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Et l'évolution créa la femmePascal Picq

Comme la question de l'asservissement des femmes par les hommes se posait à la lecture de ses 2 premiers livres « Premiers hommes » et « Sapiens face à Sapiens » Pascal Picq , après reprise des thèmes de notre évolution soit à partir de la lignée chimpanzés, qui pratiquent la torture, la violence, et les viols collectifs, ou à partir de la lignée bonobos, qui règlent les conflits avec le sexe, revient sur les origines de l'homme. Ce qui revient à opposer la vision de Hobbes, l'homme est un loup pour l'homme, à la vision de Rousseau.
Auparavant, Pascal Picq tient à dénoncer l'idéologie au cours des siècles d'histoire, en particulier de la Belle Epoque, tendant à figer les femmes en objets de maison, et la projection de cette idéologie sur le paléolithique ( les hommes trainant leurs femelles par les cheveux, et les hommes, les vrais, allant à la chasse au mammouth tendis que les femmes attendaient dans la grotte avec les enfants. Aucun fondement scientifique, dit l'auteur)

Quels sont les changements entre les grands singes et les hommes ? la taille du cerveau, rendant l'accouchement beaucoup plus difficile et demandant l'aide d'autres femmes, la crainte du sang menstruel, symbole de mort ( tabou toujours présent dans les barbecues et le fait que ce soient les hommes qui coupent la viande)et incapacitant les femmes à certaines périodes, au passage leur interdisant de manger de la viande donc de les fragiliser ,enfin, les enfants, que les femmes nourrissent, périodes pendant lesquelles elles ne peuvent chasser.

Question : pouvoir chasser implique-t-il ne pas prendre un nourrisson dans ses bras ? non., nous dit PP .
Ce que nous imaginons des hommes préhistoriques, ne vient elle pas d'une contre-projection du « modèle de pavillon de banlieue » confinant les femmes dans un territoire délimité et protégé ?

Il semblerait que chez les Néanderthaliens, aucune discrimination liée au sexe ne soit perçue. Les femmes chassaient-elles comme les hommes ? On n'en sait rien, dit Pascal Picq, qui dira cette phrase plusieurs fois dans son livre.
La coercition sexuelle semblerait tout de même être le triste apanage des Sapiens, sauf qu'existent toujours de nos jours des sociétés matriarcales, matrilocales un peu bonoboénnes.

Paléoanthropologue, Pascal Picq se demande d'abord si les sociétés vouées au culte de la mère, avec les Vénus callipyges, les déesses-mères ont vraiment existé avant de céder la place à la coercition masculine qui « a inventé les moyens les plus vicieux pour entraver, dévaloriser et même interdire aux femmes de pratiquer la chasse avec les mêmes moyens que les hommes » ?
Réponse : Si un anthropologue du futur entrait dans une église avec, côte à côte, une Vierge Marie et un Jésus cloué sur la croix, il pourrait croire à un vieux culte matriarcal qui vénère la maternité et sacrifie les hommes adultes.

Voilà pourquoi, aux questions : comment ? à quel moment ? pourquoi ? la coercition masculine exercée contre les femmes est elle de l'ordre de la nature, ou de la culture ? Est elle universelle, alors qu'existent dans différentes sociétés, toujours à l'heure actuelle, des matriarcats, héritiers des bonobos ?

