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4,14

sur 112 notes
Cornouailles, 1935. Judith Dunbar a quatorze ans et s'apprête à devenir interne à Sainte-Ursule, pendant que sa mère, Molly, et sa jeune soeurs, Jess, rejoignent son père à Colombo puis Singapour.
Judith devra passer les vacances scolaires chez sa tante Louise. Celle-ci accueille la jeune fille de bon coeur, mais sa maison sinistre et austère n'est pas vraiment au goût de Judith, qui regrette souvent Riverview, où elle vivait avec sa mère et sa soeur.
Mais à Sainte-Ursule, les choses se passent mieux que prévu. Judith se lie d'amitié avec Loveday Carey-Lewis, dont la famille possède une magnifique propriété à Rosemullion: Nancherrow. Judith y est invitée à plusieurs reprises et commence à y prendre ses marques.
En 1939, Judith fait désormais partie de la famille Carey-Lewis. Tous se retrouvent à Nancherrow, avec leurs amis ou leurs fiancés. Mais la joie des retrouvailles par un magnifique après-midi d'été ne parvient pas à faire oublier la dure réalité de la guerre qui s'annonce. Les jeunes hommes présents à Nancherrow ce jour-là sont d'ailleurs tous engagés dans diverses divisions de l'armée britannique.

J'ai vraiment apprécié cette longue et belle saga, même s'il m'a fallu plusieurs semaines pour la terminer. Judith est un personnage principal aussi attachant qu'intéressant. Elle donne une grande impression de modernité et d'indépendance, qui pousse à porter un regard différent sur cette génération de femmes et de jeunes femmes d'avant la seconde guerre mondiale.
Par contre, du côté des Carey-Lewis, je n'apprécie réellement que les parents, Diana et Edgar. Les trois enfants, Loveday, Edward et Athena ne ma plaisent pas. Je ne parviens pas, malgré les pensées élogieuses de Judith à leur sujet, à les trouver sympathiques. A mes yeux, ce sont simplement trois gosses trois gâtés, habitués à vivre à leur guise sans restriction aucune et je n'arrive pas à comprendre pourquoi Judith a parfois envie de leur ressembler, elle qui est bien plus intéressante. de ce point de vue, je partage en quelque sorte l'avis de Mary Millyway, la nurse des enfants Carey-Lewis. Mary dit à Judith que, bien qu'elle ait été littéralement adoptée par les Carey-Lewis, elle ne fera jamais réellement partie de cette famille. Et qu'à trop essayer d'en faire partie, Judith risque de perdre sa propre identité. Bien vu, Mary!

La seconde guerre mondiale, que l'on sent rôder autour de nos personnages dans la première partie du récit, constitue la trame de fond de la seconde partie. Chacun des personnages que l'on a appris à connaître va être personnellement touché par ce drame. La correspondance que nos héros échange entre eux, qui émaille le récit, rend compte du sentiment d'impuissance et de résignation, de terreur et de révolte, que, tour à tour, les personnes entraînées dans cette catastrophe ressentent.
Quant à Judith, en plus de supporter le stress de la guerre, elle va également devoir assumer seule des responsabilités d'adulte: faire face aux décès d'amis et de proches, veiller sur sa tante Biddy qui risque de devenir alcoolique, renoncer à Oxford malgré ses résultats brillants à l'examen d'entrée... Judith symbolise en quelque sorte cette jeunesse qui doit se sacrifier lors de chaque grand conflit armé.
Mais la seconde partie de Retour en Cornouailles n'est pas pour autant sinistre. Chacun tente de résister du mieux qu'il peut à la morosité ambiante et il en ressort quelques étincelles d'optimisme particulièrement plaisantes à découvrir, nichées entre le récit de deux catastrophes.
Et, heureusement, pour Judith, tout se finira bien. Après tout, elle le mérite!
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A l'occasion du Mois Anglais, j'ai décidé de lire « Retour en Cornouailles », roman qui patientait depuis de nombreuses années dans ma pile à lire !

