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Dites au curé, dites au pasteur
Qu'ailleurs ils aillent se faire pendre
Le diable est passé de bonne heure
Et mon âme n'est plus à vendre
Si vous me laissez cette nuit
À l'aube je vous donnerai ma vie
Car que serait ma vie sans elle ?

Comme une envie de hurler du Johnny à m'en péter la glotte ( RIP ma glotte ) en refermant ce bouquin !!! Et un curé, y en a bien un dans ce polar déjanté, un qui se pendrait bien pour tâter une belle paire de fesses. Esteban Lehideux, dit Requiem. Prêtre pour le moins atypique , exorciste, agent secret du Vatican, écrivain de polar, qui se retrouve mêler au coeur d'une série de meurtres visant des SDF et mettant en scène à la fois ses bouquins et des chansons de Johnny. Vi vi, rien que ça !

Tu l'auras compris, on est dans le polar joyeusement foutraque, tout pour l'éclate. Et tu t'y éclates à suivre ce Requiem qui doit souvent s'excuser auprès de son Patron, notre Père qui êtes aux cieux ! Côté langue, c'est hommage au grand Frédéric Dard, ça trucule à tout va, les mots se pourlèchent avec délectation même si parfois, l'auteur en fait un peu trop, notamment à haranguer trop systématiquement le lecteur.

Mais peu importe, tu suis l'enquête whodunnit sans qu'elle ait finalement beaucoup d'importance , juste parce que t'es content d'être là. Mais, attention, ce n'est pas que la déconne pour la déconne, ce serait trop facile, non tu plonges en immersion dans le monde des SDF parisiens infiltré par des méchants fachos beurk. On sent la veine humaniste d'un auteur indigné entre deux parties de jambes en l'air avec une accueillante maquilleuse qui aide Esteban à infiltrer les SDF jusqu'à résolution.

Je n'étais qu'un fou mais par amour
Elle a fait de moi
Un fou, un fou d'amour
Mon ciel, c'était ses yeux, sa bouche
Ma vie, c'était son corps, son corps
Je l'aimais tant, oui que pour la garder, je l'ai tuée.

Amen.
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Gabrielle, tu brûles mon esprit ton amuur étrangle ma vie, et l'enfer....
Ces aventures de Requiem, sont sous le signe de notre Johnny national. Un faux sosie de Johnny, un vrai serial killer tueur de SDF, de personnes que la vie n'a pas épargnées.

Un thriller d'humour noir et d'horreur. Comme dans les trois précédentes aventures de Requiem (à lire de toute urgence*) c'est déjanté, drôle et bien écrit, cela fait penser de plus en plus à Audiard en fait non, c'est du Stanislas Petrosky.

Un puuur moment de bonheuur!

En quatrième de couverture il y a d'écrit:» la rencontre de don Camillo et de San-Antonio»

On ne saurait dire mieux.

*Publicité gratuite, l'auteur ne m'a pas acheté (d'ailleurs on n'a pas dit combien...)
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Requiem pour un fou de Stanislas Petrosky paru chez French Pulp éditions.

De l'humour, en veux-tu en voilà, un superbe sens de la répartie, qui donne un sacré peps à la lecture et l'intrigue. L'intrigue qui, malgré ces meurtres glauques, garde une fraîcheur sans pareil, grâce au personnage déjanté qu'est Requiem.

L'intrigue est déjantée et farfelue, Requiem, prêtre exorciste et agent secret travaillant pour l'Église, doit résoudre plusieurs meurtres de SDF, la mise en scènes emprunte à la fois à la religion et aux chansons de Johnny Hallyday.

L'auteur, révèle avec parcimonie les éléments permettant de comprendre le sens de son intrigue, mais sans jamais que le lecteur ne s'ennuie. Requiem est à la fois enquêteur et narrateur, multiplie les clins d'oeil à ses lectrices, ce qui est vraiment complètement barge, mais donne une touche marrante à la lecture, tout en créant une complicité entre le lecteur et l'auteur.

