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EAN : 9782364751835
224 pages
Editions Voy'el (01/06/2013)
3.2/5   5 notes
Résumé :
Après sept années passées au Nouveau Monde, le Pacifieur Impérial Arthorius revient à Rome avec, dans ses bagages, un colis bien embarrassant : une plume étrange qui jette le discrédit sur une des figures majeures de l’Empire Romain Millénaire : La Déesse Athéna elle même.
Arthorius se trouve alors plongé, malgré lui, au centre des intrigues olympiennes dans une enquête qui le conduira jusqu’à la Frontière, au cœur des Montagnes Rocheuses.
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Critiques, Analyses et Avis (5) Ajouter une critique
Cela faisait longtemps que ce livre était dans ma bibliothèque. Je me suis enfin lancé pour un défi 1000 pages en un weekend, défi où j'ai échoué bien entendu.
Le livre se lit facilement, le rythme n'est bien ni trop rapide ni trop lent, des bonnes phases d'actions. Bref une lecture agréable.
Le gros point fort de ce livre, c'est son univers. Mêlant mythologie grecque, uchronie, steampunk… bref un univers vraiment sympa. Mais j'avoue avoir été un peu déçu par l'histoire au final… L'intrigue est sympa, mais je trouve qu'on fait beaucoup de bruit pour pas grand-chose… car disons le, le Quetezal fait un peu flop… J'ai trouvé au final que ce personnage, quand même au centre de l'intrigue apparait peu et est vite expédiée…. Dommage, car je m'attendais à quelque chose de plus fracassant.
Je déplore aussi la pauvreté des personnages féminins. Aucun ne m'a convaincu et surtout aucun ne participe activement à l'intrigue (pour moi les dons de voyance de Mahala participent à l'intrigue de façon passive). Et entre la soldate chiante qu'on fait tourner en bourrique et la mère amoureuse du héros depuis toujours, mais qui a attendu des décennies pour le lui dire… bof.
En suite j'ai trouvé une « incohérence ». L'histoire se passe dans la Rome steampunk antique… alors pourquoi les dieux ont-ils leurs noms grecs ? Car même s'ils sont souvent confondus, ils ne sont pas les mêmes, mais des équivalant être les deux civilisations…
Une chose que j'ai beaucoup aimée, c'est le petit lexique à la fin pour s'y repérer pour les incultes en mythologie ou autres, même si parfois certains termes manquent… je ne savais pas ce qu'était un hoplite (merci mon archéologue de soeur pour la définition…)
Pour conclure, je dirai que c'est un livre sympa malgré le manque de personnages féminins, mais sans plus. Dommage, car l'univers est vraiment sympa.
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Je sors de ce livre avec une impression en demi-teinte. Je pense qu'il vaut la peine d'être lu, malgré sa durée courte, et son histoire presque rapide. Il nous offre un univers qui aurait pu s'étendre à plus d'un seul livre, mais ça n'est apparemment pas le cas.

Parce que ce qui y a de plus intéressant dans ce récit, c'est son univers. On nous plonge dans une histoire de guerre divine, entre des dieux grecos-romains, mélangé à autre chose, puisqu'on a aussi la mythologie celte et celle des natifs américains qui s'y mêle. le syncrétisme a quelque chose de vraiment plaisant, et bien travaillé. On est sur les anciennes civilisations, dans une époque steampunk. Et si le mélange complet peut paraître alambiqué, il ne l'est pas tant que ça, et tout est facile à suivre.

D'autant qu'on est pas sur de l'univers dumping comme on peut le voir dans certains récits, et l'univers vient se placer naturellement dans le récit. Ce qui est appréciable, plutôt qu'avoir des longs monologues sur l'histoire du monde.

Mais cet univers s'essouffle de par ses rebondissements, qui se suffisent à des bagarres, des bastons, et une bataille. On a un fond d'enquête, qui est intéressante, mais dans l'ensemble on reste sur des rebondissements qui se ressemblent quand même pas mal.

Après, le personnage d'Arthorius “le Pacifieur impérial”, a quelque chose d'intrigant. J'ai trouvé que c'était un personnage nébuleux, à la fois spectateur et acteur du récit, qui suis une sorte de fil d'Ariane qui le mène à la conclusion d'un héros classique.