Cornouailles, Angleterre. 1935. Judith Dunbar, quatorze ans, a un statut particulier. Son père travaillant à Colombo, sa mère Molly ainsi que sa petite soeur, Jess, âgée de 4 ans, quittent l'Angleterre pour le rejoindre, laissant Judith aux bons soins de sa tante Louise. Inscrite au pensionnat de Sainte-Ursule, la jeune fille se lie rapidement d'amitié avec Loveday Carey-Lewis qui l'invite dans sa demeure familiale de Nancherrow. La vie de Judith est alors bouleversée : elle est adoptée par les Carey-Lewis et devient un membre à part entière de cette attachante famille, aux côtés de Diana et Edgar Carey-Lewis, les parents de Loveday ; Athena et Edward, soeur et frère de Loveday ; Mary, la gouvernante ; les Nettlebed, au service de la famille et Lavinia Boscawen, membre honorable de la dynastie. Judith vit des jours paisibles, tombe amoureuse et devient indépendante…avant d'être précipitée dans l'horreur de la Seconde Guerre Mondiale.

Difficile de ne pas succomber au charme typiquement anglais de ce livre, ainsi qu'à son héroïne, Judith Dunbar, que l'on suit jusqu'à ses 24 ans et avec laquelle nous traversons les heures les plus sombres de l'Histoire. Des joies de l'enfance à la terreur des bombardements nazis, Rosamunde Pilcher narre d'une plume maîtrisée le destin d'une jeune fille à la maturité précoce, dotée d'une force de caractère admirable, intelligente, loyale et généreuse. Plus qu'un portrait de femme, ce roman est également une déclaration d'amour à la Cornouailles, ses falaises, ses criques secrètes, ses paysages sauvages, ses routes (parfois) dangereuses et que chaque personnage de cette histoire aimera de tout son coeur. de plus, Rosamunde Pilcher aborde des thèmes percutants, tels la lutte des classes, le rôle des femmes durant la Seconde Guerre Mondiale, les tenants et aboutissants du conflit dans le Pacifique, le sort réservé aux prisonniers de guerre, ou encore les effets d'une agression sexuelle sur la plan psychique.

Retour en Cornouailles a été une magnifique expérience littéraire, un roman que je n'arrivais plus à lâcher et une histoire que je garderai longtemps en mémoire…Merci pour ce voyage !

A lire !
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Très bonne découverte. j'avais découvert il y a longtemps le feuilleton "la dynastie des carrey-lewis" mais le livre est bien plus intéressant, plus réaliste et nous plonge vraiment au coeur de la Cornouaille et de ses falaises et plages. le personnage de Judith est très attachant avec sa force de caractère qui l'aide à avancer malgré les épreuves. J'ai beaucoup aimé tous les personnages secondaires comme la tante Biddy et l'oncle Bob, la famille Carrey-Lewis, Jeremy Wells, le personnel de toutes les maisons... j'ai beaucoup aimé les descriptions de la vie quotidienne et notamment le sacré moment du thé et de tous ses accompagnements sucrés... un livre fleuve qui permet de nous plonger dans l'Angleterre des années 1930 et 1940. c'est romancé mais il y a beaucoup d'actions et de retournements de situation. Un livre que je recommande aux amateurs du genre!
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Quelle tristesse pour moi de quitter Judith et les autres après 847 pages! Un vrai roman comme je les aime, très bien écrit jamais ennuyeux. La Cornouailles y est admirablement décrite et l'auteur nous donne envie de faire nos valises.
1935, Judith, 14 ans, fille attachante et courageuse, reste seule en Cornouailles dans un pensionnat, sa mère et sa soeur étant allées rejoindre leur père à Colombo puis Singapour
Avec Judith, nous allons rencontrer un grand nombre de personnages, amis, familles, enseignants, domestiques et les Carey Lewis si bienveillants.
