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3,65

sur 769 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
La drôle de vie de Zelda Zonk ? Je la cherche encore.
S'il y a bien une chose que je déteste, c'est que les éditeurs nous roulent dans la farine. C'est clairement le cas ici ! Je m'attendais à une enquête sur la vie d'une charmante et intrigante dame âgée. Un sujet qui m'intéressait fort, pour la simple et bonne raison que j'ai une grande sensibilité pour les personnages âgés, leur savoir et leur sagesse. Et puis, ni une, ni deux, je me retrouve à lire tout ce que je déteste : une romance. Oui, oui, ce roman n'est rien de plus qu'une romance.

Alors le spitch de base est simple : une femme a un accident, elle s'en sort mais depuis ne sait plus ce qu'elle veut dans la vie. du coup, qu'est-ce qu'elle fait ? Je vous le donne en mille : elle trompe son époux !

Autant vous dire que cette Hanna m'a légèrement exaspéré, énervé, dégoûté ... du coup, lorsque le personnage malheureusement principal vous fait cet effet, il n'y a qu'une chose à faire pour riposter : refermer le roman.

Oui, oui, j'ai abandonné (à la moitié quand même). Moi ce que je voulais, c'était une histoire intéressante : pas un tel ramassis mielleux et sans valeurs morales.

J'avais lu Stockholm de cet auteur et j'avais eu le même problème : l'impossibilité de m'attacher au personnage principal.

