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Les Saisons meurtrières tome 3 sur 8
EAN : 9782266175562
256 pages
Pocket (14/05/2009)
3.39/5   95 notes
Résumé :


Août 2003. En pleine canicule, les Romains se pressent dans les catacombes de la Ville éternelle, en quête d'un peu de fraîcheur. Et leur découverte a en effet de quoi glacer les sangs : plusieurs têtes coupées, notamment celle d'un cinéaste de renom. Alors que les décapitations se succèdent et que son idylle avec Paolo, jeune archéologue, s'épanouit, l'inspecteur principal Mariella De Luca essaie de garder la tête froide. L'affaire prenant, de jour ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (17) Voir plus Ajouter une critique
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Pendant une visite des Catacombes commentée par la sublime Pamela Casadei, la plus recherchée des guides, un touriste qui flânait un peu à l'écart fait une macabre découverte : une tête coupée dans un sac de jute.
C'est l'été et la plupart des policiers ont réservé leurs vacances le plus loin possible de la questure. Aussi le commissaire D'Innocenzo est-il bien embarrassé.
Mais au fait, l'inspecteur principal Mariella de Luca n'est-elle pas en train de bronzer à la plage d'Ostie ? La voilà l'enquêtrice toute désignée pour cette mystérieuse tête.
Au même moment, alors qu'elle suivait distraitement des yeux une sexagénaire en maillot jaune canari, Mariella la voit s'effondrer dans un grand cri. Dans sa cabine, artistement présentée dans un mutin panier orné de grosses marguerites trône une tête de femme. Deux têtes. Pas de corps. Et ce n'est qu'un début !
Cet été est particulièrement torride. Mariella va devoir mener l'enquête quasiment seule. Heureusement, elle a sa coéquipière, Silvia di Santo et Paolo, son compagnon, un archéologue qui la mettra sur une intéressante piste en lien avec le monde de l'art.
Mariella n'est pas une super-women. Très marquée par des mésaventures qui lui sont arrivées dans le passé, elle souffre de divers maux plus ou moins handicapants. Elle est aussi mal à l'aise face à la morgue et à la condescendance de Mme Ronca, la mère de Paolo. Elles ne font pas partie du même monde et Mme Ronca le lui fait sentir !
Silvia lui est d'une aide précieuse. Pourtant, elle a des faiblesses, elle aussi. Et quand elle se laisse fléchir par le charme de certains suspects, les choses deviennent vraiment compliquées.
Le roman est ponctué de références littéraires, picturales, architecturales et j'ai écouté les morceaux préférés de Mariella, surtout « Sit down. Stand up. » de Radiohead que j'ai trouvé envoûtant.
Hélas, tous les artistes ne sont pas sympathiques. La performance photographique de Massimiliano Fegiz, réalisée en 1973, nous est décrite de manière tellement réaliste qu'on redoute qu'elle n'existe vraiment, car elle met mal à l'aise et donne envie de vomir. Il a une conception de la femme qui me fait bondir : « les filles, dans sa vie d'artiste, ne sont que des croquis jetés sur une page blanche. Quand il en a griffonné assez pour y voir clair sur l'oeuvre qu'il veut créer, il chiffonne la feuille et l'envoie à la poubelle. »
Ses manières d'agir et de penser nous le rendent particulièrement odieux et on n'éprouve pas vraiment de pitié pour le sort atroce qui lui est réservé.
Arès nous avoir montré Rome sous la neige ou la pluie, Gilda Piersanti nous la présente sous une canicule qui nous donne envie de nous réfugier dans les Catacombes. Quoique... Est-ce bien prudent ?
Cet épisode des « Saisons meurtrières » est celui que j'ai préféré. Je l'ai lu presque d'une traite. Ce qui est particulièrement astucieux, c'est que le lecteur en sait plus que les policiers. Certains chapitres le mènent près de Mariella et Silvia, mais d'autres lui montrent ce qui se passe chez les assassins et expliquent leurs raisons d'agir.
J'ai adoré.
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Polar saphique.
Tout à notre obsession de délaisser les rivages septentrionaux du polar nordique, enthousiasmé par notre exploration assez récente des côtes italiennes, on a bien failli tomber dans un piège mortel ...
Gilda Piersanti (une italienne installée en France) nous proposait une balade Bleu catacombes. Celles de Rome bien sûr, qui ont une Histoire bien différente de celles de la place Denfert (1). le voyage avait l'air prometteur.
Il y a des livres qui dès les premières phrases, dès les premiers mots, vous accrochent et ne vous lâchent plus.
Et puis parfois, pas souvent heureusement, on tombe sur un livre comme celui-ci où, une fois lu le premier chapitre, on se dit : mais bon sang ! qu'est-ce que c'est que ce truc ? chez qui on est tombé ? c'est quoi cette arnaque ?
Comme bien souvent, ce premier chapitre est la scène de crime : ce sera ici une scène de grand guignol, bâclée et vulgaire, digne d'une partouze dans un club échangiste de province.
Miraculeusement, les quelques lignes suivantes ont sauvé la mise : il y est tout de suite question de Judith et d'Holopherne.
Longtemps le tableau de Gustav Klimt a orné un mur de notre salon. Intrigué, on poursuit alors quelques lignes. Finalement, les références à la peinture nous entraîneront plutôt du côté d'Artemisia Gentileschi dont le tableau est plus approprié à un polar sanglant que celui du père de la Sécession Viennoise.
Mais revenons au bouquin.
Un polar au féminin. Et c'est rien de le dire, vous allez voir.
C'est écrit par une dame, ça on avait vu.
Le flic est une fliquette.
Son adjointe est aussi une fliquette ... adepte des amours saphiques.
Du côté des victimes et des assassins ... vous verrez bien.
On a aussi noté les références au mythe de Judith et de sa servante : des féministes avant l'heure, qui trucidèrent Holopherne victime de son désir de mâle.
Et parmi toutes les peintures qui empruntèrent cette myhthologie, l'auteure a retenu le tableau d'Artemisia Gentileschi qui est ... une peintresse (2) .
Plus féminin que tout ça, tu meurs.
Si l'on écarte l'innommable premier chapitre (le premier crime), tout commence par la découverte d'une tête coupée (Judith, Holopherne, vous y êtes ?) dans les catacombes où les touristes viennent quêter un peu de fraîcheur en pleine canicule estivale.

