il est parti. Ils sont partis. Elle dirait cela de notre père, de mon fils et de mon frère. Elle omettrait les quand, les comment, les pourquoi. Les bonnes raisons et les souffrances. Elle ne dirait pas comment cela s'était passé et le mal que cela avait causé. Elle ne saurait pas dire les intonations, le contexte, les mots précis. Après quelle journée, quelle semaine. Elle tairait les détails. Je le comprends, elle ne peut pas s'encombrer. Mais je la déteste pour cela. Demain, dans longtemps, on ne retiendrait qu'une chose. Or, ce n'est pas ça, la vérité.Qu'est-ce que l'histoire retiendrait ? Y a-t-il plus imprécis qu'elle ? Elle est une broyeuse approximative qui creuse des sillons grossiers. C'est ça, aussi, qui me fait souffrir. L'histoire ne dit jamais ce qui se joue vraiment. Elle manque de justesse et de finesse. A la fin, elle dirait sous doute : Il est parti. Ils sont partis. Elle dirait cela de notre père, de mon fils et de mon frère. Elle omettrait les quand, les comment, les pourquoi. Les bonnes raisons et les souffrances. Elle ne dirait pas comment cela s'était passé et le mal que cela avait causé. Elle ne saurait pas dire les intonations, le contexte, les mots précis. Après quelle journée, quelle semaine. Elle tairait les détails. Je le comprends, elle ne peut pas s'encombrer. Mais je la déteste pour cela. Demain, dans longtemps, on ne retiendrait qu'une chose. Or, ce n'est pas ça, la vérité.Qu'est-ce que l'histoire retiendrait ? Y a-t-il plus imprécis qu'elle ? Elle est une broyeuse approximative qui creuse des sillons grossiers. C'est ça, aussi, qui me fait souffrir. L'histoire ne dit jamais ce qui se joue vraiment. Elle manque de justesse et de finesse. A la fin, elle dirait sous doute : Il est parti. Ils sont partis. Elle dirait cela de notre père, de mon fils et de mon frère. Elle omettrait les quand, les comment, les pourquoi. Les bonnes raisons et les souffrances. Elle ne dirait pas comment cela s'était passé et le mal que cela avait causé. Elle ne saurait pas dire les intonations, le contexte, les mots précis. Après quelle journée, quelle semaine. Elle tairait les détails. Je le comprends, elle ne peut pas s'encombrer. Mais je la déteste pour cela. Demain, dans longtemps, on ne retiendrait qu'une chose. Or, ce n'est pas ça, la vérité.Qu'est-ce que l'histoire retiendrait ? Y a-t-il plus imprécis qu'elle ? Elle est une broyeuse approximative qui creuse des sillons grossiers. C'est ça, aussi, qui me fait souffrir. L'histoire ne dit jamais ce qui se joue vraiment. Elle manque de justesse et de finesse. A la fin, elle dirait sous doute : Il est parti. Ils sont partis. Elle dirait cela de notre père, de mon fils et de mon frère. Elle omettrait les quand, les comment, les pourquoi. Les bonnes raisons et les souffrances. Elle ne dirait pas comment cela s'était passé et le mal que cela avait causé. Elle ne saurait pas dire les intonations, le contexte, les mots précis. Après quelle journée, quelle semaine. Elle tairait les détails. Je le comprends, elle ne peut pas s'encombrer. Mais je la déteste pour cela. Demain, dans longtemps, on ne retiendrait qu'une chose. Or, ce n'est pas ça, la vérité.Qu'est-ce que l'histoire retiendrait ? Y a-t-il plus imprécis qu'elle ? Elle est une broyeuse approximative qui creuse des sillons grossiers. C'est ça, aussi, qui me fait souffrir. L'histoire ne dit jamais ce qui se joue vraiment. Elle manque de justesse et de finesse. A la fin, elle dirait sous doute : Il est parti. Ils sont partis. Elle dirait cela de notre père, de mon fils et de mon frère. Elle omettrait les quand, les comment, les pourquoi. Les bonnes raisons et les souffrances. Elle ne dirait pas comment cela s'était passé et le mal que cela avait causé. Elle ne saurait pas dire les intonations, le contexte, les mots précis. Après quelle journée, quelle semaine. Elle tairait les détails. Je le comprends, elle ne peut pas s'encombrer. Mais je la déteste pour cela. Demain, dans longtemps, on ne retiendrait qu'une chose. Or, ce n'est pas ça, la vérité.Qu'est-ce que l'histoire retiendrait ? Y a-t-il plus imprécis qu'elle ? Elle est une broyeuse approximative qui creuse des sillons grossiers. C'est ça, aussi, qui me fait souffrir. L'histoire ne dit jamais ce qui se joue vraiment. Elle manque de justesse et de finesse. A la fin, elle dirait sous doute : Il est parti. Ils sont partis. Elle dirait cela de notre père, de mon fils et de mon frère. Elle omettrait les quand, les comment, les pourquoi. Les bonnes raisons