Encore une fois, je me demande comment certains romans peuvent gagner des prix ... Pas par soucis qualitatif visiblement !
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La vie mortellement ennuyeuse d'hannah...
... eut été un titre davantage en accord avec le contenu. Quelle supercherie que cette 4è de couverture. Je ne suis visiblement pas la seule à être tombée dans le piège, car il s'agit bel et bien ici d'un piège. En lieu et place du roman promis, on est consterné à la lecture d'une romance mal écrite. Zelda Zonk est un prétexte, l'important est ailleurs et s'appelle Michael. le riche et beau Michael qui va (c'est tellement cousu de fil blanc que je ne spoile rien) tomber amoureux d'une hannah un peu godiche qui manque de confiance en elle. A la faveur de leur romance idiote dont la presque intégralité des épisodes se déroule à Paris (bonjour la collection de clichés, c'est tellement mauvais et mal écrit que j'ai d'abord cru à une traduction un peu gauche d'un roman écrit par une américaine, du genre à se pâmer devant la tour Eiffel et à trouver les peintres de la place du Tertre "so kind"), hannah va se muer en femme sexy et sûre d'elle. La vieille meurt, le beau Michael (bien sûr, il n'allait pas être moche et minuscule, et pourquoi pas couvert de pustules pendant qu'on y est ? Il faut faire rêver la lectrice, alors quoi ?! ) fait un pas en avant et deux pas en arrière (ceci EST un cliché et un cliché sexiste qui plus est).
L'amour, moi je le vis, les histoires d'amour sont MES histoires d'amour et je n'ai que faire d'en lire. J'ajoute pour conclure et terminer de vider mon sac que j'ai lu plusieurs chapitres en diagonale, les descriptions interminables du contenu des assiettes sont sans doute là pour plaire à la ménagère de moins de 50 ans, qui lit de la crotte entre deux épisodes pourris d'une série débile et des émissions telles que "super chef" ou je ne sais pas quoi.
Et ce livre a reçu le prix de la maison de la presse ! C'est bien la preuve que les marchands de journaux ne lisent pas de romans ou alors que c'est un trucage, un de plus dans le monde de la littérature (pardon, du business du bouquin). Bref, si vous aimez la bonne littérature, les belles tournures de phrases, prenez vos jambes à vos cous. Si vous adorez les bouquins Harlequin, foncez !
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Laurence Peyrin a été journaliste de presse pendant 20 ans au Dauphiné Libéré. Mère de six enfants pour la plupart adolescents, elle se consacre désormais à transmettre sa passion du cinéma à des élèves de collège, aux voyages et à l'écriture qui occupe la plus grande partie de sa vie. Son roman, La drôle de vie de Zelda Zonk, vient de paraître.
« Sur cette route d'Irlande qu'Hanna a prise tant de fois pour aller à son atelier, c'est l'accident. À l'hôpital, la jeune femme se lie avec Zelda, sa voisine de chambre de 85 ans, positive et joyeuse, experte en broderie. Mais Hanna sent un mystère chez la vieille dame, qui esquive toute question précise sur son passé. Que peut-elle avoir à cacher, à son âge ? »
Après dix pages ma religion était faite et à la page quatre-vingt, je n'en pouvais plus. Alors oui, je le confesse j'ai terminé ce bouquin en mode accéléré, me contentant d'en lire les dix dernières lignes de chaque chapitre, plus que suffisantes pour suivre l'action poussive.
Certains livres sont mauvais pour des tas de raisons, celui-ci entre dans la catégorie de ceux qui m'horripilent le plus. Il a tout du plat cuisiné industriel, formaté, sans surprises et pire que tout, on sent qu'il est écrit par une femme, pour un public féminin. Est-ce l'écriture naturelle de Laurence Peyrin ou un plan calculé ? Qu'importe, le résultat est là, je me suis ennuyé à mourir à survoler cette bluette qui sous couvert d'une éventuelle découverte d'une Marilyn Monroe, non décédée donc, et vivant planquée en Irlande, cache en réalité une histoire de problème de couple à la psychologie simplette.
Et ce truc-là a été primé ! Mon dieu…
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Merci à Babélio et aux Editions Kero pour l'envoi de ce roman.
Suite à un très grave accident de voiture au cours duquel elle a frôlé la mort, Hanna s'interroge sur le sens de sa vie.
Lors de son hospitalisation, elle s'est liée d'amitié avec sa voisine de chambre, Zelda, âgée de 85 ans. Celle-ci est une femme sympathique et pleine d'humour, leur intérêt commun pour la broderie les a, dans un premier temps, réunies. Mais très vite, leurs discussions sont devenues plus intimes et Zelda, fine psychologue, a contribué à l'amener à réfléchir à la routine de sa vie auprès de son mari écrivain d'origine américaine qui a quitté son pays pour s'installer avec elle en Irlande dans un trou perdu. Sa vie se résume à l'attente désespérée d'un enfant, à un travail à domicile de restauration d'objets, à un travail une fois par semaine dans la boutique de son amie et associée pleine de vie Marsha, à sa nièce Patti dont elle s'occupe avec son mari pendant que sa soeur Gail, hôtesse de l'air, vit sa vie de femme libre, sans cesse entre aux quatre coins du monde.
Rapidement Hanna s'interroge sur Zelda qui porte le nom de Zelda Zonk, nom que portait Marylin Monroe quand elle voulait passer inaperçue. Zelda a 85 ans et Marylin est morte il y a 50 ans... de là à imaginer que Marylin n'est pas morte et s'est réfugiée en Irlande pour fuir sa vie d'artiste, il n'y a qu'un pas qu'Hanna franchit allègrement...
L'intrigue originale de ce roman ne m'a malheureusement pas intéressée bien longtemps. Ce livre est, en fait, un banal roman d'amour sans grand intérêt.
Je suis vraiment surprise qu'il ait obtenu le prix des Maisons de la Presse 2015...
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Quel navet ! Et je déteste qu'on abîme la prononciation des jolis prénoms gaéliques : Saoirse ne se prononce pas seursheu !!! Scandale ! Mais Circha.
Ensuite, on ne mange pas plus d'huîtres à Cork qu'à Paris ! Question de culture. Enfin, avec des phrases comme "Il était beau à se faire mal", on finit par avoir mal à la tête de tous les poncifs et clichés de cette mauvaise romance. L'intrigue sur Marylin cachée en Irlande aurait pu être amusante mais hélàs, c'est davantage centré sur les parties de jambes en l'air entre un coeur d'artichaut et une femme qui trompe son mari. Avec ça, on n'en sort pas plus intelligent ni même distrait. C'est une gageure de terminer ce pavé de plus de 400 pages. Je suis rarement aussi dure dans une critique mais là, franchement, pour moi, ça a dépassé les bornes de la médiocrité.