[...] L'enquête débutait relativement à l'abri des pressions pour une affaire aussi extraordinaire que la découverte, à quelques dizaines de kilomètres de distance, de deux têtes coupées, dans des lieux aussi improbables que la cabine de plage d'un établissement chic de bord de mer et une galerie de catacombes fréquentée par les touristes.

Et comme on a affaire à des assassins 'redoutables', d'autres têtes vont encore tomber tout au long du bouquin !

[...] La seule pitié que nous pouvons vous accorder, c'est de vous laisser le choix de l'endroit où vous voulez qu'on retrouve votre tête. L'aquarium ? La terrasse ? le congélateur de votre cuisine ? Je ne peux plus vous proposer les catacombes car ces derniers temps elles sont excessivement bien protégées par notre police nationale.

Quant à la morale de l'histoire, je répète pour ceux qui, endormis par la chaleur caniculaire, n'ont toujours pas compris :

[...] Elle avait probablement séduit Max dans le seul but de le décapiter, comme toutes ces Judith qu'il avait filmées des années durant. Max avait mis tant de Judith dans son lit qu'il avait fini un jour par rencontrer la vraie.

Alors, aiguillonné par ces histoires d'artistes maudits et de Judith(s), on continue cette lecture improbable d'un roman de série Z qui finalement, en dépit ou à cause de ses prétentions, ne rend guère honneur aux plaisirs saphiques et à la gente féminine.
Jugez plutôt du niveau où la prose de dame Piersanti tombe parfois :

[...] Mariella privilégiait surtout les nouveautés en matière de lingerie fine ; elle aimait les soutiens-gorge en mousseline de soie, organdi, satin, tulle illusion ou gaze impalpable, bordés de dentelles Chantilly, brodés de valenciennes ou semés de plumetis, mais elle ne méprisait ni le coton ni le lycra stretch.
Ooops !
Et encore, le pire est à venir :

[...] Dans le domaine sexuel, chacun a le droit de désirer qui il veut. Quant à l'objet du désir, je n'ai en fait que deux interdits majeurs : les enfants et la famille. Et les animaux, bien sûr !

Aaargh. Voilà une sentence dont tous les mots ont été pesés et qui va certainement faire progresser les moeurs.
Finalement, au fil des pages, porté par l'intrigue artistico-policière, on finit par prendre tout cela au second degré, on s'amuse des maladresses répétées et insistantes de dame Piersanti pour instiller des évocations sulfureuses dans son bouquin. Ce n'est pas très gentil pour cette auteure qui ne nous voulait pas de mal (elle aime les animaux, on l'a vu) mais c'est bien hélas, la seule façon de cuisiner ce navet à la sauce italienne.
Pour celles et ceux qui aiment les femmes qui aiment les femmes.
Un bouquin que vous pourrez abandonner sur les plages cet été.

