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🎩 Vingt-quatrième tome de la saga William Monk.🎩


Deux ans après les événements de Meurtre en Écho, William est appelé à l'aide par Oliver Rathbone. Un de ses clients, Harry Exeter lui demande assistance dans une affaire de rançon et d'enlèvement de son épouse Kate. L'échange devant avoir lieu sur l'île Jacob, un bidonville à la réputation de coupe-gorge. 😱
Le jour dit, William accompagné de Harry Exeter et de six de ses hommes de la Brigade Fluviale, se rend sur place. Rapidement, les choses dégénèrent et Kate Exeter est retrouvée atrocement assassinée. William est effondré. D'une part, les faits plaident pour une trahison de leur plan ; d'autre part, il ne peut que s'identifier au mari, Harry Exeter puisque lui aussi a vécu l'enlèvement de son épouse (voir le couloir des ténèbres). Monk est bien décidé à découvrir le traître parmi ses hommes et les meurtriers...


Cela faisait longtemps que je n'avais pas été captivée par une enquête de Monk avec autant de peps. Marée funèbre permet à Anne Perry de nous replonger dans ce qui fait tout le charme de cette série, et qui ses derniers temps manquaient. 🙂
Certes, ne soyons pas non plus dans les commentaires élogieux, car, comme toujours, ce roman contient quelques maladresses et lourdeurs.🙂


Concernant l'intrigue, j'ai tout simplement aimé. L'histoire débute brutalement par un beau soir avec l'appel à l'aide de Rathbone, la mise en branle de la Brigade fluviale et l'expédition sur l'île de Jacob. Ce qui suit est dans la même lignée avec une enquête mêlant casse-tête intellectuel et psychologique puisque William Monk est contraint de douter de ses hommes. Les meurtres s'enchaînent, les indices se font plus précis ; un procès a lieu et, comme toujours, une révélation à la Anne Perry au final.
Cependant, je connais tellement bien cette auteur pour suivre avec attention cette saga, et j'avais déjà deviné comment le tout allait s'organiser. Et cela n'a pas manqué ! Anne Perry aime jouer avec ses personnages, mais ce jeu a été tellement de fois utilisé, qu'il n'a plus rien de sensationnel. Malgré tout, c'est fait de manière plutôt intelligente même si le lecteur comprend rapidement qui est le meurtrier, qui est la taupe et pourquoi.
L'élément le plus incongru de ce roman concerne la relation Hooper et Celia Darwin. Sérieusement, leur histoire est touchante et sympathique... mais cela sonne tellement faux. L'inspecteur rencontre Celia, une jeune femme handicapée, et en tombe éperdument amoureux. C'est tellement guimauve, tellement kitch que cela dénature la pseudo révélation du procès. Je vous avoue que lorsque Celia et Hooper se retrouvent après le témoignage de cette dernière lors du procès, j'ai trouvé cela grotesque... surtout pour l'époque où les femmes ne sont pas aussi directes.😛


Bon, parlons des personnages. C'est le point fort de cette saga. le lecteur suit ses personnages fétiches et découvre leur évolution en bien comme en mal. le point de mire est mis sur Hester et Monk avec leur fils adoptif, Suff (devenu Will) bien évidemment. N'oublions pas Oliver Rathbone marié avec Beata ; Runcorn qui refait son apparition et voit sa famille s'agrandir.
Seul regret déjà évoqué dans les précédents tomes : l'absence des personnages et d'histoires ayant un rapport avec la clinique d'Hester. Sueaky Robinson, Mrs Burroughs et les prostituées de la clinique apportaient une atmosphère spéciale à la série. Ici, la série semble se rapprocher des codes de la bienséance de son autre saga : les Thomas et Charlotte Pitt.


Concernant les points négatifs (oui il y en a !) 😛 : beaucoup de répétition. Par exemple, l'auteur nous décrit les soirées d'Oliver Rathbone avec son épouse le soir de la même manière sur deux chapitres différents. Je pense que le lecteur a compris qu'ils sont heureux et aiment passer du temps au coin du feu...
Beaucoup de longueurs... Certes, je connais cette série dans les moindres détails. Je sais qui est qui, comment et dans quelles circonstances ils se sont connus. Mais voir à chaque apparition de personnage connu une sorte de récapitulatif de sa vie... cela m'ennuie un peu. Mais bon, pour les lecteurs occasionnels c'est utile.
Lourdeur au niveau de l'intrigue. Par moment, le lecteur rame pour ne pas dire stagne dans sa lecture avec une intrigue qui semble être aux arrêts ; des personnages en plein questionnement ; des situations qui s'enlisent.


