Waouh ! Quel récit, quel témoignage et quel message d'espoir !
Il y a moyen donc de changer dans notre vie quotidienne.
Hé, oui. Mais tout ne tombe pas du ciel. Il faute de l'information et à partir de celle-ci, de la réflexion. L'autrice nous le montre à travers tout son livre. Elle ne cache pas les difficultés, les hauts et les bas mais aussi la joie et le bonheur de la réussite.
Merci à l'autrice pour ce beau partage.
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Joli ouvrage rempli de bienveillance sur l'écologie. A travers ce livre, Marie dévoile son cheminement vers l'écologie avec l'ensemble de ses remises en questions. de la nourriture à l'école en passant par le cercle familial, Marie nous embarque dans de nouvelles façon de pensées afin de trouver le bonheur. Nous ressortons grandi de cette lecture et rempli de motivation pour faire évoluer notre quotidien.
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Je ne m'attendais pas réellement à ce type d'essai qui se veut plutôt être un témoignage d'expérience un peu brouillon. Tout est mélangé et c'est dommage. On note de gros passage sur le zéro déchet mais sans explication sur la transition. On note également une classe en nature mais là aussi sans beaucoup d'explication sur la cheminement. Dommage de passer complètement à côté su livre. Je lui préfère de très loin le très bon No impact man de Colin Beavan.
Qu'ai-je fait et imposé à mes élèves jusqu'à aujourd'hui , N'est-il pas contre-productif voire contre-nature de demander à un enfant, dès trois ans, débordant d'énergie, de rester assis et d'écouter ? N'est-il simplement plus simple de leur faire vivre la liberté, d'adapter mon enseignement à l'essence même de l'enfance ? D'instaurer une confiance entre eux en me taisant, en les observant, tout court ? et de les mettre malgré moi en compétition ?
Ne serait-il pas plus pertinent de leur apprendre la coopération, l'entraide plutôt que de les comparer
Enseigner, c'est permettre à de futurs citoyens de penser par eux-mêmes, se construire en résolvant ces problèmes. Organiser des débats pour éveiller l'esprit critique de chacun.
Pour ensaigner, il faut avoir été privé de toutes ces choses. Ne plus tolérer, ne plus penser, ne plus avoir le sens critique et laisser la doctrine agir à notre place.
Encore beaucoup trop de parents sont méfiants vis-à-vis de l'institution, et pire, des enseignants. Et nous avons une grande part de responsabilité vis-à-vis de cela, nous, les professeurs. Lorsque je demande à un parent, à l'heure de la sortie, de rester cinq minutes car j'ai à lui parler, il se représente instantanément une scène de reproches. Alors, quand je lui dis que je suis surprise des efforts et des progrès de son enfant, j'ai pour réponse un très grand soupir de soulagement. " Ouf, je pensais que vous alliez me dire qu'il est infernal, j'avais déjà commencé à lui demander ce qu'il avait encore fait ! " Incroyable ! Cette relation, si primordiale et inhérente à la scolarité de l'enfant est à reconstruire dans la plus grande des bienveillances. Pour que chaque parent invité à attendre un rendez-vous avec l'enseignant s'en réjouisse !
Souvent, j'ai pu constater qu'après les périodes les plus complexes à gérer, il y a quelque chose de neuf, de résilient, de palpitant. C'est encore exactement le cas avec cette tranche de vie. Accepter la difficulté et une fois que c'est fait, laisser s'ouvrir une porte. Comme une lumière que l'on voit bien mieux dans la nuit qu'en plein jour.