(1) - même si un téléfilm français avec Patrick Chesnay a été adapté du roman et transposé dans les sous-sols parisiens
(2) - à qui il est arrivé des trucs pas cools : n'allez pas voir tout de suite sur gougoule, attendez un peu d'être arrivé à mi-parcours du bouquin
Lien : http://bmr-mam.blogspot.fr/s..
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[L'erreur est humaine, je dois le reconnaître. Autant j'ai détesté le premier volume des aventures de Mariella de Luca, autant j'ai adoré ce volume-ci, particulièrement réussi.

Il faut dire que Mariella n'est plus la jeune enquêteuse à la vie privée chaotique du premier volume. Elle essaie d'établir une relation sérieuse avec Paolo, son amoureux, tout en portant le poids de son passé professionnel : un de ses hommes est mort lors de l'enquête Vert Palatino (chronique bientôt) en partie parce qu'il a voulu faire cavalier seul, et elle ne laissera pas un autre policier faire du zèle. Entière, elle ne livre rien de son passé à Paolo, et je ne peux le lui reprocher : elle n'a pas à subir une enquête policière à domicile, elle a assez à faire avec ce double meurtre.

Enquêter l'été est difficile. Je ne vous parle pas de la chaleur, qui pèse pourtant sur la ville. Je vous parle de tous ces enquêteurs et autres légistes qui sont en vacances, et qu'il est fort difficile de les faire revenir. Il faut aussi composer avec des journalistes qui n'ont rien à se mettre sous la dent et qui sont ravis de pouvoir écrire des articles sensationnels sur « le tueur des catacombes ».

Pas de surprise, au début, pour le lecteur : nous sommes témoins du crime, nous savons quels sont les meurtriers. Nous ignorons cependant leur mobile, suffisamment puissant pour se montrer sans pitié envers leurs victimes. Nous le découvrirons bien assez tôt – dans les dernières pages du livre – et ce qui les a poussés à tuer est pire que les meurtres qui ont été commis. Vous me direz : « rien n'est pire que la mort ». Si : il est des crimes qui laissent la victime en vie.

Mariella fait preuve de pugnacité dans son enquête, et se montre intraitable envers les témoins. Ceux qui n'ont rien à cacher lui livrent de précieux renseignements. Ceux qui ont quelque chose à cacher ne peuvent la duper, et elle s'acharnera à établir la vérité, avec ou sans leur aide. Comme souvent dans les romans policiers, l'envers du décor n'est pas très beau à voir, et il est facile de colorer des meilleures intentions… l'envie d'être célèbre et l'appât du gain.

Je n'ai qu'un regret : ne pas avoir le quatrième tome à portée de main !
Lien : http://deslivresetsharon.wor..
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Si vous ne craignez pas une pluie de têtes sans corps abandonnées dans les endroits les plus inattendus, quoi qu'appropriés (des catacombes), alors ce livre est fait pour vous.

L'inspecteur Mariellla de Luca se retrouve empêtrée dans une affaire qu'elle flaire longue, macabre et difficile, tout en essayant de s'impliquer dans sa relation de couple avec Paolo.
Le lecteur connait le coupable dès le début, contrairement aux enquêteurs, et nous les voyons tâtonner, en ayant envie de leur crier: mais vous les avez sous le nez, les coupables, faites quelque chose!

Enquêter sur des affaires dont les racines remontent aux années soixante-dix n'est pas de tout repos, surtout quand un récit biblique s'en mêle. Judith coupe la tête d'Holopherne avec la complicité de sa servante. Qu'est ce qui a bien pu décider le coupable à utiliser cette histoire pour mettre en scène ses meurtres?
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2007 Prix SNCF du polar européen)
Eté 2003, en pleine canicule, les catacombes romaines battent tous les records de fréquentation… jusqu'à ce qu'un groupe de visiteurs réfugié dans ces chambres froides d'un genre nouveau tombe nez à nez avec une tête coupée.

L'inspecteur principal Mariella de Luca se voit rapidement contrainte d'interrompre son idylle amoureuse en bord de mer. D'autant que les catacombes ne sont pas les seules à faire perdre la tête aux Romains… L'enquête vient à peine de débuter que déjà les décapitations se multiplient.

