Je n'ai pas saisi l'objet de ce livre ou son pourquoi, ou ses pour quoi...
Tentative de coupler la sexualité humaine avec l'halieutique, pour faire rire ? Pour élargir les esprits ?
Les différentes "sexualités" ou modalités-pratiques sexuelles sont très banales, et les héroïnes, qui s'y mettent, en redeviennent finalement assez classiques.
Ce livre n'est pas choquant non plus, il ne vient pas briser des tabous, ni ne fait apprendre grand chose. Sauf sur les poissons, la mer, ça oui. Est-ce alors un livre écologique ? Un livre subversif qui propose une émancipation d'un sort souvent si pénible qu'est celui de pêcheur. Ou alors tout ça aurait démarré juste sur le jeu de mot vieux d'au moins 2021 ans : pécheur/pêcheur... Et ces deux pêcheurEs/pécheresses permettant par leurs aventures une sorte d'évasion d'un sort cruel...
Rien d'excitant au final, rien d'explosif, rien de très hilarant non plus. Ce qu'on nous vante pourtant sur la 4e de couverture. (Le titre est par contre plutôt bien choisi.)
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Ce récit de deux jeunes bretonnes jumelles marins pêcheurs qui montent à Paris pour découvrir les joies de la sexualité se laisse lire grâce à l'humour de son auteur qui utilise au passage tous les clichés sur la bretonnitude et la bienséance. C'est salé dans tous les sens du terme mais cela reste assez léger et ne va pas très loin.
Lisible mais dispensable.
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Un titre qui se veut accrocheur car étonnant mais une histoire qui n'en vaut pas la peine.
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Dans certains cas, la sexualité peut se concilier avec n'importe quelle attitude sociale, amicale, sentimentale. Mais, souvent, l'épanouissement de la libido influe sur le quotidien, c'est pourquoi l'exhibitionniste vit sans rideaux, l'amateur de pornographie se câble en haut débit, la maso épouse un sado, le pédophile s'exile.
Très tôt, les soeurs Frossec s'étaient entichées du frai. Ce terme pudique et ambigu désigne la fécondation externe qu'utilisent certains poissons, mais aussi la période du rut sous-marin. Elles aimaient cet épandage de sperme e, pleine eau, qui change la mer en plateau de film porno, les hardeurs se retirant toujours du con ou du cul de leur partenaire pour éjaculer grandes giclés sous l'oeil de la caméra.
La soirée fut fructueuse, chaque participant ayant réussi à avoir plus ou moins cinq orgasmes et autant de parts de pizza. les bourses de Yann, anatomiques et monétaires, étaient vides.
Les cliniques belges (...) étaient prises d'assaut par des Thalys de lesbiennes
La section réservée aux objets surdimensionnés montrait une solide résistance à l'engouement pour les nanotechnologies.
Le débat public apparaît dégradé, que ce soit dans le monde culturel, les universités, la pratique des médias… et surtout par les réseaux sociaux. Que faisons-nous du débat public ? France Culture propose une journée spéciale vendredi 16 octobre.
Débattait-on mieux au XVIIIème siècle ? La "Cancel culture" importée des Etats-Unis va-t-elle convaincre la France ? Les débats de l'espace médiatique rencontrent-ils les préoccupations des citoyens ? Et au fait, qu'est-ce qu'un vrai problème ?
Pour en parler, nous recevons Emmanuel Pierrat, avocat au barreau de Paris, écrivain, auteur de “Nouvelles morales, nouvelles censures” (Gallimard, 2018). Ainsi que Nathalie Heinich, sociologue, directrice de recherche au CNRS, auteure notamment de “Des valeurs. Une approche sociologique”, (Gallimard, 2017), “Ce que n'est pas l'identité” (Gallimard, 2018) et “Le pont neuf de Christo” (Thierry Marchaisse, 2020).
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