L'auteur ne se contente pas de nous entraîner dans un polar ordinaire, son livre est aussi un message sur le sort des SDF, la place de ceux qui les aident, notamment en nous parlant de l'association Magdalena créée par un prêtre en 1998, qui consacre son oeuvre aux parias de la société.

J'ai été très touchée par les mots de Requiem, notamment sur le regard que l'on porte sur les SDF, « en ne pensant à eux qu'en hiver, alors qu'en été cela est tout aussi dévastateur »…

https://julitlesmots.com/2019/09/23/requiem-pour-un-fou-de-stanislas-petrosky/
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Je remercie chaleureusement French Pulp Éditions pour l'envoi en service presse de Requiem pour un fou, qui est le tome 4 de la série Requiem de Stanislas Petrosky.
Pour commencer, prenez :
- Un prêtre exorciste agent du Soda-litium Pianum, les services secrets du Vatican;
- un curé qui a compris qu'il avait fait le voeu de célibat et non de chasteté;
- un homme d'Eglise qui manie la langue d'Audiard avec amour;
- un abbé qui vous confesse avec la délicatesse du marginal de Jacques Deray.
Vous obtiendrez Requiem...
Le résumé me tentait, m'intriguait et je n'ai pas été déçue, cet ouvrage a totalement comblé mes attentes : lire un policier humoristique bien ficelé.
Même si cet ouvrage est le tome quatre, je dois avouer que j'ai pas été perdue une seule minute. Je ne connaissais pas Requiem, ce héros très différent de ce que je pouvais imaginer en démarrant ma lecture. En effet, nous avons un prête exorciste, agent secret qui.. travaille pour l'église ! Ce n'est pas banal :)
Le narrateur est le fameux Requiem et j'ai adoré le ton de ce roman. Il y a beaucoup d'humour noir, c'est très rythmé, et très original.
Requiem enquête sur des meurtres de sdf, il fait preuve de beaucoup d'empathie et l'auteur met en avant ceux qui les aident. J'ai apprécié le message véhiculé dans ce roman policier.
Ayant apprécié la plume de Stanislas Petrosky, il est évident que je relirais cet auteur avec plaisir.
Ma note : 5 étoiles.
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Merci à NetGalley et à French Pulp éditions de m'avoir permis la lecture de ce polar déjanté.
Esteban Lehydeux ,alias Requiem ,est un prêtre exorciste mais aussi agent secret auprès du Vatican et auteur de polar à ces moments perdus.Quand son pote flic,Régis Labavure ,l'appelle pour lui demander son avis sur une scène de crime,il ne se fait pas prier d'autant que le meurtrier s'est livré à une mise en scène à connotation religieuse et qu'un livre de l'auteur traîne près de la victime.Un bon polar assez drôle.
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Allez venez, Milord
Vous asseoir à ma table
Il fait si froid dehors
Ici, c'est confortable
Laissez-vous faire, Milord
Et prenez bien vos aises
Vos peines sur mon coeur
Et vos pieds sur une chaise
Je vous connais, Milord
Vous ne m'avez jamais vue
Je ne suis qu'une fille du port
Une ombre de la rue

Oh merde ! Je me suis trompée de chanteur !!!!! le tueur de Stanislas Petrosky adapte des chansons de johnny hallyday , pas de la môme Piaf ! Ah et ça se dit blogueuse, et ça veut donner son avis !!! Bon vous faites comme si je n'avais rien dit hein, soyez sympa avec moi !

