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J'ai eu le plaisir de recevoir ce livre lors de l'opération Masse Critique. Consciencieusement, j'ai commencé à le lire en prenant des notes, pour laisser tomber très rapidement mon stylo tellement je me suis retrouvée happée par l'histoire de ces magiciens.
Je me suis attachée aux personnages, avec leurs noms étranges et moyennâgeux. Les membres de la famille Dolce ont tous des caractères différents, le grand-père, les parents, et les deux adolescents, en révolte contre le mode de vie qui leur est imposé (rester le plus discrets possible) surtout la cadette. Toute la famille devra lutter contre la guide des sorciers qui veut les anéantir. On se passionne facilement pour l'intrigue, et les nombreux rebondissements, qui s'accélèrent vers la fin du livre. Des questions restent en suspens, qui seront je l'espère résolues dans les prochains tomes.
En bref, l'histoire est plus qu'intéressante pour qui aime le fantastique, le rythme nous tient en haleine, et on a hâte de lire la suite.
Ce livre mérite d'être mieux connu, il fait partie des bons livres de littérature jeunesse, à conseiller.
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La famille Dolce est la dernière famille de magiciens. Son existence est menacée par la Guilde noire qui la traque sans relâche afin de l'exterminer. Pour survivre, les Dolce ont pour principale arme... la discrétion. Ils n'ont donc ni amis, ni téléphones portables, ni par conséquent... de vie normale. Mais les deux adolescents vont décider de se rebeller, ouvrant ainsi la chasse.

Roman d'aventure très dense qui retrace la vie d'une famille de magiciens et ses tribulations en 534 pages. Grand prix de l'imaginaire 2012 catégorie roman francophone pour la jeunesse.

Lien : http://0z.fr/WeRaX
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Il y va avec les livres comme avec les gens: au premier coup d'oeil, vous avez l'intuition que vous allez vous entendre ou non. Ce fut le cas avec la famille Dolce. Dès les premières pages, j'ai été conquise! Et ce n'est pas eux qui me contrediront, eux qui accordent la plus grande attention à leurs premières impressions.

Il faut dire que cette famille pour le moins atypique est confrontée aux mêmes difficultés que n'importe quelle famille au monde: relations conflictuelles entre parents et adolescents, difficultés de couple, soins à une personne âgée...
Evidemment, chez les Dolce, tout est amplifié! Difficile pour les enfants de conserver un jardin secret quand on a une mère qui lit vos pensées les plus intimes. Pas évident pour un mari de reconquérir le coeur de sa belle lorsqu'on est marié depuis près de cent ans et que dire des difficultés pour la famille de s'occuper d'un aïeul vieux lui de plus de dix siècles!

Dans cette galerie de personnages intéressants, ma préférence va aux seniors de cette aventure. le personnage de Melkaridion, l'aïeul de la famille qui a vu le jour en 920, petit-fils du célibrissime Merlin, m'a particulièrement émue. Difficile pour lui de s'adapter aux bouleversements du XXIe siècle et au brouhaha de New-York. Si son intelligence est intacte, sa mémoire est parfois défaillante! A moins qu'il ne s'agisse d'un processus d'auto-protection - "la mémoire n'est pas toujours une compagne douce et aimante"!

Le personnage de son ami d'enfance, Philippe Delondres, m'a également beaucoup touchée. Professeur d'histoire sans histoires, il s'est investi d'une mission, protéger coute que coute le secret de son ami. Sa relation toute en tendresse qui le lie à sa fille adoptive, Virginie, m'a littéralement fait fondre. Ce petit passage en particulier:

"Comme tous les soirs de son enfance, sans en manquer un seul, Philippe vint lui lire quelques lignes.
"Je ne suis plus une gamine, dit-elle nostalgique.
- On devrait continuer à raconter des histoires aux adultes, ça leur éviterait d'en faire la journée.""

Quant aux jeunes lecteurs, ils s'identifieront facilement aux deux ados de la famille: Antonius qui joue divinement de la guitare: une réincarnation de Jimmy Hendrix et Leamedia, la rebelle qui a comme devise: "ne pas offrir la moindre prise au ridicule, mais tout faire pour être remarquée"!