et les souffrances. Elle ne dirait pas comment cela s'était passé et le mal que cela avait causé. Elle ne saurait pas dire les intonations, le contexte, les mots précis. Après quelle journée, quelle semaine. Elle tairait les détails. Je le comprends, elle ne peut pas s'encombrer. Mais je la déteste pour cela. Demain, dans longtemps, on ne retiendrait qu'une chose. Or, ce n'est pas ça, la vérité.Qu'est-ce que l'histoire retiendrait ? Y a-t-il plus imprécis qu'elle ? Elle est une broyeuse approximative qui creuse des sillons grossiers. C'est ça, aussi, qui me fait souffrir. L'histoire ne dit jamais ce qui se joue vraiment. Elle manque de justesse et de finesse. A la fin, elle dirait sous doute : Il est parti. Ils sont partis. Elle dirait cela de notre père, de mon fils et de mon frère. Elle omettrait les quand, les comment, les pourquoi. Les bonnes raisons et les souffrances. Elle ne dirait pas comment cela s'était passé et le mal que cela avait causé. Elle ne saurait pas dire les intonations, le contexte, les mots précis. Après quelle journée, quelle semaine. Elle tairait les détails. Je le comprends, elle ne peut pas s'encombrer. Mais je la déteste pour cela. Demain, dans longtemps, on ne retiendrait qu'une chose. Or, ce n'est pas ça, la vérité.Qu'est-ce que l'histoire retiendrait ? Y a-t-il plus imprécis qu'elle ? Elle est une broyeuse approximative qui creuse des sillons grossiers. C'est ça, aussi, qui me fait souffrir. L'histoire ne dit jamais ce qui se joue vraiment. Elle manque de justesse et de finesse. A la fin, elle dirait sous doute : Il est parti. Ils sont partis. Elle dirait cela de notre père, de mon fils et de mon frère. Elle omettrait les quand, les comment, les pourquoi. Les bonnes raisons et les souffrances. Elle ne dirait pas comment cela s'était passé et le mal que cela avait causé. Elle ne saurait pas dire les intonations, le contexte, les mots précis. Après quelle journée, quelle semaine. Elle tairait les détails. Je le comprends, elle ne peut pas s'encombrer. Mais je la déteste pour cela. Demain, dans longtemps, on ne retiendrait qu'une chose. Or, ce n'est pas ça, la vérité.Qu'est-ce que l'histoire retiendrait ? Y a-t-il plus imprécis qu'elle ? Elle est une broyeuse approximative qui creuse des sillons grossiers. C'est ça, aussi, qui me fait souffrir. L'histoire ne dit jamais ce qui se joue vraiment. Elle manque de justesse et de finesse. A la fin, elle dirait sous doute : Il est parti. Ils sont partis. Elle dirait cela de notre père, de mon fils et de mon frère. Elle omettrait les quand, les comment, les pourquoi. Les bonnes raisons et les souffrances. Elle ne dirait pas comment cela s'était passé et le mal que cela avait causé. Elle ne saurait pas dire les intonations, le contexte, les mots précis. Après quelle journée, quelle semaine. Elle tairait les détails. Je le comprends, elle ne peut pas s'encombrer. Mais je la déteste pour cela. Demain, dans longtemps, on ne retiendrait qu'une chose. Or, ce n'est pas ça, la vérité.Qu'est-ce que l'histoire retiendrait ? Y a-t-il plus imprécis qu'elle ? Elle est une broyeuse approximative qui creuse des sillons grossiers. C'est ça, aussi, qui me fait souffrir. L'histoire ne dit jamais ce qui se joue vraiment. Elle manque de justesse et de finesse. A la fin, elle dirait sous doute : Il est parti. Ils sont partis. Elle dirait cela de notre père, de mon fils et de mon frère. Elle omettrait les quand, les comment, les pourquoi. Les bonnes ra
+ LIRE LA SUITE
Commenter J'apprécie 00
LE 12/01/2020
Le Petit Prince
Une nouvelle critique sur un de vos livres par theobservor
Le Petit Prince de Antoine de Saint-Exupéry
livre incontournable pour les uns
livre génial pour les autres
le seul livre à emporter sur une ile déserte
bref...autant de lectures que de lecteurs
autant de lectures que de transpositions à sa vie personnelle
autant de lectures que de fantasmes
livre de poésie pure
livre pour enfant
le "oui-ou"i de la littérature pour quelques uns
le livre de quelqu'un , qui confronter à la dure réalité invente autre chose.
un livre "auberge espagnole", chaque y découvre ce qu'il veut y trouver...ou pas et c'est bien ainsi
Commenter J'apprécie 150
Le Petit Prince
Une nouvelle critique sur un de vos livres par theobservor
Le Petit Prince de Antoine de Saint-Exupéry
livre incontournable pour les uns
livre génial pour les autres
le seul livre à emporter sur une ile déserte
bref...autant de lectures que de lecteurs
autant de lectures qu
Commenter  J’apprécie         10