Au final, j'ai adoré retrouver l'univers d'Anne Perry avec son William Monk. Marée funèbre revient aux éléments fondateurs de cette saga même si ce n'est pas encore la perfection. L'intrigue est passionnante, les personnages attachants. Par contre, un lecteur un peu attentif trouvera la clef de cette intrigue sans problème et éprouvera surement de la frustration face aux oeillères du commissaire Monk.
Dans tous les cas, je laisse tranquillement William, Hester et leur petit univers continuer à vivre leur vie en attendant la sortie du prochain roman. Je compte me lancer en attendant une cinquantaine d'années plus tard avec un autre policier : Thomas Pitt.😉
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Un soir William Monk est contacté par Oliver Rathborne, avocat car un de ses clients s'est adressé à lui pour retrouver sa femme Kate après avoir versé une rançon très importante.
Cet homme, c'est Harry Exeter, promoteur immobilier.
Il doit apporter la somme d'argent sur l'île Jacob, un endroit glauque et plein de souricières .
Monk et ses hommes choisis avec soin et croit-on, habilement camouflés, vont l'escorter mais cela tournera très mal, d'où le titre "Marée funèbre".
On se trouve en face de Monk qui se laisse apitoyer car il a vécu l'enlèvement de son épouse Hester. Cela le rend trop naïf.
Ensuite,quand cela tourne mal , il est rongé par les doutes.
Les trahisons sont habilement amenées et nous amènent à soupçonner les uns et les autres.
La fin est très inattendue.
Pour ma part, j'éviterais bien les rappels un peu trop longs aux épisodes antérieurs et je pense qu'ils sont un peu inutiles pour l'action du roman.
"Marée funèbre" est le tout dernier Anne Perry paru en août 2018 et amorce un ton un peu nouveau dans la conduite de l'enquête.
La couverture est très alléchante ainsi que le prix aux éditions 10/18, collection "grands détectives".
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Ma préférence littéraire va au roman policier, ce n'est pas un secret.
Libre à chacun d'en penser ce qu'il veut, pour moi il n'y a pas de genre mineur, mais ça je l'ai déjà dit à de nombreuses reprises.
Si un(e) auteur(e) m'emmène à Londres, au XIXème siècle en plus, alors là c'est le Graal.
Souvenirs de Sherlock Holmes, sans doute, j'ai toujours été fan du héros de Sir Arthur Conan-Doyle.
Jusqu'à ce Marée funèbre, je ne connaissais pas Anne Perry, je ne regrette pas d'avoir découvert sa plume et je me réjouis d'avance quand je pense à ses livres qui m'attendent patiemment dans ma PAL.
Me voici donc plongé dans la capitale anglaise, sa brume, ses rues coupe-gorges, sa Tamise aux relents nauséabonds.
À la tête de la brigade fluviale, le commissaire William Monk (là,  une amie sans doute bien intentionnée, m'envoie la photo du protagoniste d'une série télé du même nom, du coup, le personnage de Perry va évoluer avec ce visage tout au long de ma lecture, heureusement que le personnage ne s'appelait pas Saturnin, je n'ose imaginer le flic avec une tête de canard ..)
Plus sérieusement, on vient trouver Monk parce qu'une jeune femme vient d'être enlevée au bord du fleuve, et que son mari demande à être escorté jusqu'au lieu où il doit remettre la rançon.
Voilà que tout ce beau monde tombe dans un traquenard et que la belle est retrouvée morte.
Monk n'a plus qu'une idée en tête, traquer les kidnappeurs pour les conduire à l'échafaud.
Problème ?
Il va d'abord lui falloir trouver lequel de ses hommes l'a trahi, parce que ça ne fait aucun doute, il y a eu trahison.
Anne Perry nous embarque (si j'ose dire) sur les eaux sombres du fleuve londonien dans un récit efficace.
Elle a  choisi un commissaire à visage humain, qui dans ses traques du coupable et du traître, ne perd pas son âme et garde sa fragilité.
Il tentera de répondre aux questions, de chasser les soupçons, de déceler les mensonges et amènera certains à des révélations qui pourraient s'avérer dangereuses.
Vous voulez savoir qui finira sur le gibet ?
Enfin, si Monk attrape le coupable, bien sur, mais pour ça il ne vous reste plus qu'à lire Marée funèbre.
Un roman convaincant.
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Même si je garde une tendresse pour Pitt et Charlotte, ce sont bien William et Hester qui emportent mon enthousiasme parmi les personnages récurrents d'Anne Perry. On retrouve ces derniers dans Marée Funèbre, dernière parution de l'auteur. Et bien que d'habitude je les retrouve avec un plaisir inégalé, j'ai cette fois-ci été plutôt déçue.
Hester n'intervient que par petites touches, bien moins présente qu'elle n'a été. Scuff, dorénavant baptisé Will, n'apparaît qu'en filigrane ; heureusement que Rathbone et les compagnons de Monk à la brigade fluviale sont quant à eux bien présents.
Cela étant, cela ne gênera sans doute pas un lecteur qui découvre avec ce roman l'univers d'Anne Perry. D'autant plus qu'elle croque avec toujours autant de talent l'atmosphère unique des faubourgs d'un Londres victorien, immergeant son lectorat dans le microcosme humain qui survit à proximité de la Tamise.
Ce qui est plus gênant, c'est l'intrigue : Monk se retrouve cette fois face à un kidnapping. Et sous prétexte que cela lui rappelle un sombre passé, il en perd tout sens critique et voit son instinct de limier réduit à néant. J'ai passé le dernier tiers du roman à trépigner (façon de parler) en me demandant pourquoi un enquêteur si fin d'habitude contournait consciencieusement une solution qui lui pendait au nez.
Bref, Marée funèbre n'est pas le meilleur cru de l'auteur. Mais il m'a quand même donné envie de relire toute ma collection…
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J'ai préféré en lire trois à la suite pour ne pas être gênée par des oublis. Nous sommes cette fois dans le domaine bancaire.