Rarement un livre aussi documenté, aussi savant, avec un glossaire ( ouf) à la fin, donnera aussi peu de réponses à toutes les questions qui se posent quant au passé des Sapiens. Mais, voilà, dire je ne sais pas est la preuve de l'intelligence d'un chercheur qui sait que la science évolue constamment.
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Une promesse séduisante, Pascal Picq, paléoanthropologue — spécialiste de l'évolution de la lignée humaine — propose de remonter très loin dans le passé, d'étudier aussi la branche des hominidés qui regroupe les orangs-outans, les chimpanzés, les gorilles et les hommes pour mieux comprendre l'origine de la domination masculine. Hélas, la conclusion est qu'on ne sait pas vraiment d'où elle vient, que pourtant, il y avait d'autres possibles. D'autres possibles, certes, mais à l'exception des bonobos, les hominidés mâles ont tendance à maltraiter leurs femelles.
Malheureusement, à l'exception de deux ou trois choses, telles que le biais cognitif des premiers chercheurs au XIXe siècle, ou les différences entre l'homme et les autres hominidés actuels, ce livre n'apporte pas grand-chose. Il est surtout la constatation qu'en fait, on ne sait pas, on ne comprend pas.
De plus, il faut garder un dictionnaire à portée de main, quand, comme moi, on n'est pas spécialiste.
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Pascal Picq a pour objectif de faire le ménage entre les propositions nées de nos idéologies patriarcales, marxistes ou féministes ou encore de dépoussiérer nos préjugés nés des vues antagonistes de Rousseau ou de Hobbes.
Il cherche par une analyse structurale et phylogénétique des comportements de notre espèce à trouver l'origine, les origines de la coercition exercée par les hommes sur les femmes.
Il est parfois difficile de tirer des conclusions claires de l'étude tant elle se veut à la fois authentique (ne reculant pas devant les contradictions) et exhaustive de la connaissance (psychologique, sociologique, anthropologique et bien d'autres logiques encore) de l'homme et de la femme et de leur rapports.
J'ai pourtant glaner ici et là quelques assertions éclairantes:
1. L'évolution fonctionnent avec deux mécanismes la diversification et la sélection naturelle
2. L'investissement dans l'éducation des petits induit la coercition des femmes
3. Contrairement à la plupart des singes, les grands singes sont majoritairement des sociétés patrilocales avec une coercition plus forte
4. Les sapiens sont l'espèce la plus coercitive envers les femmes
5. Avec l'apparition de la sphère privée, la coercition des femmes par son conjoint a encore gagné en intensité
6. le féminicide est propre à l'espèce humaine
7. Dans toutes les sociétés les femmes ont un prix (échanges culturels ou commerciaux, lignée, dot…)
8. La coercition ne commence pas avec la division des tâches
9. la rivalité des hommes pour l'accès aux femmes reste la 1re cause de la coercition
10. Les populations du sud de l'Europe conservent une idéologie masculine plus marquée
Conclusion : Heureusement que les Bonobos sont là pour nous montrer le bon exemple !!
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Dans "Et l'évolution créa la femme", Pascal Picq recherche l'origine d'une coercition sexuelle dont sont victimes les femmes depuis des millénaires. Remontant à la préhistoire et comparant différentes espèces, il décrypte une évolution peu flatteuse pour la nôtre.
Et l'évolution créa la femme est un livre qui devrait faire réagir. Son auteur, le paléoanthropologue Pascal Picq, s'attend à ce qu'on lui reproche "de donner des hommes une image dégradée ou dégradante", tout en assurant que là n'est pas sa volonté, l'humanité présentant "une grande diversité d'organisations sociales et de comportement individuels". Il tient à préciser que "tous les hommes ne sont pas violents envers les femmes, quel que soit leur système social", mais assume que son ouvrage "ne dresse pas un noble portrait" de notre espèce, "en tout cas depuis quelques millénaires", et ce en raison de la position dominante de ses mâles. Un constat qu'il pose en remontant jusqu'à la préhistoire pour mieux comprendre une évolution qui se traduit aujourd'hui encore par la mort d'une femme tuée par un proche à peu près toutes les six minutes dans le monde.

MASCULINITÉ ET VIOLENCE
Pour mieux appréhender les racines d'un machisme qui semble inhérent aux civilisations humaines, le chercheur innove avec une approche phylogénétique qui s'attache à reconstituer notre histoire évolutive et celles de différentes espèces. Par cette étude multidisciplinaire utilisant, entre autres, l'éthologie, la génétique et l'anthropologie, il en arrive à la conclusion que "les causes principales du malheur des femmes sont d'ordre culturel". le suggèrent notamment les différences de comportement de nos plus proches cousins dans la chaine de l'évolution, les chimpanzés et les bonobos, avec lesquels nous partageons un dernier ancêtre commun. Chez ces grands singes, la place de la femelle s'avère néanmoins très différente, prouvant qu'il n'y a pas de fatalité à la coercition sexuelle, attitude conduisant à la domination et à une violence que l'on retrouve chez les chimpanzés, mais pas côté bonobo. Ces derniers démontrent ainsi qu'un autre type de relation est possible avec un "régime de codomination" dans lequel les conflits se régulent à l'aide d'une sexualité aussi débridée qu'apaisée.

"En nous montrant d'où l'on vient, le paléoanthropologue donne un aperçu de l'ampleur du chemin à parcourir"
On ne sait si notre ancêtre commun se comportait comme un bonobo ou un chimpanzé, mais l'homme manifeste toutes les formes de coercition sexuelle de ce dernier, d'une manière "plus oppressive, agressive et violente". On ne trouve même chez aucune autre espèce que la nôtre l'existence du féminicide. L'accaparement des femmes, objet de convoitise et de pouvoir, a également atteint chez l'homme un niveau inégalé. Il pourrait d'ailleurs être à l'origine de la victoire d'Homo sapiens sur Néandertal, comme le laissent penser des données paléogénétiques telle que la détérioration du chromosome Y chez les Néandertaliens qui pourrait signifier que leurs femmes les aient progressivement quittés, de gré ou de force pendant des milliers d'années, jusqu'à causer leur extinction. Dès le mésolithique, âge d'or des chasseurs-cueilleurs, les femmes ont en tout cas été réduites à des moyens de reproduction et de production, du moins en Europe et au Proche-Orient, qualifié d'"arc de la domination masculine".

