Court texte de 91 pages, édité fin 1946 par S.P.L.E (24 Rue des Ecoles, Paris). Indiqué comme écrit à Tunis en 1941.
En faire une synthèse livrerait trop de clés sur l'intrigue, je me contenterai donc des prémices. Un journaliste est appelé au chevet d'un de ses amis - journaliste tout comme lui - qui enquêtait sur la disparition d'une jeune fille de 16 ans. le père de celle-ci, hongrois d'origine, exerce comme dentiste dans la banlieue parisienne. L'ami succombant à ses blessures, le personnage central reprend l'enquête, aidé par un commissaire et une entraineuse. le faible nombre de pages n'empêche pas les multiples rebondissements et revirements.
Récit dépourvu de description ou d'introspection, ce livre tient plus du roman d'aventure que du policier classique. A ma grande surprise, je l'ai lu avec plaisir
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