Requiem revient pour le plus grand bonheur de ses lectrices (et lecteurs). C'est sa , attends je compte sur mes doigts … 3 ou c'est ça ! troisième aventure ! donc Requiem on ne le présente plus.. *

*Sinon, je t'invite lecteur de mon coeur (oui suis en mode Petrosky) à lire les articles de je m'appelle requiem et je t'..–.Dieu pardonne lui pas – le diable s'habille en licorne (je ne me leurre pas tu ne liras pas tous les liens, mais je les note tout de même 😉 )

Alors voilà Clyde à une petite amie,son prénom c'est Bonnie (j'ai toujours rêvé d'écrire cette réplique 🙂 Merci Requiem de me permettre de faire une chronique « exutoire » voir « fantasque » à l'image de ton personnage 🙂 Non, ici pas de Bonnie and Clyde mais un tueur qui massacre les personnes en marge de notre société. Et plus sérieusement, car sous la couche d'humour de l'auteur, il y a comme d'habitude un vrai message, les sans-papiers, les SDF, ceux qui n'ont plus rien à quoi se raccrocher. Cette population toujours de plus en plus importante chaque année.


Peut-on rire de tout ? Oui, mais pas avec n'importe quel QI

Toujours avec des répliques à noter dans votre carnet, Stanislas Petrosky nous offre encore une fois un roman plein d'humour noir, au lait , léger ou fort ..Y'en a pour tous les goûts.
Lien : https://lesciblesdunelectric..
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Moins de fautes que dans les deux précédents (je n'en ai pas vu en tous cas) donc ça a été un soulagement de se laisser emporter... mais ça n'a pas super bien marché non plus. On est immergé cette fois dans le Quart-monde parisien et j'aime bien ce côté social qui ressort dans ces ouvrages. Vous me direz, vu que le héros est un curé, c'est la moindre des choses. Peut-être.
Bon ce qui m'a agacée (pour ne pas dire gonflée) c'est le gros méchant final: on replonge dans un volume précédent où on pensait que l'affaire était bouclée, mais non, pas tout-à-fait... (pour savoir de quoi je parle il faudra les lire. Tous.)
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Stanislas Petrosky nous livre avec "Requiem pour un fou" un polar décapant. On suit les aventures d'un prêtre exorciste et agent secret oeuvrant pour l'Eglise, que l'on nomme Requiem, et qui en plus publie ses aventures. Dans cette histoire (d'autres aventures ont été écrites avant, je dois absolument les lire), on a affaire à plusieurs meurtres de SDF mis en scènes dans des imitations à la fois religieuses et en rapport avec des chansons de Johnny Hallyday. le héros est mis en cause par le(s) tueur(s) avec son dernier livre bien posé en évidence sur la scène de crime. Il comprend vite qu'il est la cible du coupable.
Un très bon polar rempli de situations cocasses que l'on déguste avec plaisir.
#RequiemPourUnFou #NetGalleyFrance
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Coucou ! C'est moi ! C'est Sharon ! Alors, cher monsieur Petrovsky, j'espère que vous avez de l'humour parce que vous allez en avoir besoin en me lisant. Oui, je sais, je fais d'ors et déjà preuve d'une grande ambition en affirmant que mon avis sera drôle. Je n'ai absolument pas l'intention de vous faire pleurer en l'écrivant !

Déjà, certains fuiront ce livre, parce que le héros est un prêtre exorciste hors-norme. Pourtant il applique à la lettre le commandement le plus important de la religion catholique : « Aimez-vous les uns les autres ». J'en conviens, il ne l'applique pas comme on s'attend à ce qu'un prêtre l'applique. Il ne faut pas avoir l'esprit étroit, et ce qui se passe entre adultes consentants, et bien, cela ne nous regarde absolument pas. J'en profite d'ailleurs pour ajouter (comme ça, c'est fait) que je suis profondément anti-cléricale pour des raisons qui ne regardent que moi : autant dire que quelqu'un qui sort de la norme ne pouvait que me plaire.

