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EAN : 9782756015767
72 pages
Delcourt (05/11/2008)
3.7/5   38 notes
Résumé :
Les Enfants sauvés évoque le sauvetage d'enfants en France, la vie dans les ghettos et le sort des Juifs de Salonique, d'Autriche et des Pays-Bas.
Ces récits édifiants, violents et parfois cruels, sont tous authentiques et à jamais inscrits dans l'une des pires tragédies que l'humanité ait connues. Ce collectif est un hommage aux Justes qui ont permis le sauvetage des enfants pendant la Shoah et un acte de fidélité à l'égard de ceux qui n'ont pas été sauvés. ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (14) Voir plus Ajouter une critique
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Ce magnifique album, introduit par Simone Veil, illustre d'une certaine façon le récit émouvant de Catherine Lewertowski "Les enfants de Moissac" que j'ai lu et commenté sur Babelio le 10 août dernier.

Comme le titre l'indique, il s'agit ici de 8 récits d'enfants juifs qui ont réussi à échapper à la mort sous les nazis, à savoir :

- Alik Peretz du ghetto de Kaunas (Kowno) en Lituanie ;
- Mireille Marachin-Gluckman, d'origine polonaise, cachée à Jurançon dans les Pyrénées-Atlantiques ;
- Abraham Ashkenazi, qui a vécu caché dans les caves en Macédoine ;
- Alisa Tennenbaum, née à Vienne, qui a fait plusieurs camps nazis ;
- Fredzia Rothbard, une môme polonaise qui a été cachée dans un couvent catholique ;
- Sylvain Lévy, né à Paris en 1936 et qui y a mené une vie cachée ;
- Tsofia Langer, la fille du rabin de Groningue aux Pays-Bas et
- Rachel Jédinak-Psankiewicz, qui s'est sauvée lors d'une rafle à Paris en juillet 1942.

Huit destins authentiques et 8 scénarios adaptés par les bons soins de Philippe Thirault et dessinés par 8 artistes différents, parmi lesquels Jean-François Solmon, Gabriel Ippóliti, Nathalie Ferlut, Jeanne Puchol, etc.

J'ai trouvé la préface de Jean-Thomas dit Tomi Ungerer (1931-2019) singulièrement éloquent. Elle commence par la phrase terrible : "Si je hais la haine qui pourrit la condition humaine, c'est parce que je l'ai vécue."
Ce grand dessinateur, né à Strasbourg, n'avait que 9 ans lorsque les Boches ont envahi son Alsace natale et il a pu se rendre compte ce que la "civilisation nazie" signifiait dans la pratique : dans la poche de Colmar pendant l'hiver 1944-1945 et au fameux camp de Struthof.
Ungerer estime qu'il faut sensibiliser les enfants dès le plus jeune âge pour la juste cause, basée "sur le respect et la compassion".

En fin de volume, cet album comprend un dossier hautement intéressant d'une dizaine de pages qui offre un exposé sur les enfants de la Shoah, ce que sont devenus ces petits héros juifs dans l'après-guerre, le sauvetage des enfants en France et les organisations qui s'en sont occupés, tel "Le Renouveau" à Montmorency et l'association "Yad Layeled" qui organise conférences et séminaires au 46, rue Raffet, Paris XVI.

Dans son avant-propos, Simone Veil rend hommage à Yad Layeled et plus précisément à une dame qui l'a aidé au camp d'Auschwitz.
Bien qu'au début méfiante d'un projet de BD à propos d'un "thème aussi douloureux et difficile à exprimer", Madame Veil ait été "pleinement convaincue" de cette initiative grâce à la "qualité de ces bandes dessinées, tant sur le fond que sur le plan visuel".
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Ils s'appellent Alik, Mireille, Abraham, Alisa, Fredzia, Sylvain, Tsofia et Rachel. Ils sont originaires de pays différents et ne parlent pas la même langue : Pologne, France, Lituanie, Autriche, Pays-Bas. Ce sont des enfants et des adolescents d'âges divers et de conditions sociales différentes. Ils ne se connaissent pas mais portent tous le même signe distinctif en cette période de guerre : l'étoile jaune. Parce qu'ils sont Juifs, ils vont devoir se cacher pour survivre à la barbarie nazie. Parfois seuls, parfois accompagnés de leur famille, ils vont fuir, se terrer, voyager, compter sur la chance ou tomber sur la malchance. Ils vont survivre, retrouver leurs parents et aussi les pleurer. Et ils vont témoigner.