Mais quel rapport peut-il exister entre une star internationale du monde de l'art et une paisible directrice d'orphelinat ?

Et quel sens faut-il donner à cette référence macabre au mythe de Judith, héroïne biblique qui, de son bras armé, tranche la tête du général de l'armée ennemie ?

Récit passionnant d'un amour trahi, Bleu catacombes nous conduit de main de maître jusqu'aux sources de la tragédie.

Après Rouge abattoir et Vert Palatino, Bleu catacombes, terrible course contre la montre dans les rues de Rome, est le troisième volet des saisons meurtrières de Gilda Piersanti, où l'on retrouve l'inspecteur Mariella de Luca, le commissaire D'Innocenzo et l'atmosphère oppressante de la Ville éternelle.

Gilda Piersanti

Née en Italie quand les sixties n'étaient pas les sixties, non loin de la villa d'Hadrien, elle a grandi à Rome et nourri une passion précoce pour la Ville éternelle.
Philosophe, critique littéraire, traductrice, elle est l'auteur de romans noirs.

http://www.gilda-piersanti.blogspot.com/
*
http://gildapiersanti.free.fr/
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Citations et extraits (10) Voir plus Ajouter une citation
Quand Gianni Morandi chantait Ferragosto, la fête du 15 août, Pamela n’était pas encore née mais elle gigotait déjà dans le ventre de sa mère. Et aujourd’hui, elle se plaisait à imaginer qu’à l’époque ses parents écoutaient cette chanson dont l’air et les paroles s’étaient à jamais imprimés en elle. Son bonheur avait dû être parfait jusqu’au jour de son premier anniversaire, très exactement jusqu’à treize heures et vingt-huit minutes, ce 14 janvier 1968. Ce jour-là, à Gibellina, en Sicile occidentale, le repas du dimanche avait été interrompu par un bruit inhabituel, accompagné d’une secousse qui avait fait tanguer la table et renversé sur la nappe blanche le vin dont le grand-père avait rempli les verres. Les invités s’étaient précipités aux fenêtres qui donnaient sur la place de la Chiesa Madre et avaient vu le clocher de leur église vaciller. C’était le début du tremblement de terre de la vallée du Belice, et la fin de la vie que Pamela aurait dû vivre.
Dans la nuit qui suivit, à 40 kilomètres sous terre, une faille endormie depuis des siècles se réveilla brutalement et déclencha des vagues sismiques qui détruisirent les provinces de Palerme, Agrigente et Trapani ; en douze secondes plusieurs centres historiques furent réduits en poussière. Gibellina tout entière s’effondra. À l’aube, des nuées d’oiseaux survolaient les rues en ruine. Après des fouilles désespérées au milieu des décombres, une fillette d’un an fut retrouvée enroulée dans une couverture, à l’intérieur du placard où l’avait cachée sa mère. Le lendemain, Pamela faisait la une de la presse nationale.
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Agenda, téléphone portable, cahiers : partout où il a pu, l'artiste nous a dressé un profil tout à fait exhaustif de la jeune femme. Il en était fou. Curieusement, il ne semble posséder aucune image de sa use, ni portraits, ni dessins, ni photos.
- Il n'aimait peut-être pas les copies. L'art imitation de la nature n'est plus le mort d'ordre des artistes depuis un certain temps.
- Ou bien la victime préférait ne pas laisser d'images compromettantes à la portée de son excellente épouse.
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- Vous avez séduite un homme dans l'unique but de le tuer. Comme Judith.
- Oui, comme Judith. Mais Judith a profité de l’œuvre qu'elle a accomplie, elle a sauvé son peuple. Moi, je n'ai sauvé personne, même pas ma petite sœur.
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[...] L’enquête débutait relativement à l’abri des pressions pour une affaire aussi extraordinaire que la découverte, à quelques dizaines de kilomètres de distance, de deux têtes coupées, dans des lieux aussi improbables que la cabine de plage d’un établissement chic de bord de mer et une galerie de catacombes fréquentée par les touristes.
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[...] La seule pitié que nous pouvons vous accorder, c’est de vous laisser le choix de l’endroit où vous voulez qu’on retrouve votre tête. L’aquarium ? La terrasse ? Le congélateur de votre cuisine ? Je ne peux plus vous proposer les catacombes car ces derniers temps elles sont excessivement bien protégées par notre police nationale.
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