N'oublions pas : d'autres fuiront parce qu'il est question de Johnny Halliday et de ses plus grandes chansons, de ses fans aussi – je parle des vrais fans, bien sûr. J'ai d'ailleurs trouvé le récit très respectueux envers ceux qui admiraient l'artiste. Aussi, ce cher Requiem est très vite persuadé qu'il est im-pos-si-ble qu'un fan ait pu commettre les meurtres : quand on aime quelqu'un, quand on veut lui rendre hommage, on ne salit pas sa mémoire en le couvrant de sang et d'opprobre. Nanmého !

Au cours de cette quatrième enquête, Requiem, enquêteur et narrateur, multiplie les clins d'oeil envers ses lecteurs et surtout, ses lectrices. Et c'est le moment pour moi de caser le célébrissime : « cette enquête peut être lue indépendamment des autres », qui fait toujours plaisir et rassure le futur lectorat. Bon, je vais tout de même être claire, nette et précise, j'ai lu le tome 1, les tomes 2, 3 et 5 sont d'ors et déjà dans ma PAL. Je ne fais pas un régime « sans polar », mes journées de lectrice seraient tragiques.

Hum ? L'enquête ? Mais bien sûr que Requiem enquête, que croyez-vous, qu'il se repose ? Notons en revanche que ses tympans sont parfois mis à rude épreuve, c'est ça, d'avoir des assistants « doués » pour le chant, maîtrisant par-fai-te-ment l'oeuvre du taulier. Il y a des boules Quiès qui se perdent.

Ce qui ne se repose pas, en revanche, c'est sa capacité à s'indigner, et à aider les autres. Les victimes des meurtres sont tou(te)s des laissés-pour-compte de la société, des personnes qui ont dégringolé, ont raté un barreau dans l'échelle de la vie, puis un autre, encore un autre, jusqu'à se retrouver dans la rue. Il est des personnes courageuses, qui vont au-devant d'eux, les aident sincèrement, et il y en a d'autres qui s'en servent pour les enfoncer davantage. Oui, la vie n'est pas toujours belle.

Et l'enquête ? Oui, je vous entends. Pour utiliser à nouveau une formule toute faite » ses racines sont à chercher dans le passé de l'enquêteur ». Enquêteur qui a très très envie d'en découdre avec le(s) coupable(s) et je le comprends.

A la prochaine ! La prochaine enquête, entendons-nous, parce qu'un coupable ( ou des coupables, je laisse planer le doute) pareil(s), je n'ai pas envie d'en revoir.
Lien : https://deslivresetsharon.wo..
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Il ne faut pas croire que parce qu'il est prêtre exorciste et agent du Sodalitium Pianum, les Services secrets du Vatican, que Requiem, alias Esteban Lehydeux, se tourne les pouces en attendant une hypothétique affaire de démonologie.

D'ailleurs, il sait bien que les démons ne se trouvent pas là où on les attend, mais souvent dans les coulisses du pouvoir. Mais n'extrapolons pas, ce n'est pas notre propos. Non, Esteban (d'église !) est, au moment où nous le retrouvons dans cette nouvelle aventure, fort occupé à aider les bénévoles de l'association Magdalena, basée à Boulogne-Billancourt. Cette association caritative vient en aide aux SDF et autres cabossés de la vie.

C'est alors qu'il reçoit un appel téléphonique de son ami Régis, le commissaire de police. Régis est sur une scène de crime et il a besoin des lumières, et du son par la même occasion, de son ami Requiem. En effet, par un pur hasard géographique, le corps d'un homme a été découvert dans un appartement de Boulogne-Billancourt et bille en tête notre curé se précipite, car il est impliqué.

En effet le cadavre, qui avait été placé dans un appartement destiné à la location, est agenouillé sur un prie-Dieu, des phrases sont inscrites sur une glace à l'aide d'un marqueur, des phrases qui se réfèrent à des prières mais dont des mots sont en trop, et surtout, surtout, le dernier roman publié en date de Requiem est retrouvé sur place. Et c'est bien cet ouvrage qui a inquiété le commissaire Labavure, Régis de son prénom. Que venait faire ce livre en cette galère !

