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Resident Evil tome 2 sur 8
EAN : 9782811212957
250 pages
Milady (19/09/2014)
3.64/5   67 notes
Résumé :
La dernière intervention des S.T.A.R.S. a tourné au fiasco, et on les relève aussitôt de l’enquête qui leur a coûté six de leurs membres. Pourtant, le commando d’intervention spécial n’est pas prêt à baisser les bras ; il faut mettre un terme aux agissements d’Umbrella, l’organisme qui pratique des expériences génétiques très dangereuses, et dont le virus mis au point ne cesse de se répandre...

Mais que pourront les quelques survivants face à une... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (13) Voir plus Ajouter une critique
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Meilleur que le premier mais...

A l'issue de la conspiration d'Umbrella, le manoir maudit est détruit. Les STARS sont décrédibilisés et noyautés par l'entreprise pharmaceutique.
Les rescapés, et notamment Rebecca Chambers (le génie de 18 ans, mignonne et biochimiste de l'équipe bravo du premier opus), trouvent un renfort STARS dans le Maine où, à Caliban Cove, Umbrella semble avoir perdu à nouveau le contrôle d'un labo virus-T. Ils vont y retourner chercher des preuves de l'implication criminelle de l'entreprise. Et là encore, zombies et énigmes à résoudre les attendent.

Un second tome, qui ne développe pas cette fois-ci un scenario de jeu, plus travaillé et plus abouti. L'auteure y incorpore quelques explications qui donnent une caution scientifique bienvenue après le désert initial. Malheureusement, le tout manque encore de consistance.
La partie, je résous des énigmes pour avancer dans ma « quête », histoire de coller à l'esprit jeu vidéo ne rend toujours pas. L'équipe qui débarque la fleur au fusil, sans protection, dans un labo contaminé par un vilain petit virus, et cela ne loupera pas, il y aura de la contamination. Ben tiens... (pourtant, d'habitude, c'est au cinéma que les héros se baladent tête nue, pour des raisons d'image, dans un environnement vicié...).
Côté militaire toujours absent, mais plus d'humour.

Bref, c'est mieux, mais il y a encore du travail. Un tome 3 (la cité des morts) qui se basera, sur le tome 2 du jeu prendra-t-il un peu de muscle ?
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Après avoir apprécié le premier tome de Resident Evil, j'avais décidé de découvrir tout le reste de la saga. Ce second opus m'avait divertie. Certes, ce n'est pas l'ouvrage du siècle et il y a mieux dans le genre Z cependant, j'avais apprécié les personnages, notamment celui de Rebecca, la jeune recrue spécialisée en biochimie, qui va enfin avoir son heure de gloire ! Par contre, il ne me semble pas avoir joué à cet opus… Mais, d'après ce que j'ai lu sur la toile, c'est tout à fait normal, puisqu'il s'agit d'une histoire inédite. Cela ne m'a pas dérangé car, même s'ils n'ont pas un rôle central, on fait allusion à quelques héros de la firme (Jill, Chris, Barry). Cette fois-ci, le lecteur va découvrir la perfidie d'Umbrella qui continue de corrompre les médias, le personnel « utile » ainsi que tous ceux ne voyant pas clair dans leur jeu. Or, les STARS sont devenus une menace : ils en savent trop ! La société les accuse donc de trahison et de déments afin de les discréditer. La jeune Rebecca est bien déterminée à faire éclater la vérité…

Le scénario reste assez similaire à tous les Resident Evil : un début un peu long, un endroit truffé de pièges, d'énigmes et de créatures, ainsi qu'une montée en puissance de l'action. À cela s'ajoute une amourette pas très utile, mais pourquoi pas… En revanche, ce que j'ai aimé, c'est le fait que Nicolas Griffith, un savant fou, va également être l'un des narrateurs. Bien qu'il ne soit pas aussi charismatique et mauvais que Wesker, j'ai aimé découvrir sa psychologie… On va donc suivre l'avancée des protagonistes comme des antagonistes, ce que j'apprécie, car j'aime avoir une vision d'ensemble. Ajoutons à cela que certains personnages ne manquent pas d'humour, chose qui manquait un peu au premier tome. L'univers est respecté, le bestiaire s'agrandit et, même si l'oeuvre n'est pas adaptée d'un jeu, on reprend les mêmes éléments (en particulier les énigmes). le résultat fonctionne plutôt bien ! Par contre, je ne trouve toujours pas l'ambiance ou les monstres effrayants néanmoins, j'ai passé un bon moment de lecture… Et c'est ce qui compte à mes yeux.

