Verlaine aurait-il écrit ses plus beaux poèmes si on l'avait privé d'absinthe ? C'est la question que se pose Lazare Santandrea à l'enterrement de sa grand-mère qui, un jour, avait cessé de boire et s'était atrophiée "comme l'inspiration d'un poète maudit privé d'absinthe". Lazare perçoit, dans le spleen qui l'accable, "l'absence de l'absinthe". L'absinthe manque à Lazare. Mais il ignore qu'il est sur le point d'en rencontrer au moins trois. Des Absinthe.
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