Après l'insouciance des années avant guerre et la montée du nazisme, nous suivons ses personnages en 1939 , la guerre et toute une jeune génération va voir sa vie chamboulée ("Elle pleurait, sur Judith et sur toutes les occasions à jamais perdues"), puis 1942 et enfin 1945
Ce roman, c'est tout une atmosphère, des lieux (Cornouailles, Londres, Ceylan) et des époques, l'évolution des mentalités.
Un vrai coup de coeur, prix de la meilleure oeuvre romanesque en Angleterre!!
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L'histoire est intéressante et richement documentée sur les petits détails du quotidien pendant cette période. On est immergé dans l'Angleterre (et aussi dans les "colonies") du milieu des années 1930 jusqu'à la fin de la Seconde Guerre Mondiale. Les personnages sont touchants et assez nombreux aussi pour que, malgré les 950 pages, on ait l'impression de ne pas avoir passé tant que ça de temps avec chacun (sauf l'héroïne qu'on suit de bout en bout).
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1935, Judith, 14 ans voit sa paisible existence bousculée alors que ses parents partent pour 4 ans à Singapour suite à la promotion de son père. Laissée à sa tante Louise, dans une maison austère qui ne l'inspire guère, la jeune demoiselle s'ennuie. Alors qu'elle suit un enseignement dans une pension catholique très stricte, elle va se lier d'amitié avec Loveday Carrey Lewis. Sa vie s'en trouvera changée à jamais. Au fil de ses visites dans cette famille riche et charismatique, elle finira par être perçue comme l'une de ses membres à part entière. Mais les années d'insouciance laissent vite place à la peur, la panique et la dispersion du clan avec l'arrivée de la seconde guerre mondiale en 1939. Parviendront il après toutes ces déchirures, ces épreuves, ces horreurs à se retrouver dans ce domaine de Nancherrow qu'ils chérissent tant, dans leurs Cornouailles adorées?
Voilà une saga comme je les aime, longue et belle, avec le personnage principal, Judith, qui possède un charme fou et que l'on prend plaisir à suivre, la voyant doucement passer d'adolescente à adulte, vivant avec elle ses premiers emois, ses peines, ses doutes, ses joies, ses amitiés. Vraiment un personnage attachant auquel on s'identifie presque instantanément. Et puis, c'est une jeune femme très moderne pour son époque et cela donne un petit vent de liberté et d'émancipation féminine au récit, lui apportant énormément de fraîcheur. Quant aux autres personnages qui sont très nombreux à évoluer dans cette foisonnante saga, je me suis beaucoup attachée à la famille Carrey Lewis, surtout les parents, et même si les enfants, Loveday, Athena et Edward ont un petit côté gosses de riches, ils sont quand même très sympathiques à suivre.
Si la première partie du roman est très insouciante, rythmée par les fêtes, les parties de campagne, les tea time, la seconde partie avec l'arrivée de la seconde guerre mondiale est plus sombre et l'on suit au travers des correspondances de nos héros leur impuissance face à leur nouvelle réalité, le renoncement parfois à leurs rêves, leur obstination aussi  pour croire que tout est encore possible et surtout leur courage et leur résilience face à la perte et au deuil. Malgré cette période extrêmement sombre de l'histoire en toile de fond, le ton du récit n'est jamais trop plombant et l'on sent qu'après la pluie, viendra le beau temps pour nos héros.
Et puis, comme toujours dans les romans de l'auteure on se retrouve complètement immergé dans ces magnifiques paysages de Cornouailles, on sent le vent nous fouetter le visage, on regarde la pluie tomber... Et surtout on a envie de tout plaquer pour partir sur le champ en vacances dans cette Angleterre tellement pleine de charme.
Un roman fleuve très anglais porté par une plume très fluide et agréable à lire. Une saga qui nous invite à la découverte de cette Angleterre des années 30 et 40,avec des personnages attachants et charismatiques, de belles histoires d'amour, de l'amitié, des rebondissements, un petit côté roman historique et l'insertion de parties épistolaires. Tous les ingrédients pour passer un superbe moment de lecture sur le canapé avec un plaid et un thé, et pourquoi pas le bruit de la pluie en fond sonore. Un roman, que, malgré ses 950 pages, j'ai déjà lu deux fois et que je n'exclue pas de relire un jour.