Rathbon demande à Monk d'accompagner Harry Exeter lors de la remise d'une rançon pour l'enlèvement de son épouse Kate. En effet cette remise doit avoir lieu sur l'île Jacob, un lieu dangereux par les terres mouvantes, les marées et très mal famé. Monk est accompagné de cinq de ses hommes. Mais l'équipée tourne au drame, ils sont attendus et Kate est tuée. Monk se sent d'autant plus coupable qu'il est évident que quelqu'un a trahi. Sur lequel de ses hommes les criminels avaient-ils un levier ? Par ailleurs, il s'identifie à Exeter dont la peine semble immense, puisque Hester a été elle-même victime d'enlèvement il y a plusieurs années.
Monk enquête à la fois sur le présent et le passé de ses hommes et sur l'enlèvement. Les recherches se concentrent peu à peu sur le directeur de la banque qui a aidé Exeter à rassembler la rançon. Sa comptable semble avoir des preuves qu'elle veut remettre à Monk. Mais elle est noyée alors qu'ils ont rendez-vous au bord de la Tamise. de son côté Hooper paraît être sous le charme de la cousine d'Hester. Et l'on apprend pourquoi il ne s'est lié à aucune femme.

Anne Perry reste fidèle à son habitude de révéler un peu du passé d'un des protagonistes. C'est peut-être répétitif pour certains mais moi j'aime bien.
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La voix d'Anne Perry s'est définitivement tue et je regrette la perte de cette auteure prolifique qui avait su rebondir et triompher de ses démons personnels par l'écriture de romans policiers se déroulant principalement à l'époque victorienne dont elle excellait à restituer l'ambiance générale.
C'est ici la 24ème ( et dernière enquête) de William Monk le brillant détective amnésique qui a gagné ses galons en compagnie de son épouse et assistante la courageuse Hester, infirmière sur les champs de bataille de Crimée qui de retour à la vie civile n'aura de cesse de venir en aide aux plus défavorisés.
Avec leur fils adoptif Scuff, ils restent familiers de la grande misère des londoniens de la seconde moitié du 19ème siècle et se trouvent confrontés aux crimes abjects et aux assassins retors.
A la tête de la police fluviale, Monk doit prêter main forte à un riche bourgeois dont la femme a été enlevée et il va descendre dans les bas fonds des îles de la Tamise pour remettre la rançon. Mais rien ne se passera comme prévu car la rançon va bel et bien disparaître mais l'épouse enlevée aussi ... Monk aurait il été trahi par un membre de son équipe ? le veuf inconsolable (et ruiné ) est il vraiment aussi pitoyable qu'il parait ? Quand il y a beaucoup d'argent en jeu, les grands principes peuvent s'effacer devant la cupidité .
Le récit est haletant avec une traque des ravisseurs et ensuite un procès à scandale où intervient le brillant avocat Rathbone , ami du couple.
C'est avec plaisir que j'ai retrouvé le style de ces récits où les éléments psychologiques sont toujours bien mis en avant, chacun des protagonistes se confiant face au lecteur et exposant ses doutes et ses failles.
Une fois de plus les travers de la société victorienne sont exposés sans concession et le roman se fait dénonciation d'un monde cruel aux faibles, corseté dans ses principes moraux qui ne laissent pas une grande part à l'indulgence et à l'empathie.
On pourrait penser qu'au bout de 24 enquêtes quelquefois calquées sur le même moule, la lassitude se fait sentir ...En ce qui me concerne, pas vraiment car il y a si longtemps que j'ai découvert cet auteur que des mois passent entre chaque lecture et la magie peut encore opérer, intacte.
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J'ai été une grande grande fan d'Anne Perry, en particulier la série des Monk. Dès qu'un nouveau tome sortait, je me précipitais dessus. C'est ainsi qu'au fil des livres, j'ai vu les tics d'écriture d'Anne Perry devenir de plus en plus pesants, des personnages emblématiques disparaitre, des intrigues s'étirer sans fin sur fond de complot pédophile, etc etc...et j'ai arrêté d'en lire, écoeurée par le massacre en règle d'une série que j'aimais.
Et puis...parfois il fait bon revenir à ses premières amours, d'autant plus que je n'ai trouvé aucune autre polar victorien me plaisant autant.
Alors, attirée par une quatrième de couverture alléchante, par une belle couverture, et par quelques critiques rassurantes, je me suis laissée tenter. Et bien m'en a pris, car j'ai passé un bon moment. Pas de complot politique, pas d'espionnage, le retour de Runcorn (personnage que j'ai toujours aimé), une bonne intrigue assez axée autour de Monk, Scuff en retrait...bref je suis réconciliée, même si Anne Perry parfois n'en finit plus d'imposer à ses personnages les mêmes questionnements (quelques coupes parfois allègeraient le récit et les dialogues). Mon seul regret sur cette histoire est que Rathbone et Hester font plus de la figuration qu'autre chose, et qu'on est moins dans les beaux quartiers que dans d'autres aventures.
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Le commentaire de Lynda :

