Nous sommes tels des enfants capricieux. Nous utilisons les ressources n'importe comment, nous faisons des guerres entre nous...
La Terre, notre mère - car sans elle que serions-nous ? - essaie de nous mettre en garde, mais rien n'y fait.
Elle fait donc appel aux fées et aux elfes pour l'aider à souffler des bonnes idées aux enfants de la Terre. Pour prendre soin d'elle, mais également pour prendre soin les uns des autres.
Les grands enfants de la Terre n'étant pas ouverts (pour la plupart) à ce petit monde féérique, ce sont les plus jeunes qui les entendent, et essaient d'ouvrir les yeux aux plus âgés.
C'est un bien joli conte à lire aux petits enfants de la Terre.
Il y a de l'espoir à la fin, mais encore faut-il que nous écoutions ce que la Terre essaie de nous dire.
Les illustrations sont également très belles, très colorées.
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Une magnifique histoire, qui permet aux enfants dès le plus jeune âge de prendre conscience des richesses que notre terre nous apporte. A travers ce conte, nous avons une belle histoire avec des phrases simples, mais qui marquent nos enfants.
Elle parle de la pollution, de la guerre, du manque de savoir vivre, de l'égoïsme...
La terre est triste, la terre ne sait plus comment raisonner ses enfants qu'elle aiment tant, elle n'arrive plus à leur faire comprendre qu'en continuant ainsi, le Mère la Terre disparaîtra, elle fait donc appel aux fées et aux elfes (il faut pas oublier que c'est un conte, donc un peu d'imagination, de magie et beaucoup d'espoir).
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Il y avait une fois une Terre bien jolie,
une Terre comme il y en a peu dans l'univers.
Elle n'était pas bien grande, mais riche de beaucoup de choses
et ceux qui y vivaient avaient tout ce qu'ils voulaient.
Mais voilà... Ceux qui y vivaient manquaient de sagesse.
(...)
Ils dépensaient sans compter toutes les richesses que cette petite Terre avait patiemment mis de côté.
La petite Terre remarqua que les plus jeunes de ses enfants, ceux qu'on disait les plus petits, étaient en fait les plus sages et que, grâce à eux, les plus grands commençaient à changer, à regarder leur petite Terre avec plus de tendresse.
- Si, de temps en temps, vous preniez le temps d'être un enfant, vous verriez les choses autrement, murmura-t-elle aux grands.
La petite Terre aimait tendrement ses habitants comme une maman aime ses enfants.
Elle les grondait de temps en temps, essayait de leur dire avec ses maux qu'ils devaient être plus sages, qu'il leur fallait grandir, être moins capricieux.
Mais rien n'y faisait. Ils n'écoutaient pas, n'entendaient rien et continuaient à n'en faire qu'à leur tête.
Préjugés - Différence - confiance en soi
Ce n'est pas toujours facile de se faire des amis, surtout si l'on est une fée sans ailes. Pas d'ailes et un chat noir... Hum... cette fée n'est-elle pas plutôt une sorcière ?
https://www.pourpenser.fr/livres-enfants/78-la-fee-sans-ailes.html
Une histoire d'Aline de Pétigny (http://www.alinedepetigny.com/)
Musique et réalisation par Armel Dupas (https://www.youtube.com/channel/UCaj_4H29tHZYU6_aEGZkt2w)
Un podcast de Pourpenser (https://www.pourpenser.fr/)