Ps:une adaptation de ce roman avait été faite il y a plusieurs années avec Keira Knightley et Emily Mortimer. Une série qui s'éloigne un peu du livre mais qui est quand même très agréable à regarder. Je vous la conseille si comme moi vous aimez les saga familiales.
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j'ai beaucoup aimé, je le possède depuis 20 ans et j'ai dû le lire 4 fois. C'est l'histoire d'une adolescente Judith , interne au Collège Sainte Ursule, laissée seule en Cornouailles par ses parents (aux bons soins de Tante Louise). Sa meilleure amie, une fille de famille bourgeoise la prend en affection et l'invite à passer les vacances et quelques week ends chez elle. Elle est accueillie comme une enfant de la famille........... l'histoire est longue, pleine de rebondissements, et je vous invite à le lire car très agréable ce roman.
Pour ma part c'est un livre que je garderai car il n'est pas exclus que je le relise encore.
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Lu dans la version brochée d'origine chez Presses de la Cité, prêté par la maire de mon village qui me sollicitait en même temps pour créer un club de lecture. M'étalant une dizaine de livres sous les yeux, j'ai mis la main sur celui-ci... pourquoi, parce que "Cornouailles" dans le titre m'a retenue, en référence à Barbara Pym ou Elizabeth Taylor.
847 pages dans la version brochée, 1 kilo et 56 grammes, qui a idée d'éditer ce genre de truc ? Comment font les gens pour porter à bout de bras et de mains et de doigts, un tel poids, pendant des heures ?
L'histoire : car ce genre de roman c'est une histoire avec un personnage principal, des personnages secondaires, des figurants et des apparitions mais à chacun de se définir dans et l'action et la problématique.
Ici, le personnage principal s'appelle Judith Dunbar. Elle a 14 ans en 1935 quand le roman débute (et l'histoire aussi) et elle en aura 19 quand le roman finira et l'histoire aussi.
Judith appartient à la middle class, apparemment, car son père est cadre dans une entreprise coloniale et vit à Ceylan (Colombo) puis part à Singapour avec domestiques et tutti quanti. Bref il n'est pas mineur.
Quand le roman débute en 1935, Judith est abandonnée, laissée par sa mère (le père est de tout façon absent car lui il bosse dans les colonies) et doit rejoindre un internat et sera suivi par une vieille tante austère. Il n'y a aucun cliché. Non. Non. Mais non.
Dans cet internat, il y a une surveillante, horrible, et une directrice humaine (tiens ? cherchez l'erreur ou plutôt cherchez de quel côté le roman va se trouver).
Judith se lie d'amitié avec Loveday, qui elle appartient à l'upper class. Et, imaginez la suite, la petite riche Loveday invite Judith la pauvre à partager les weekends, mais ce n'est pas par charité, non c'est vraiment par amitié. Sauf que cette amitié, je l'ai cherchée, rien. Donc Judith partage la riche vie de son amie Loveday. Et tout se passe merveilleusement bien. La rencontre avec le meilleur ami de la famille, avec la grand tante qui est si heureuse d'accueillir enfin une enfant digne de regarder son jardin... Ainsi, Judith hors de son milieu d'origine, va pouvoir rencontrer des "gens", des "people"... Ouh je me réjouis pour elle.
De temps en temps, le contexte politique international est collé; comme une gommette (oh tiens la verte). Alors on parle un peu d'Hitler ou de Mussolini, mais pas trop quand même, il ne faudrait pas gâcher la partie de poney ou de polo.
Sauf que il n'y a aucun recul, jamais.