Les aventures de Docteur Green, le chat en peluche de Leamedia (qui passe du statut de fauve à celui de simple doudou en peluche selon que sa maitresse soit proche ou non de lui) ainsi que de Simone, la souris un brin dépressive, fidèle compagne et secrétaire de Melkaridion m'ont fait sourire. Petits clins d'oeil sympathiques aux dessins animés et à Stuart Little!

Autre référence cinéma, ce fameux bus londonien rouge à double étage! Lors de la fuite des Dolce, je n'ai pu m'empêcher de voir les images de notre célèbre Harry Potter et du magicobus... D'ailleurs, de manière générale, ce roman était très visuel. L'auteur, Frédéric Petitjean, écrit essentiellement pour le cinéma et a travaillé pendant dix ans dans les studios de production américains, comme scénariste de longs métrages et des dessins animés. Ceci explique cela! Une intrigue très musicale aussi. L'auteur, par le biais de ces deux jeunes héros, évoque de nombreux titres musicaux (je vous en reparle très vite dans ma rubrique "Playlist de...").

Puisqu'on parle de magie, ici, point de baguette, de formules ou de potions magiques. Les Dolce tirent leurs pouvoirs de leurs neurones! Utilisant leur cerveau à 100 % de ses capacités (l'histoire du cheveu à tirer pour l'éveiller est, il est vrai, un peu tirée par les cheveux!!!!), ils ont prise sur la moindre cellule de leur corps, peuvent communiquer avec n'importe quel vivant et influer sur les matières naturelles. Exit donc le plastique, les alliages, les GSM et autres appareils électroniques qui interfèrent avec leurs pouvoirs! Ce petit côté écolo m'a bien plu.

Quant au style, l'auteur qui s'adresse à la jeunesse, a pourtant pris le parti d'employer un registre de langue assez soutenu, notamment lorsqu'il retranscrit les notes de Philippe Delondres sur la famille Dolce et la Fondation 18 sur laquelle il enquête. Celui-ci donne encore plus de poids à ces expertises et rend le sujet plus consistant.

Seul bémol peut-être, le projet des "méchants" qui m'a paru nébuleux voire peu crédible. Racheter tous les sous-sols des grandes villes en vue d'y asservir les humains en tablant sur les épidémies et l'augmentation de la pollution en surface m'a peu convaincue. Il y a sûrement plus radical comme tactique...

En conclusion, les Dolce, voilà une famille attachante avec qui vous rêveriez de nouer des liens d'amitié. Et puis, "l'avenir de cette famille conditionne le tien, le nôtre et tout ce que cette planète comporte de vivant". Ils sont aussi les seuls à pouvoir révéler la magie qui sommeille en nous... Mieux vaut donc les chouchouter!

P.S.: Je ne pense pas trop m'avancer en vous annonçant que ce 2e tome sera rempli de suspense, d'action mais également de romance (les magiciens ayant la particularité de reconnaitre qui sera leur autre moitié). Selon la maison d'édition, Les Dolce 2 - Les cinq secrets, devrait sortir en librairie en novembre 2012. le tome 3 intitulé le Dernier Puits est quant à lui prévu pour l'année suivante.