"Les enfants sauvés : huit histoires de survie", préfacée par le dessinateur Tomi Ungerer et avec un avant-propos de Simone Veil, retrace sous forme de bande dessinée le récit véridique de ces enfants à la destinée dramatique. Chacune de leur histoire est émouvante, douloureuse, violente, surprenante aussi. Leur mise en perspective sous forme de bande dessinée est très réussie. Si le scénario a été dirigé par la même personne, ce sont huit dessinateurs différents qui ont apporté leur touche personnelle et leur talent à chaque récit. Les histoires sont précédées d'une présentation de l'enfant, photo de l'époque à l'appui, qui apporte encore plus de poids aux témoignages que nous lisons. Comme pour nous rappeler que tout cela n'est pas de la fiction.

Et puis, au-delà de l'histoire de chaque enfant, cet ouvrage rend également hommage - et c'est important - aux personnes qui les ont sauvés. Dans cette époque de délation, il ne faut pas oublier que des Justes se sont élevés contre la barbarie nazie. J'ai été particulièrement touchée par les histoires de Fredzia et du petit Sylvain.

Enfin, le dossier qui termine l'ouvrage est très instructif sur la question des enfants dans la Shoah et permettra aux jeunes lecteurs d'aborder cette période de l'histoire de manière éclairée.

Une bande dessinée pour ne jamais oublier, très réussie et indispensable dans nos CDI et bibliothèques.
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Le sujet est grave puisqu'il s'agit du témoignage de 8 enfants juifs qui ont frôlé la mort durant la Seconde Guerre Mondiale en échappant à la politique d'extermination des nazis. Personnellement, je trouve qu'il n'existe pas de choses plus viles en ce monde que de s'en prendre à des enfants innocents. C'est la pire des circonstances aggravantes que je connaisse quand les lois choisissent plutôt de défendre les dépositaires de l'ordre public. Ici, nous parlons d'enfants juifs arrachés à leurs parents, déportés comme du bétail pour agoniser dans les camps de la mort !

Simone Veil a réalisé un petit avant-propos en indiquant qu'elle était, au départ, assez méfiante par rapport au support bd pour un ouvrage concernant un thème aussi difficile à exprimer. Cependant, elle a été convaincue du résultat. Tomi Ungerer poursuit d'ailleurs dans la préface que le débat était de savoir s'il fallait sensibiliser les plus jeunes enfants à cette cause basée sur le respect et la compassion. Il a été également le témoin de l'instauration de ce régime aveugle et sans pitié ayant commis les pires persécutions de l'Histoire. Il est vrai que des pédagogues se sont élevés en indiquant qu'il ne fallait pas traumatiser nos enfants pour des actes passés. Or, ce traumatisme est considéré comme nécessaire car on ne tire pas un trait sur le passé comme cela sans le devoir de mémoire. L'Histoire est toujours l'engrais du futur.

Ces huit parcours sont bien entendu assez émouvants. On observera que les destins de ces enfants répartis à travers toute l'Europe sont assez différents. Il faut dire que les pourcentages de populations déportées ont été très différents d'un pays à l'autre (exemple : 79% aux Pays-Bas contre 25% en France). Ceci est principalement lié au relai de la police locale et de l'indifférence plus ou moins grande des populations environnantes.

Bref, il faut se rappeler que 1.5 millions d'enfants de moins de 15 ans ont péri dans la Shoah. C'est la première fois qu'une oeuvre s'intéresse particulièrement à leur sort. Je trouve que cet ouvrage a atteint son objectif et qu'on n'en fera jamais trop pour expliquer à notre génération ce qui s'est passé. Pourquoi ? Car nous vivons dans une société matérialiste de consommation qui développe l'égoïsme et la rapacité tout simplement.

Le monde a été immonde et l'humanité inhumaine dans le contexte de cette guerre. Je me garderais de faire un parallèle douteux sur la situation de ces populations qu'on stigmatise actuellement comme les Roms. Pour autant, je ne peux m'empêcher d'avoir un dégoût viscéral pour le spectacle de ces victimes innocentes que sont leurs enfants.