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Un second volume de la franchise « Resident Evil ». C'est un tome plutôt petit, à peine 250 pages. L'histoire est courte et se lit rapidement. Elle est donc entrecoupée de nombreuses scènes d'action, n'accordant que très peu de temps-mort aux lecteurs.
L'auteur laisse de la place pour les introspections des différents protagonistes. C'est d'ailleurs étonnant, pour un ouvrage qui comporte autant de personnage, que l'auteur arrive à jongler avec les pensées de chacun. Aucun personnage n'est négligé et a droit à son chapitre. Pourtant, l'auteur n'hésite pas à les sacrifier. La fin en devient même une véritable hécatombe.
Ce tome comporte des notions en biologie qui n'alourdissent pas pour autant la lecture. On voit que l'auteur maîtrise la matière et les faits exposés semblent plausibles. On voit également une autre voie de contamination que la classique morsure de zombie, comme quoi l'auteur avait une longueur d'avance sur les autres oeuvres du genre (28 jours plus tard).
Malheureusement, j'ai déploré le fait qu'il n'y ait pas plus de créatures. En tout, on en compte trois : Les Léviathans, espèces de poissons-chats géants. Pour moi, ce sont les créatures les plus impressionnantes du récit mais elles ont été mal exploitées. Normalement, dans ce type de romans, les monstres doivent être de plus en plus horribles afin que le récit aille en crescendo. Là, les pires créatures sont lâchées d'entrée de jeu, et puis, les personnages affrontent d'autres moins « terribles ». Les Trisquads, escouades de trois zombies qui ont été très vite maîtrisées sans même mordre qui-que-ce-soit. Pourtant, leur capacité à manier des M-16 les rendait intéressant. Les Ma7, espèces d'hybrides lézards-lions élimés par de simple Beretta (seule arme dont disposent les agents du S.T.A.R.S.), ce qui est décevant pour une fan des jeux vidéo depuis le premier opus de la franchise. Finalement, dans tout ce bestiaire, seul le docteur Griffith fait des dégât sans pour autant s'être auto-infecté à l'image du docteur Birkin (Resident Evil 2). Comme quoi, seule la folie de l'homme est meurtrière.
Les énigmes manquent également. Étant donné, que les tests devaient être réalisés par les Trisquads, cérébralement, le lecteur ne sera pas sollicité.
En bref, un tome dont la série pouvait se passer. Mais l'histoire reste plaisante à lire.
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Une quinzaine de jours après la destruction du manoir et des laboratoires secrets d'Umbralla qu'il dissimulait, les S.T.A.R.S. sont officiellement mis en cause dans les problèmes de gestion de l'enquête sur les assassins sanguinaires qui ont sévi pendant l'été à Raccoon City. Décrédibilisés, les survivants Chris, Jill, Rebecca et Barry se retrouvent pour rencontrer un ami de Barry : David Trapp. Ce dernier fait aussi partie des S.T.A.R.S., une branche du Maine. Tout comme Jill au début du premier tome, il a été contacté par le mystérieux Trent qui lui a confié des documents sur Umbrella : un autre laboratoire, à Caliban Cove, aurait de sérieux problème, le virus se serait à nouveau échappé.David Trapp est venu pour solliciter l'aide de Rebecca, le génie de 18 ans, spécialiste en biochimie. Il a déjà rassemblé une équipe de S.T.A.R.S. en qui il a confiance : Karen Driver, experte en médecine légale; Steve Lopez, tireur d'élite et expert en informatique; John Andrews, éclaireur et spécialiste en communications. Chaque personnage aura son importance dans le roman et j'ai trouvé agréable de suivre cette équipe. Leurs réflexions n'envahissent pas le récit aux dépends de l'action, c'est dynamique.

Moins de monstres dans ce tome, mais un vrai cinglé : Nicolas Griffith, le scientifique génialement démoniaque. Enfin, des créatures étranges, il y en a quand même : c'est Resident Evil ! Et l'auteure nous offre un véritable labyrinthe avec le laboratoire de Caliban Cove.
Le récit est cohérent, efficace. Cette saga s'adresse clairement aux amateurs du jeu, mais il s'agit véritablement de faire durer le plaisir plutôt que d'exploiter un filon commercial : ce tome deux est très sympa, et m'a donné envie de plonger directement dans le troisième.
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"La Crique de Caliban" est un roman inédit, c'est-à-dire que son intrigue ne reprend pas celles des jeux-vidéos. Cette histoire, qui n'a donc jamais été jouable, se focalise sur le personnage de Rebecca Chambers que l'on rencontre dans le premier tome (bien qu'en fait ce ne soit pas sa première aventure dans l'univers).

N'ayant aucun support vidéo-ludique, ce roman souffre de pas mal de problèmes. Et c'est bien dommage. L'univers est plutôt respecté, il permet de développer un peu plus Rebecca, de créer de nouveaux protagonistes, mais au final ça reste léger et on sent que c'est pas de la trempe du reste. Et pourtant, c'est toujours la même auteure qui est derrière l'ensemble de cette saga de roman. Comme quoi, elle est peut-être meilleur pour ce que est des novélisations que dans la création de contenu inédit...
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Citations et extraits (8) Voir plus Ajouter une citation
Un virus qui transforme accidentellement plusieurs personnes en zombies, qui produit des monstres abominables utilisés comme armes vivantes... un virus inventé et tenu secret par une multinationale qui embauche des savants fous pour expérimenter sur des êtres humains. Il ne manque plus qu'un criminel de guerre nazi détenteur d'une bombe atomique, et nous tenons un best-seller.
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Se retournant vers son prisonnier silencieux, il se demanda s'il devait lui révéler le brillant stratagème qu'il avait imaginé pour capturer ses amis. N'était-ce pas ce que faisaient tous les "méchants" dans les films ? Néanmoins, il était d'avis que c'était une faiblesse de scénario et préféra opter pour le silence.
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Rebecca avait l'air un peu perdue, elle aussi. Elle regarda les trois hommes tour à tour. David Trapp lui-même paraissait vaguement mal à l'aise de sa décision, sans doute en raison de la jeunesse de Rebecca...
Les hommes ! Elle est jeune, elle est jolie, et sans aucun doute plus douée que nous tous réunis - mais le fait qu'elle soit jeune et jolie leur fait oublier le reste.
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Alors je les tuerai moi-même, je les étranglerai de mes propres mains ! Ils ne m'empêcheront pas de faire ce qui doit être fait. Ils ne peuvent pas - pas après ce que j'ai accompli, après tout ce que j'ai enduré pour en arriver là où je suis aujourd'hui...
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Ôtez à un homme sa capacité de choisir et son esprit devient libre, lisse et propre comme une ardoise vierge. Soumis au dressage, il se laissera domestiquer; sinon, il deviendra un simple animal, aussi inoffensif qu'une souris. Remplissez le monde de ces animaux, et seuls les plus forts survivront...
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