On retrouve avec plaisir l'inspecteur Monk. Même si on retrouve celui-ci dans cette enquête, nul besoin d'avoir lu les autres. Anne Perry, quand elle fait allusion aux précédentes enquêtes nous donne assez d'informations pour que l'on puisse comprendre.
Un enlèvement, une demande de rançon, qui doit être remise aux ravisseurs à un endroit très particulier.
Mais cette rencontre tournera mal, on soupçonne que quelqu'un de l'équipe de Monk, est une taupe et qu'il a donné les informations aux ravisseurs.
Contrairement à plusieurs thrillers, nous devinons assez rapidement qui est derrière cet enlèvement et cette demande de rançon, mais c'est tout le jeu qui tourne autour de cet enlèvement qui est captivant.
Il y a toute l'histoire derrière cet événement, détournement de fonds, famille, secrets.
Une histoire qui nous accroche solidement, même si comme je disais précédemment il n'y a pas vraiment de surprise. Donc c'est vraiment l'écriture de l'écrivaine que nous pouvons apprécier à sa juste valeur, le scénario global, les descriptions qui font imaginer sans peine un Londres brumeux et mystérieux, des descriptions qui nous transportent vraiment dans cet endroit et cette période. Les personnages qui prédominent sont assez forts, diversifiés également. le raisonnement des enquêteurs est fort, et nous entraîne bien malgré nous dans cette enquête policière et dramatique.
Je vous recommande cette lecture pour retrouver encore une fois Anne Perry et son inspecteur Monk dans cette nouvelle enquête et aventure.
Lien : http://lesmilleetunlivreslm...
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Une nouvelle enquête qui relance vraiment les aventures de Monk ! Comme toujours, je ne veux pas rentrer dans le détail afin de ne pas vous spoiler la lecture mais j'ai adoré ce tome qui permet de rentrer dans les doutes de Monk et de mieux connaitre ses hommes. J'ai particulièrement aimé Hooper qu'on attendait de mieux connaitre depuis la mort d'Orme.

On en apprend plus également sur Monk et notamment sur ses faiblesses. Dans cet opus, il doute et c'est intéressant de voir la manière dont il envisage les choses. Hester et Scuff sont également moins présents, ce qui n'est pas pour me déplaire et j'ai apprécié retrouver Monk une fois de plus face à Runcorn.


Ce que j'aime : le dénouement auquel je ne m'attendais pas, la manière dont on suit Monk tout du long, le fait d'en apprendre plus sur ses hommes


Ce que j'aime moins : Encore et toujours les mêmes passages décrivant Hester et son histoire, toujours les mêmes sentiments répétés tomes après tomes, ça lasse !


En bref : Un excellente enquête dont le dénouement m'a surpris


Ma note


8,5/10
Lien : http://jessswann.blogspot.co..
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La belle écriture d'Anne Perry atténue les quelques faiblesses de l'intrigue. C'est le coté psychologique qui prime ici. Les sentiments personnels procurent des émotions qui influent gravement sur les qualités professionnelles. Et même le héros en est tributaire. Cela peut paraître un peu lourd dans cette enquête de Monk. Mais c'est voulu pour mettre en valeur un personnage secondaire, Hooper, dont le secret est révélé publiquement au cours d'un procès final en coup de théâtre.
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