Lien : http://lacoupeetleslevres.bl..
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Quelle famille incroyable, ces Dolce. Les cinq membres qui la composent font partie de la dernière lignée de magiciens sur terre, c'est vous dire la pression qui pèse sur chacun d'eux. Ils vivent à New York depuis quatre ans. L'aieul Melkaridion est un descendant de Merlin, il serait né vers l'an 920, il en a vu des guerres et des révolutions, Simone sa souris domestiquée est toujours là pour raviver sa mémoire quelque peu défaillante. Sa fille Mélidiane a beaucoup de tempérament, mais elle est surtout la personne qui pondère le reste de la famille en tentant de gérer au mieux ses enfants dans leurs relations avec les humains « normaux ». Son mari Rodolphérus est un chercheur, toujours le nez dans les bouquins qu'il lit en quelques minutes, un homme posé, calme, qui manque clairement d'attention envers ses adolescents. Son fils Antonius joue merveilleusement de la guitare, use de magie à l'école, n'est pas insensible au charme des filles, plutôt gentil, un brin rêveur, il aimerait bien parfois être un ado comme les autres. D'ailleurs sa soeur Leamedia est la rebelle de la bande, plutôt révoltée elle n'en peut plus du rythme de vie que ses parents lui imposent.
Si la famille est aimante, soudée et plutôt à l'écoute, la vie d'un magicien n'est pas simple. Traquée par la guilde noire – des anciens magiciens devenus sorciers – Les Dolce doivent faire preuve de discrétion. Pas de portable, d'internet et de tout autre moyen de communication, une existence sociale réduite et au moindre doute ils déménagent. Leur maison malléable à souhait se transforme en un magnifique bus à impériale prêt à rouler sur la route zéro - route des magiciens - pour échapper au machiavélique Démétrius Torque, patron de la fondation 18, qui a entreprit de racheter tous les sous-sols des grandes villes afin d'y faire vivre les humains.
le jour de son anniversaire, lors du rituel initiatique qui fait de Léamédia une magicienne à part entière, la jeune fille s'empresse d'utiliser ses nouveaux « pouvoirs » à mauvais escient. L'existence des Dolce est alors mis en lumière dans toute la ville les contraignant à s'enfuir, la guilde noire à ses trousses.
L'auteur introduit dans l'histoire deux personnages que je trouve personnellement très beaux ; Philippe Delondres – ancien historien ayant rencontré Rodolphérus – et sa fille Virginie jeune journaliste, à qui il va confier ses cahiers de recherche sur la famille Dolce. Bonté, générosité et humanitése dégagent de ces personnes.
Pas de baguette magique ni d'artifice particulier chez Les Dolce, ce sont des êtres intelligents, cérébraux, communiquant par télépathie. L'auteur nous embarque avec lui dans l'histoire qu'il raconte. On vit avec cette famille pendant une semaine qui passe à une vitesse folle, des jours remplis d'événements et de rebondissements variés. On ne peut qu'éprouver de l'empathie pour elle.
Il y a dans ce texte – très bien écrit – du rythme, du suspense, de la tendresse, de l'amitié, de la noirceur aussi évidemment... la fin de ce tome est particulièrement enlevé avec une révélation surprenante et un amour naissant. Les Dolce vont-ils réussir à s'échapper des griffes de la guilde noire ? Dans quelle contrée allons-nous les retrouver ? Qu'adviendra-t-il des cinq derniers magiciens de la planète? La suite dans le Tome II, Les cinq secrets...

Lien : http://lesmotsdelafin.wordpr..
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Les Dolce forment une famille un peu particulière car ils sont magiciens. Pas le genre à sortir un lapin d'un chapeau ou à scier une femme en deux. Non, eux, ils ont un étroit contrôle sur toutes les cellules de leur corps, ce qui leur confère des aptitudes extraordinaires. Ils peuvent également lire dans les pensées et communiquer par ce biais. Malheureusement, c'est la dernière famille de magiciens. En effet, au fil des siècles le nombre de magiciens s'est drastiquement réduit. Ils sont traqués par leurs homologues maléfiques, les sorciers, et surtout par la Guilde Noire. C'est pour fuir ces ennemis trop puissants pour eux que les Dolce déménagent sans cesse et essayent de se faire aussi discrets que possible bien que cela ne soit pas facile tous les jours.

Concrètement, on suit trois groupes. En premier lieu la famille Dolce dont la vie n'est pas toujours simple. Mais également leur plus grand ennemi - la Guilde Noire - ainsi qu'une jeune journaliste, Virginie, et son père. Ces trois intrigues se mêlent et s'entremêlent, entre rebondissements et retournements de situations plus ou moins inattendus. On se rend vite compte que les Dolce sont en grave danger, mais qu'il y a bien plus. Cette lutte entre deux clans les dépasse largement, car les enjeux sont mondiaux. Les sombres desseins de la Guilde Noire mettent en péril tous les humains de la planète.