J'ai bien aimé ce personnage et son traitement. J'ai moins aimé Dom, qui au delà de son cynisme n'avait pas grand chose de plus.

Il faut dire que si je reprocherais des rebondissements qui s'essoufflent dans un récit qui devient ennuyeux dans le dernier quart du livre, ce que je reprocherais le plus à l'ouvrage est son apparent male gaze, et ses relents d'homophobie ordinaire servis comme d'un humour dont je me serais bien passé.

Entre les personnages masculins qui prennent toute la place, les personnages féminins qui ne sont pas si puissants, ou s'ils le sont apparaissent deux seconde savant qu'ils ne disparaissent… Il n'y a pas grand chose d'intéressant à en tirer, encore moins quand Dom semble toutes les deux secondes vouloir se faire quelques dames.

D'où ma demi-teinte. Si l'univers avait su proposer quelque chose de plus que sa construction, et l'enquête être plus mise en avant – j'ai adoré le passage sur les minotaures, par exemple -, je pense que ce livre aurait beaucoup plus gagné en intérêt pour moi. Ca, et le fait d'ajouter des personnages pour rien (comme la pythie) et les mettre de côté parce qu'on doit se concentrer sur les deux principaux.

Ainsi la plume du Quetzalcoatl a su me convaincre pour son ambiance, mais pas forcément pour le reste, et c'est bien dommage.
Lien : https://koalavolantchronicle..
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Une belle écriture, de bonnes trouvailles dans ce roman qui mixe mythologie-fantasy-steampunk. Je regrette qu'il ne soit pas plus long, pour développer certains passages de la seconde moitié de l'histoire. L'éditeur a laissé beaucoup de coquilles qui nuisent au plaisir de lecture.
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La plume de Quetzalcoatl est à la fois une uchronie mâtinée de steampunk, une fantasy mythique aux inspirations largement détournées, mais aussi un roman d'aventures, voire d'espionnage, un peu à la mode feuilletoniste. Et le mélange fonctionne plutôt bien.
Il semble impossible de déterminer avec certitude à quelle époque se passe cette histoire tant se mêlent des références très diverses. On rencontre par exemple un vieil homme qui porte la toge, mais également un chapeau melon, certains moyens de transport sont très modernes, parfois même futuristes, cependant ils en côtoient d'autres pour le moins archaïques. le fait que la magie, d'une certaine façon, soit encore présente, concourt sûrement à retarder l'avancée dans certains domaines, alors qu'elle permet de faire un bond en avant dans d'autres.
Dans ce roman, les dieux, de toutes mythologies confondues, prennent part à la vie politique ou commerciale et les créatures mythiques et légendaires vivent parmi les humains. On se rend compte au fur et à mesure que plusieurs faits divergent dans les récits mythiques que l'on connaît qui sont évoqués, mais aussi dans tout ce qui concerne la partie historique qui n'est pas, comme on aurait pu le penser, complètement occultée.
[...]
La suite sur mon blog.
Lien : http://livropathe.blogspot.f..
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Encore un roman qui repose sur le mélange fantasy-uchronie-panthéons antiques. La recette donne un curieux western steampunk... en toge ! L'intrigue autour de la survie éventuelle du Serpent à Plumes se déroule dans une Amérique proche de celle du début du XXe, avec des Indiens qui voient d'un mauvais oeil la colonisation romaine. le jeux avec les clichés est très réussi. Drôle et plein d'action.
Lien : http://appuyezsurlatouchelec..
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Citations et extraits (2) Ajouter une citation
Non, non, pas après. Pendant l'audition. Athéna lui a mis une flèche entre les deux yeux, le pauvre gars avait eu le malheur de lui dire que la guerre était une affaire d'hommes.
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Depuis déjà presque un siècle, la déesse s’était fait ravir son siège par des mortels. La Compagnie Scientia avait su à l’époque s’imposer au Comptoir comme le principal acteur du progrès technologique et de la recherche de pointe. Les dirigeants de la Compagnie avaient joué sur les rivalités olympiennes pour asseoir leur pouvoir au milieu des dieux du commerce. Somme toute, une OPA en bonne et due forme.
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