Lien : http://milleetunelecturesdem..
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L'idée de départ est intéressante, sauf que l'auteure choisit de ne pas répondre au mystère qui est le fil rouge de l'histoire. C'est ce qui m'a fait tenir jusqu'au bout du roman, pour rien donc. Je n'ai pas aimé les choix de métaphores et de vocabulaire, je les trouve lourds et inadaptés à la situation qu'ils illustrent (exemple : "Ce fut l'air que Gail arbora à cet instant [...] Qui la libéra tout à fait de l'étau de tristesse qui lui empoignait les deux seins depuis la veille jusqu'à lui couper le souffle."). le personnage principal est niais et trop autocentré, l'histoire reprend beaucoup de clichés. En bref cette auteure n'est pas pour moi 😊
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Au lieu de la "drôle de vie de Zelda Zonk", j'ai eu le droit à la vie monotone d'une jeune femme lassée, commettant un adultère (qui est d'ailleurs pardonné, car son mari aussi a fauté). On a donc le droit à une morale du genre "mais elle avait raison, elle est amoureuse" et lui c'est un connard de plus qui pense : "ça pourrait devenir une mauvaise habitude... Et puis ce n'est pas la première fois..." Ah ! Comment devais-je réagir ? : "Oh ! L'effronté !" Bullshit...
J'ai trouvé ça difficilement appréciable de se servir du nom d'une sympathique petite vieille pour cacher un roman à l'eau de rose entre l'héroine et le fils de cette fameuse Zelda ! L'héroïne d'ailleurs... En fait cela fait le deuxième livre que je lis avec pour héroïne une femme-victime de ses choix et indécise au point d'en devenir pathétique, c'est ça l'image véhiculée de la femme moderne à laquelle on doit s'identifier ?
Quant à la relation héroïne-amant... que de clichés agaçants, mais genre VRAIMENT agaçants :
- la nana prend une page et demie pour décider de prendre une simple douche...
- le cliché de la femme qui se remaquille au rêveil, pendant que le prince charmant dort encore... (NON NON NON, on assume notre sale tronche SVP)
- Ce vouvoiement incessant entre les deux protagonistes ! Rahhhh
- Toutes ces idées préconçues sur Paris "ville de l'amour" sont regroupées dans ce livre. Sans rire, TOUTES !
Je m'attendais à une description des paysages irlandais, mais à l'inverse j'ai eu une belle description bien détaillée de Paris et du Trocadéro...
J'ai vraiment eu du mal à terminer ce livre, même en lisant les 3/4 du bouquin en diagonale...
Ah, et NON, remplacer le mot "bander" par "ému", ça ne se fait pas !
Je crois que je vais abandonner ce roman dans une gare avec un post-it "Pour ménagères au coeur guimauve".
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L'idée de départ était bonne... mais le roman se perd rapidement dans une histoire d'amour ridicule digne d'un roman Harlequin, avec tous les clichés possibles. Ça dégouline de guimauve...
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Décidément, je ne suis pas fait pour les romances nunuches. C’est insupportable. Pourtant, c’était bien vendu. Emballage trompeur ou manque de discernement. Bref, je me suis trompé avec ce livre et mieux vaut le laisser aux amateurs-trices de bluettes cucul à l’eau de rose.

Mais quand même, quelle vision pour un livre paru en mai 2015 alors que le scandale VW n’explose qu'en septembre. Laurence Peyrin insider?
page 16 : Avec un aplomb sidérant, un combi Volkswagen la doubla sans aucune visibilité laissant derrière lui une puanteur de diesel qui flotta brièvement dans les airs avant d'être refroidie par la pluie.

Bon, on le comprend, je ne suis pas le bon public. Désolé.
Lien : http://noid.ch/la-drole-de-v..
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Bluette penchant vers Harlequin.
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