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Critique de belette2911


Effarement total : je ne possédais pas ce titre de Jess Long et mon paternel non plus !

Que faire ? Allez tout simplement faire un tour, chacun de son côté, dans la bouquinerie de notre ville et fouiller pour tenter de la trouver.

Yes, j'ai mis la main dessus avant lui et j'ai donc pu la lire en primeur avant de la prêter à mon daron (sans lui divulgâcher les solutions, bien entendu).

Sous le soleil du Colorado, une petite exploitation de moutons dont Clint Wood, le proprio fait tourner vaille que vaille, même pas aidé par sa femme qui préfère le travail fait que celui à faire.

Au moins, s'il y a un meurtre, Slim Sullivan sera content, il y a du soleil (mais il va sans doute râler pour autre chose, sur le côté bled perdu).

Bingo, il y a eu du grabuge... Une voisine fait appel à Jess Long et Sullivan.

Mauvais point pour les couleurs qui sont assez criardes, surtout avec un ciel moutonné de rouge ou totalement rouge.

Pas vraiment d'enquête ou de mystère à comprendre dans cette histoire.

Les personnages parlent entre eux et le lecteur apprendra tout sur tout, nos deux agents n'ayant plus qu'à venir cueillir tout ce petit monde, s'ils les retrouvent, bien entendu. Vous vous doutez que Jess Long gagne toujours.

Entre nous, ce n'est pas la meilleure enquête de Jess Long, loin de là !

La seconde histoire, "Rapt", lorsque j'ai vu la première image, je me suis souvenue de l'avoir lue, il y a des années (beaucoup d'année), dans un ancien hebdo Spirou de mon père.

Cette carabine que l'homme transformait en canon scié, ça m'avait marqué. Plus tous ses autres bricolages…

Une fois de plus, nous sommes face à des gens désespérés, des gens sans argent, sans couverture maladie (sans doute) et qui ne savent pas se faire opérer à l'hôpital, vu les prix. C'est deux mondes qui se télescopent : celui des miséreux et celui des très riches.

C'est une histoire dramatique qui nous est contée et où le kidnappeur n'est pas le plus mauvais des personnages.

Oui, le monde est mal fait, Dave Linson avait raison.

Cette deuxième histoire n'est pas vraiment une enquête non plus, nos deux agents du FBI n'auront pas grand-chose à faire pour débusquer le coupable, si ce n'est interroger l'ordinateur pour savoir qui avait acheté un obus du surplus de l'armée (putain, on ne devrait pas vendre des obus) et aller le cueillir.

Sullivan a un goût amer dans la bouche et je le comprends très bien. Moi aussi. Non, ce n'était pas une enquête, juste un drame, un terrible drame.

La troisième histoire "Un grand de sable" est un coup tordu machiavélique qui a failli réussir ! D'ailleurs, j'aurais aimé qu'il réussisse, cela aurait été une exclusivité que le FBI aille retirer l'argent d'une banque pour le livrer à un type afin de l'empêcher d'empoisonner l'eau de la ville.

Les agents du FBI ont eu trop de chance. Un bête grain de sable… Et une analyse à la "Experts Miami Las Vegas Manhattan" ! Purée, trop fort les analystes pour aller replacer ce grain de sable au bon endroit. le voleur a joué de malchance, les agents du FBI d'un peu trop de chance.

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