Ceci aussi inquiète Requiem, toute la mise en scène en réalité. D'autant que d'autres corps sont retrouvés dans des conditions similaires, avec toujours des références religieuses légèrement détournées, et à chaque fois le roman de Requiem. A croire que l'assassin s'était constitué un stock d'ouvrages, ce qui est bon pour la vente, et donc sur le pourcentage qui ruissellera dans l'escarcelle de l'éditeur et de l'auteur.

Cécile, la copine de Requiem, celle qui lui permet de passer des nuits blanches, arrive sur les entrefaites pour le week-end. Ah heureux curé qui connait sa Bible et surtout la théologie chrétienne, qui sait que le célibat des prêtres n'a été décidé que depuis le concile du Latran de 1123, et bien d'autres références qui lui permettent de contourner la doctrine en vigueur, se prête volontiers au simulacre de la reproduction, un interdit que bravent allègrement certains religieux en s'occupant de la sexualité des gamins, se souvenant des paroles du Christ qui disait Laissez venir à moi les petits enfants.

Cécile qui accompagne Requiem sur les lieux de meurtres et donne la signification des messages inscrits sur les lieux des crimes et se rapportent à des chansons de Johnny Halliday. Oh Marie, si tu savais…

Et comme Régis Labavure est dépendant d'un chef, un commissaire divisionnaire, qui n'apprécie pas (le mot est faible) l'intrusion de Requiem dans l'enquête. Monsieur le Divisionnaire est un grand lecteur, mais la littérature populaire, surtout policière, est au dessus de ses gammes de prédilection, alors un ouvrage d'une teneur guère orthodoxe, et encore moins catholique, ne plaide pas en faveur du prêtre-romancier.

Bientôt germe dans l'esprit (sain) de Requiem l'idée que le fauteur de troubles lui en veut et que la cible bientôt se sera lui. Et comme les morts étaient tous des cabossés de la vie, il requiert les compétences, via Falvo, son patron au Vatican, compétences dans des domaines pratiques, matériels et autres, notamment la venue d'une charmante maquilleuse. Et il se mêle au troupeau toujours plus nombreux des SDF (Sans Dents Fixes) qui attendent la provende distribuée par l'association caritative qu'il aide. Association qui n'est pas la seule à proposer des repas gratuits car d'autres effectuent un tri dans les bénéficiaires en distribuant de la soupe au cochon, ce qui exclue quelques faméliques.



Moins humoristique que dans ses précédents romans consacrés à Esteban Lehydeux, Stanislas Petrosky s'intéresse plus à un phénomène de société, celui des pauvres obligés de vivre dans la rue, ravitaillés par des associations caritatives dévouées, ou malfaisantes, par exemple les Identitaires.

Mais outre la dénonciation du traitement infligé à ces pauvres hères, l'auteur se défoule en pointant du doigt les dérives d'une société, dite moderne, qui régresse mentalement, sous couvert de la moralité. le harcèlement sexuel de rue par exemple, toujours à mettre sur le compte des hommes naturellement, car les femmes n'oseraient jamais se promener en mini-jupe et fringues affriolantes et attiser la convoitise masculine. C'est bien connu !

Si j'ai écrit que ce roman est moins humoristique que les précédents, le contexte ne s'y prêtant guère, certaines scènes ou réflexions sont toutefois glissées ici et là afin d'apporter la note joyeuse indispensable à la décompression nécessaire exigée pour mieux savourer les coups de griffes, les coups de gueule, les idées de bon sens émises. Alors entre deux parties de soutane en l'air, et deux interpellations au lecteur et plus principalement à sa lectrice, l'auteur émet et glisse ses sentiments de révolte, ce qui ne changera rien à l'ordre des choses mais lui permet de se défouler et d'être en paix avec lui-même.

Avant d'être un roman humoristique, il s'agit d'un roman humaniste. Amen !


Lien : http://leslecturesdelonclepa..
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