Outre les bonobos, quelques sociétés historiques, notamment en Asie, montrent toutefois que cette domination n'est pas une obligation. Et bien que l'institutionnalisation de la coercition depuis la fin de la préhistoire l'incite à affirmer que "les civilisations ne sont pas les amies des femmes", Pascal Picq voit s'ouvrir d'autres perspectives évolutionnistes. On peut penser que notre société est déjà bien engagée sur une voie menant à la fin de la domination masculine, mais en nous montrant d'où l'on vient, le paléoanthropologue donne un aperçu de l'ampleur du chemin à parcourir.

Lien : https://www.marianne.net/soc..
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C'est un essai de plus de 400 pages qui, en s'appuyant d'un côté sur ce l'on sait des sociétés chez les singes et sur l'histoire de l'humanité, tente de comprendre pourquoi et comment la race humaine est devenue la plus coercitive envers les femelles.

Je ne suis pas une virulente féministe, je ne pense même pas être une féministe tout court, je constate juste que certaines choses ne me sont pas forcément accessibles en tant que femme : le poste que j'occupe a failli me passer sous le nez parce que je suis une femme, il arrive que mon avis ne soit pas pris en compte parce que je suis une femme, j'ai l'impression qu'au travail, être compétente ne suffit pas quand on est un femme...
C'est au moment où, désabusée, je constate toutes ces choses, que j'entends parler de la sortie de ce livre qui traite de la question de manière scientifique, avec un recul qui mène à une certaine objectivité, et ça a fait tilt.

Tenter de comprendre le pourquoi et le comment. C'était passionnant, vraiment. A ne pas lire quand on est fatigué parce que pour le coup, pour un ouvrage de vulgarisation (l'est-ce vraiment finalement ?), c'est très très dense et cela reste très compliqué. Gardez bien le dictionnaire à côté de vous, parce que même avec le lexique final on n'a pas toutes les réponses. Mais ça vaut le coup de s'accrocher.

Il reste tout un monde à découvrir pour pouvoir arriver à un élément de réponse, parce qu'au final il y a plus de questions que de réponses, mais tout est à construire en matière de recherches. Et puis l'évolution de l'Homme n'est peut-être pas encore terminée, à nous d'apporter un nouveau souffle pour amorcer une évolution positive, bien que les dernières nouvelles sur le sujet ne soient pas du tout réjouissantes.
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Un livre passionnant pour explorer l'origine des violences sexistes et sexuelles. L'auteur fait le tour de l'histoire de la domination patriarcale depuis le paléolithique jusqu'à nos jours. Cependant, l'ouvrage n'est pas facile d'accès : beaucoup de théorie et un volume de pages conséquent qui demande de prendre des pauses pour l'apprécier pleinement :) A lire à côté d'un bon roman.
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Il faut certes s'approprier de nombreuses notions scientifiques et sociologiques pour appréhender tous les aspects de cet essai de Pascal Picq, mais à la clé, c'est la compréhension du mécanisme du processus coercitif masculin, tout au long de l'histoire de l'évolution des humanités et même de celle des primates, jusqu'à nos jours, qui se révèle par bribe, tel un puzzle, dont bien trop de pièces ne sont sans doute encore que de futures découvertes paléolithiques restant à découvrir.
Mais c'est aussi toutes nos croyances simplistes qui volent en éclat dans ce livre, alors qu'elles arrangeaient bien les positions masculines dominantes actuelles pour les justifier. Car non, les anciens peuples de chasseurs cueilleurs, n'étaient organisées en de courageux chasseurs qui nourrissaient les communautés d'alors et de gentilles cueilleuses qui faisaient l'appoint de ces riches repas tout en élevant les progénitures. En dehors des latitudes très froides et donc plus proches des pôles, il est largement démontré que la cueillette constituait l'essentiel des apports, avec les incidences sociales qui vont avec.
Il fût ainsi un temps où au moins trois humanités coexistaient dont les sapiens, les néandertaliens et les dénisoviens, et où déjà on trouve des indices de violences faites aux femmes mais sans pouvoir démontrer une dominance de ces modes de fonctionnement, où coexistaient probablement diverses formes de communautés, tout comme chez les hominoïdes actuels, que sont les gibbons, les bonobos et les chimpanzés, où les deux formes de sociétés existent, avec celle des bonobos où la coercition sur les femelles est quasi inexistante et celle des chimpanzés où celle-ci est quasi la norme.
Et l'on en vient à se demander si Sapiens l'africain n'aurait pas tout bonnement généralisé cette forme de dominance et s'appropriant les femmes néandertaliennes et dénisoviennes contribuant par la même occasion à engager le déclin de ces autres humanités.
Et comme il n'existe aucune société entièrement matriarcale, mais seulement matrilocale ou matrilinéaire, si de telles sociétés ont existé, elles ont tout simplement disparu car Sapiens a eu le « génie » de déployer l'arsenal de plus étayé du règne vivant pour instaurer une coercition féminine des plus durables, par ses cultures, ses religions et ses croyances les plus folles, comme celle de ne pas risquer le mélange du sang des proies consommées à celui des cycles menstruels qui fait qu'encore aujourd'hui, les bouchers sont majoritairement des hommes.
On découvre dans ce livre une sorte d'évidence intuitive, mais non démontrée, « comme l'avaient écrit Marc et Engels, la condition des femmes se trouve à l'origine de toutes les inégalités humaines et leur évolution (p375) ».
Une belle leçon d'humilité si l'on avait encore quelques doutes. Merci à vous M. Picq pour ce bel exercice de tentative réhabilitation de la place de la Femme et pour ce regard honnête de nos pratiques coercitives masculines dont certaines n'appartiennent qu'aux Sapiens et que nulle autre espèce de primate ne pratique, le féminicide.
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400 pages où de son propre aveu, Pascal Picq n'apporte pas de réponse définitive à cette question: pourquoi, dans toutes les sociétés que nous connaissons, ce sont les hommes qui s'accaparent quasiment tous les pouvoirs?

