Récit d'un été adolescent... qui m'a fait penser que je suis heureuse d'en être sortie depuis longtemps.
Habituellement, j'aime assez les romans qui se passent dans un passé rapproché, dans un endroit que je connais de surcroît, cette fois-ci je suis restée de marbre. Pas d'excitation, ni d'emportement, ni d'empressement à continuer la lecture.
Il n'y avait pas vraiment d'intrigue, ni d'objectif clair de la part de l'auteure. Je ne suis pas particulièrement difficile en littérature et je n'y connais pas grand chose, mais vraiment j'ai trouvé ce roman plutôt fade.
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Bien aimé ce roman qui se passe à une période que j'ai connue. Un livre ou la narratrice quitte l'adolescence pour devenir une adulte.
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Par son style et parce qu'il se laisse dévorer sans cérémonie, Un été à No Damn Good fera un bon compagnon de lecture pendant les vacances.
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Un roman pétillant qui se déroule en 1971 et qui raconte un été de grands bouleversements dans la vie de Nora P., 14 ans.
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Comme modèle d'affranchissement et d'accomplissement personnel, ma mère était LA référence. C,est pour le reste qu,elle laissait à désirer. pour la vie normale, la domesticité, le quotidien et son ronron d'une platitude certes abyssale, mais ô combien apaisante. ( p.55)
...S'en détacher était nettement plus pratique et avait l,avantage de me prémunir contre la carence affective. (p.67)
Leur union m,ayant formée et façonnée, leur désunion ne pouvait que me fracturer et me fragmenter. (p. 129)
A quatorze ans, l,amour est une abstraction, l'amitié, une réalité rassurante. (p 219)