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Critique de ajc2ht


Pour moi, c'est un coup de coeur.
En ce moment, j'ai bien trop peu de temps pour lire et encore moins pour partager mes ressentis. Mais là, je prends quelques minutes pour vous parler de ce 19e opus de la série "Orcs et gobelins".
Ceux aiment se plonger dans les "Terres d'Arran", devenues "Le Monde d'Aquilon", se souviendront du personnage de Nerrom, le nécromancien orc dont l'elfe bleue Lanawyn va quérir l'aide dès le 1er tome de la saga. On le retrouve dans le tome 6, puis il nous fait ses adieux dans le tome 11, alors que la terrible Lah'saa se prépare à fondre sur le monde avec ses hordes de goules.
Notre vieux chaman retourne donc sur l'île de Mahalal pour avertir les siens du danger qui les menace. Pour faire face à l'elfe nécromancienne, il faut unir les clans. Unir des clans d'orcs guerriers qui, depuis des siècles, s'affrontent les uns les autres pour des rancunes parfois oubliées. Cependant, si Nerrom n'y parvient pas, c'est la mort pour tous.
Les personnages sont très bien fouillés.
Au dessin, on note quelques différences de character design entre la proposition originale de Kyko Duarte et celle de Marco Itri (le nez de notre héros a bien changé, par exemple), la composition générale de Paolo Deplano est immersive et les couleurs du Digikore Studio et Vincent Powell apportent toute l'intensité nécessaire à l'histoire.
Quant au scénario de David Courtois, son rythme est plutôt lent, parfaitement adapté à une intrigue aride, inquiétante, pour se terminer dans une apothéose de sorcellerie.
Alors oui, "Le Monde d'Aquilon" est une machine à sous, ainsi que j'ai pu le lire parfois. Mais je m'en fiche, avec des volumes comme celui-ci, mes sous sont bien dépensés.
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