Il s'agit de son ultime roman posthume (l'auteur est décédé en mai 2014), ce qui rend émouvant ça lecture qui sonne comme un testament.
Il nous parle de son parcours de soins, des agressions que subit son corps (paralysie faciale…, des difficultés des gestes du quotidien mais sans se plaindre, sans vouloir apitoyer le lecteur. Il utilise l'humour noir.
Il nous dévoile l'importance des mots, des livres pour lui : « Les mots contre des maux », « les livres sont des analgésiques », « la pauvreté s'efface devant la richesses des livres »
Livre touchant, bouleversant.
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