La suite sur le blog :)
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Lorsque Pocket Jeunesse nous l'a présenté et a montré le résumé, j'ai tout de suite été intriguée par cette histoire. de la magie, du suspense, de l'action : tout un mélange qui me plaisait. Malheureusement pour moi, ça n'a pas fonctionné. Dès le début je me suis sentie perdue dans cet univers, mais j'ai voulu lui laisser une chance et ai continué ma lecture. Cependant, à 200 pages, j'ai compris que ce livre n'était pas pour moi, donc j'ai pris la décision de l'abandonner.

Antonius fait partie d'une grande famille de magiciens : les Dolce. Cependant, malgré leurs dons hors du commun, ils doivent rester cachés de tous, au risque d'être pris pour des fous. Néanmoins, une dure mission les attend : sauver la planète d'une pollution irréversible, orchestrée par les sorciers de la Guilde Noire. À côté de cela, ils sont aussi recherchés par ces derniers à cause de leurs dons. de ce fait, ils ne peuvent pas montrer aux gens de quoi ils sont capables, et restent donc en marge de la société. Jusqu'au jour où la soeur d'Antonius décide d'utiliser un sort qui les fera repérer.

Je ne peux malheureusement vous en dire plus, étant donné que je n'ai pas été plus loin. Bien que l'intrigue et les personnages étaient intéressants et très originaux, je n'ai pas accroché à l'univers et je me suis sentie perdue dès le départ. J'ai trouvé que les descriptions étaient trop fouillis, m'empêchant de m'adapter clairement au roman. En fait, je n'ai rien compris à l'univers, bien que l'intrigue soit assez simple à comprendre. Je crois que ce qui m'a réellement perdue, c'est la maison des Dolce. Il y avait trop d'informations et donc je me perdais vite dans leur manière de vivre et de fonctionner.

Bien que j'ai trouvé certains des personnages assez drôles (surtout le grand-père qui se croit dans une autre époque), je n'ai pas réussi à m'attacher à eux, et donc à m'y identifier. Ce qui est dommage, parce que malgré tout cela, je ne doute pas que cette saga est une très bonne histoire, avec des idées inventives et qui pourraient plaire à beaucoup.

En résumé, je n'ai pas du tout réussi à m'attacher à l'univers, j'ai vite été perdue dans toutes ces descriptions et je n'ai pas réussi à m'identifier aux personnages. Je suis déçue de ne pas avoir aimer, mais je ne doute pas que cette saga trouvera ses lecteurs comme elle le mérite !

* Je remercie Marie et PKJ pour leur confiance ! *

SORTIE LE 17 MARS 2016 !

Justine P.
Lien : http://lireunepassion.blogsp..
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Quand j'ai ouvert ce roman, je ne m'attendais pas être autant aspiré par cette histoire. On s'attache très vite aux nombreux personnages, notamment aux deux enfants de la famille Dolce et les pages filent sans qu'on s'en rende compte. Ce qui m'a le plus intrigué avant même d'ouvrir le livre, c'est la couverture. L'histoire étant censée se dérouler à New York, je ne comprenais pas vraiment la présence du bus à l'impériale.


Le roman est divisé en plusieurs parties qui correspondent aux jours pendant lesquels l'histoire se déroule. J'ai trouvé ce procédé plutôt ingénieux car il permet de découvrir ce qu'il arrive à tous les personnages à plusieurs moments de la journée sans pour autant être perdu et ne plus savoir où on en est. On peut dire qu'il se passe un nombre incroyables de choses en peu de jours.

Dans la famille Dolce, on a le grand-père, Melkaridion, un très vieux magicien qui a connut plusieurs époques de l'Histoire, un magicien vieillissant beaucoup moins vite qu'un être humain normal. Nous avons aussi Mélidiane et Rodolpherus, les parents, ainsi qu'Antonius et Leamedia, les enfants adolescents. L'anniversaire des onze ans (seize ans en vrai) arrivent et elle va devenir magicienne mais elle se rebelle tandis qu'au même moment, le Metropolitan (un musée de New York) expose un vieux livre qui intéresse beaucoup la famille Dolce mais également les sorciers qui cherchent à les détruire. Comme les Dolce sont la dernière famille de magiciens, ils ne sont plus autant puissants qu'autrefois mais on quand même de grandes capacités qu'ils doivent s'efforcer de cacher au monde.