Bon, évidemment, cette question paraît encore de nos jours idiote pour une grande partie de la population, qui trouve cela "naturel" et "normal". Circulez, y a rien à voir, ça a toujours été comme ça, les copains. Pourtant, un seul élément devrait nous inciter à y réfléchir: plusieurs études montrent que les entreprises dirigées par des femmes se portent mieux que les autres. Et même Mc Kinsey l'a calculé: si les femmes étaient considérées à l'égal des hommes, la richesse mondiale augmenterait de plus de 1200 milliards de dollars.

Et pourtant, la paléontologie, l'ethnologie, et l'éthologie montrent qu'il a existé - et qu'il existe encore - tout un éventail de possibilités. Et même, des sociétés sans coercition des mâles envers les femelles.

Au passage, l'auteur met en lumière des éléments que l'on n'a pas forcément en tête. Par exemple, que l'espèce humaine est la seule où des mâles tuent les femelles. Et que si d'autres espèces peuvent se montrer agressives, l'homme s'est montré particulièrement inventif pour trouver des moyens de contrôler les femmes, pour justifier ces moyens, et pour punir les femmes qui tenteraient d'échapper à cette condition (que l'on pense seulement à ce qui s'est passé en Iran ces jours-ci...)

Le bouquin peut paraître un peu long, parfois technique par son vocabulaire (heureusement un glossaire figure à la fin), mais il mérite d'être lu tant pour les informations dont il fourmille, que pour les clichés qu'il remet en question. Comme par exemple l'image du mâle chasseur intrépide qui s'occupe de tuer l'auroch pendant que madame restait au fond de la caverne. En fait dès la préhistoire, les femmes travaillaient autant que les hommes.

Autre idée reçue: l'espèce humaine a t'elle forcément progressé au fil du temps? Rien n'est moins sûr. En fait l'évolution est bien plus complexe, elle tâtonne. Ce qui nous paraît aujourd'hui un écart à la norme est en fait un test d'autres possibilités, qui aboutiront peut-être un jour à un monde différent...

Finalement, le développement de nos cerveaux et notre capacité à construire des mythes - en particulier, les religions, - ont servi à justifier la coercition masculine. Laquelle répond à un but tout simple: les hommes ont toujours cherché à s'assurer le contrôle des moyens de production et de reproduction.
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C'est un livre très documenté, passionnant et accessible après une remise à niveau de certains termes utilisés par l'auteur. Les modèles de coercition dont l'auteur parle au temps de la préhistoire montrent la violence des hommes envers les femmes ainsi que leur volonté de maitriser la sexualité de la femme .
Très enrichissant. Féministe ou pas, ce livre apporte une vision intéressante sur le sujet.
Lien : https://www.franceculture.fr..
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L'analyse scientifique par la paléo anthropologie et l'ethnologie de ce problème récurrent et douloureux de la violence faite aux femmes.
Il ose comparer les sociétés de singes et les sociétés humaines à travers les âges. Son raisonnement scientifique se déroule tout au long du livre, et il n'est pas toujours facile à suivre.
Sa conclusion reste optimiste : le genre humain n'est pas condamné au machisme et à la violence, que la promotion des femmes est une chance pour la société. À lire par tous ceux et celles que le féminisme politique n'arrive pas à convaincre.
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