Est-ce que finalement tout ne part pas d'un sentiment hautement négatif qui porte les germes d'une infection? Rassurons-nous, nous sommes le pays des droits de l'homme. Cela n'a pas empêché en France l'instauration d'une loi qui obligeait les enfants juifs à porter une étoile jaune dès l'âge de 6 ans. Néanmoins, comme le montre la bd, il y avait également des fonctionnaires de police qui faisaient semblant de ne pas voir les enfants s'échapper quand ils étaient là pour arrêter leur famille. Oui, rien n'est totalement simple et il faut toujours introduire des nuances.

On retrouvera à la fin de cet ouvrage un intéressant dossier pédagogique sur le sort des enfants juifs pendant et après la Shoah. Ils ont été sauvés, certes, mais à quel prix ! Des témoignages qu'il est indispensable de connaître.
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Sous-titré "Huit histoires de survie", ce recueil en bandes dessinées évoque l'enfance de huit enfants juifs pendant la Seconde Guerre Mondiale. Huit enfants qui ont fui, ont été cachés, protégés par des Justes. Huit rescapés qui se souviennent le tout illustré par huit artistes différents. J'ai beaucoup aimé cette variété graphique aux dessins souvent très expressifs, réussis. J'ai été un peu perdue par moments parce que résumé une enfance aussi complexe dans cette période de l'histoire en seulement quelques pages implique des choix, dans la chronologie ou des raccourcis. Un gros coup de coeur pour l'histoire du garçon sauvé parce que, au matin d'une rafle dans son école, un de ses camarades de classe lui a arraché son "étoile de shérif" convoitée lors d'une bagarre !
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Bel ouvrage-hommage que cette bande dessinée! Différents scénaristes et illustrateurs se sont associés pour adapter le récit de huit personnes sauvées pendant la seconde guerre mondiale. Il s'agissait de présenter le parcours chaotique des enfants juifs, de saluer le courage de tous ces "Justes", anonymes ou reconnus, qui ont risqué leur vie pour en sauver d'autres.

L'ouvrage commence par un avant-propos de Simone Veil et s'achève par un dossier d'accompagnement. Je le trouve plutôt riche : compléments d'informations historiques chiffrées, photographies, présentation des organisations qui se sont occupés des enfants, présentation de l'association Yad Layeled France, un lexique reprenant certains termes présents dans la bande dessinée complété d'autres termes liés au contexte.

Chaque récit est précédé d'une photographie de l'enfant en question à l'époque de la guerre accompagnée de quelques informations biographiques. Les récits étant réalisés par des dessinateurs différents, cela permet de distinguer les histoires et de bien passer d'un enfant à un autre.