On se rend vite compte que tous les personnages que l'on rencontre, hors la famille Dolce, leur sont liés où tentent de mieux les connaître. Par exemple, Debby, qui voudrait devenir amie avec Melidiane, Philippe Delondres, qui connait l'histoire de la famille Dolce et qui tentent de les aider avec l'aide de sa fille journaliste, Virginie ou encore les terribles ennemis des Dolce, La guilde noire.

Ce que j'ai aimé dans ce roman, c'est qu'il ne parle pas uniquement de magie mais de beaucoup d'autres choses, notamment de la famille avec Les Dolce ou avec la petite famille que forment Philippe et Virginie. Il parle également d'amitié, d'amour, d'éducation, d'adolescence, de trahison et de complot. On comprend vraiment ce que peuvent ressentir les personnages dans les situations dans lesquelles ils ont amenés à être.

C'est un très bon roman, vraiment bien écrit et qui mérite vraiment d'être lu. L'auteur, Frédéric Petitjean est principalement scénariste et cela se sent dans son écriture et dont la manière dont les différentes scènes sont chapitrées.

Le seul problème, c'est peut-être la quatrième de couverture qui révèle trop de choses qui arrivent assez tard dans le roman et c'est assez dommage.

Et puis, c'est une trilogie qui nous attend. le deuxième tome Les Dolce, Les cinq secrets devrait paraître en octobre 2012.


Vivement la suite !
Lien : http://lemondedarlavor.blogs..
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New York, juin 2011. Les Dolce sont une famille de magiciens. Et dans cette famille il y a le grand-père, Melkaridion, à la mémoire quelque peu défaillante (ce qui n'a rien d'étonnant lorsqu'on sait qu'il est né en l'an 920 !) ; les parents, Rodolphinius et Mélidiane ; les enfants, Antonius, qui joue de la guitare dans un groupe de rock, et Leamedia, une ado tendance rebelle et révoltée ; sans oublier Simone, la souris de Melkaridion, et Docteur Green, le chat en peluche de Leamedia. Les Dolce sont confrontés aux mêmes problèmes que les gens normaux, aux mêmes petits conflits familiaux, mais en plus, et parallèlement, ils doivent mener à bien une mission : sauver la planète d'une pollution destructrice !

L'avis de Zoé, 15 ans : Bien que l'idée de départ ne soit pas des plus originales, ce roman bien écrit et haletant promet au lecteur encore de belles aventures.

L'avis de la rédaction : L'intrigue et le style de ce roman ne m'ont pas vraiment séduite, mais j'ai quand même été happée par l'histoire de cette famille extraordinaire et fascinée par les éléments magiques de sa vie. 
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Pour les Dolce la normalité n'existe pas. Ils représentent la dernière famille de magicien au monde. Ils ont des pouvoirs considérables, un contrôle de leur corps extrême, télépathie, télékinésie, force, intelligence et une mémoire exceptionnelle.
Un roman qui mélange secrets de famille, histoire, identité. Cette histoire est un énorme coup de coeur en littérature jeunes adultes. Une écriture mature, un récit prenant, pas de temps mort. Il dépasse largement la petite histoire simpliste de magicien, traitant de relations humaines complexes, de relations familiales dures.

Béné
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Ne pensez pas que la magie c'est terminé. Qu'après Harry Potter on ne trouverait plus rien de génial...Faites place à la famille Dolce.

J'ai longuement hésité avant de le lire mais bon qui ne tente rien, ne peut pas savoir. Tout de suite j'ai accroché, dévorant ce roman, pestant contre moi-même quand la fatigue se faisait sentir.

Le livre est très bien mené, beaucoup de rebondissement (même si certains ont été un petit peu prévisibles) mais surtout une famille extraordinaire, la dernière dans son genre, la seule et unique famille de magicien encore vivant. Nous découvrons des personnages ayant des capacités physiques et intellectuelles exceptionnelles. Une aventure qui nous plonge dans des siècles d'histoires, des secrets enfouis.
Bien sûr la guilde noir n'est pas bien loin. Des sorciers puissants qui ne veulent que leur perte.

Je suis extrêmement frustrée de devoir attendre la suite. C'est un livre jeunesse à réellement découvrir, un nouveau souffle très agréable à découvrir sans tarder.
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