847 pages, de descriptions, comment on s'habille pour le dîner, qu'est-ce qu'on mange, et comment on s'habille pour manger, et, et... des descriptions qui n'en finissent pas. Et des personnages qui apparaissent et disparaissent, oh, j'ai appris ce qu'ils avaient mangé et comment ils s'étaient habillés pour manger cela. Ces personnages sont multiples, ils foisonnent, toujours décrits si précisément que c'en est ennuyeux et puis surtout on passe de l'un à l'autre sans aucun sens par rapport à la structure du roman.
J'ai mis une centaine de pages à m'installer dans ce roman. A la 160 ème, je me suis désinstallée. Toujours la même chose, des personnages qui entrent et qui sortent, des espèces de contexte social ou politique mais qui ne sont qu'allusion et donc illusoires et qui ne pèsent rien dans le roman.
Et surtout des descriptions à foisons qui ne projettent aucune émotion. Aucune.
Et c'est ce qui m'a gênée.
Ce qui m'a gênée, c'est l'apologie d'une classe, sans aucun regard critique (le livre a été publié en 1996 en traduction française).
Ce qui m'a gênée, c'est la description de la domesticité comme une normalité. Elle écrit au XXème siècle.
Et le pire, c'est le colonialisme. Aucun recul, aucun sens critique.
Enfin, je parlerai de l'écriture. Géniale pour expliquer à nos têtes blondes (et les brunes, sans oublier les rousses et les autres) l'emploi de l'imparfait et du passé simple. Impeccable.
Et je terminerai par la structure du roman, car un roman de 847 pages pourrait se devoir d'être structuré. Ah. Là. Non. Aucune structure, on s'enfile les pages. C'est dimanche, tu vas à la messe. C'est lundi, c'est ravioli. C'est du linéaire plein pot. C'est si simple et si facile.
Au bout de 150 pages (sur près de 900) j'étais convaincue que je devais me le bouffer ce livre pour faire plaisir à ma maire et peut être être crédible pour créer le club de lecture (je reverrai plus tard ma propre notion du sacrifice)...
puis je me suis dit que des gens adoraient ce genre de livres et que je ne devais pas les juger, chacun ses goûts comme on dit,
enfin, je me suis dit que je ne devais pas culpabiliser d'avoir d'autres attentes de la littérature ;
Et encore enfin, je me suis dit que j'avais vraiment hâte d'en terminer et de retrouver mon Krudy et tous les autres auteurs qui me laissent le rôle principal en tant que lecteur quand j'entre dans leur univers. Merci à tous mes auteurs que j'affectionne.
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"Retour en Cornouailes" est un voyage hors du temps, scandé par les étapes de la vie de son héroïne. La première partie nous plonge dans la vie d'une adolescente évoluant dans la sphère de la haute société anglaise de la fin des années trente. Premiers pas dans la vie adulte, premiers émois.
Puis, le conflit couvant depuis quelques années explose. Tout ce qu'elle connait vole en éclat. le monde change en même temps que l'adolescente insouciante qui se transforme en femme.
Malgré une première partie un peu longue, la force narratrice de l'auteur m' a emportée. Je suis entrée dans cette histoire, plantée dans le décor sauvage des Cornouailles (si chères à R. PILCHER.
De plus, sans être à proprement parlé,un roman historique, cette oeuvre bien documentée nous apporte une vision différente de l'une des périodes les plus noires de l' histoire contemporaine : comment la Seconde Guerre Mondiale a-t-elle touchée et comment a-t-elle été vécue par le peuple anglais ?
En résumé j'ai beaucoup aimé et je le recommande.



Lien : http://philo-au-fil-des-mots..
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"Retour en Cornouailles" est le seul livre que j'ai lu pour le moment de Rosamund Pilcher, mais je dois dire qu'il a été une belle surprise ! J'apprécie toujours autant de le feuilleter aujourd'hui et de m'y replonger. le personnage principal, Judith, est une jeune femme profondément attachante, à la fois courageuse et fragile, qui cherche sa place dans la vie malgré les évènements douloureux auxquels elle doit faire face. L'histoire d'amour sonne juste, les relations d'amitié sont belles et fidèles. Bref, un beau roman, sans prise de tête, idéal pour des vacances reposantes.
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