Le point de vue adopté est intéressant et change des lectures habituelles. L'ouvrage permet de montrer le vécu des enfants, la perte des repères, la séparation d'avec les parents… Hormis un récit plus difficile que les autres, la bande dessinée peut être lue par des enfants.
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Citations et extraits (5) Ajouter une citation
– Fredzia, je ne sais pas où nous allons ni ce qui va se passer, mais quoi qu'il arrive, tu diras que tu n'es pas Juive. Tu as compris ? Tu diras que tu es Polonaise, que tu n'es pas ma fille, que tu ne me connais même pas ! Promets-le !
– Maman ! Comment je pourrais dire ça ?? Pourquoi tu…
– Promets, promets à ta mère et oublie-moi !
J'ai promis…
. . .
– Mets la fille dans une autre cellule !
– Parce que cette juive est bien ta mère, hein ?
– Je suis Polonaise. Mes parents sont morts pendant la guerre. J'ai rencontré cette femme sur une route. Elle a été gentille avec moi. Je ne la connais pas.
J'entendais Maman pleurer de l'autre côté du mur, j'avais tellement peur…
– Mein Kind… Mein Kind…
– C'est ta fille que tu appelles en geignant ? Elle a dit qu'elle ne te connaissait pas. Mais ne t'inquiète pas, on va lui tirer les vers du nez !
Ils m'ont interrogée pendant plusieurs jours. Et puis ils m'ont relâchée. Quand je suis sortie, j'ai vu un Allemand qui entraînait des Polonais…
– Eins, zwei ! Eins, zwei !
– Vous ne savez pas marcher au pas, cochons de Polonais ??
Pan !
– Vous allez marcher plus droit maintenant !
Allez ! Eins, zwei ! Eins, zwei !
. . .
– Maman ! Oh Maman !
– Toi, viens ! Il faut que t'emmène.
C'est le chef de la Gestapo qui voulait me voir.
– Alors comme ça, tu prétends que tu es une petite Polonaise ?… Approche ! Viens ici !
– Oui, tu m'as l'air d'être une brave petite fille ! Tu as des frères ? Des sœurs ? Moi, tu sais, j'ai quatre filles ! Elles sont à Munich et elles me manquent !
– l'Unterscharführer Pabsdorf va t'emmener chez une dame polonaise de Hrubieszow. Elle s'occupera de toi, tu seras bien chez elle.
. . .
J'aimais beaucoup cette Polonaise qui m'avait accueillie avec tellement de gentillesse.
Elle habitait près de la mairie où les SS m'avaient mise en prison. Je m'y rendais tous les jours dans l'espoir de voir Maman, mais il y avait chaque fois un soldat allemand et je ne pouvais pas m'approcher de la fenêtre de sa cellule.
Un jour, j'ai vu une scène atroce : au moment où j'arrivais, ils ont poussé à l'extérieur une femme en robe noire qui n'avait pas la force de marcher. Je n'ai pas reconnu ce visage pâle, mais en regardant encore une fois, j'ai compris que c'était ma mère. J'ai hurlé.
Je voulais l'appeler. L'expression de son visage était si terrible. J'aurais tellement voulu la consoler. À ce moment-là, j'ai complètement oublié qu'elle m'avait interdit de dire que j'étais sa fille parce que c'était dangereux. L'Allemand derrière elle a sorti son pistolet ; j'étais tétanisée par la peur. J'ai entendu un coup de feu et Maman est tombée à terre.
. . .
– Maintenant, je suis trop malade pour m'occuper de la petite Fredzia…
– C'est elle que j'entends pleurer ? …
– Oui. Elle pleure sans cesse depuis quelques temps. Elle est inconsolable et ne veut pas me dire pourquoi. Alors ? Peux-tu la prendre chez toi ?
. . .
– Je suis très contente que tu viennes vivre avec moi ! J'ai deux enfants, mais ils ne sont plus…
… Ils étaient partis dans la forêt pour ramasser des champignons. Ils ne sont jamais revenus…
– Qui… Qui les a tués, madame ?
Je crois qu'elle savait mais qu'elle avait peur d'en parler.
– Tu m'appelleras maman !
J'ai été bien chez cette femme, mais à chaque fois qu'elle me demandait de l'appeler maman, je pensais à ma mère et je pleurais.
Je ne pouvais pas dire maman à une étrangère. Elle a fini par ne plus insister.
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"Malgré la difficulté de la tâche, nous devons investir tous nos efforts pour enseigner à nos enfants de ne pas haïr celui qui est "autre" différent ou étranger et de respecter ses droits dans l'égalité et l'humanisme. Le racisme est un danger pour l'humanité tout entière"

Sarah Shner. Fondatrice du musée des combattants des ghettos.
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La littérature enfantine est bien anémique, sinon inexistante, lorsqu'il s'agit de traiter de sujets comme la misère, la faim, la violence et les catastrophes qui sévissent sur nos vallées de larmes. D'autant plus que nous vivons dans une société matérialiste de consommation qui développe l'égoïsme et la rapacité. Les persécutions, en général, s'acharnent sur la différence des identités raciales ou religieuses.
Et s'il faut traumatiser les enfants pour leur donner une prise de conscience, faisons-le vite - c'est une question d'orientation.
A savoir : tous égaux et tous différents.

Tomi Ungerer (Préface)
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Ma nourrice a compris que je ne pouvais rester chez elle. Elle m'a conduit à la campagne. Elle allait rester avec moi durant toute la guerre.
- Tu verra, mon frère a une ferme avec plein d'animaux.
- Tu t'appelleras Yezuka ! ( petit Jésus ) Tu es blond, tu as les yeux bleus ; tu parles assez bien la langue ; tu vas devenir un vrai petit paysan lituanien.
Valentina n'avait pas d'enfant. Je suis toujours resté le sien, même après la guerre. Moi aussi je l'aimais.
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L'espoir est la bouée de sauvetage quand le bateau chavire.
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