la façon de raconter, écrire, représenter, filmer la révolution, et la penser, un peu, sans lourdeur, dans notre vie, sans trop m'étonner, sauf à la limite d'un bout de conscience, de la durée de la montée du café à travers le filtre.
Goûtant l'impression d'être intelligente sans me donner trop de mal, et en même temps de savourer les poncifs de notre représentation de Danton,
Robespierre, et du sentimental et terrible
Saint-Just (souvenir d'avoir lu un recueil de ses lettres, étonnantes, que j'ai perdu) , de gouter aussi le démontage desdites images, et nos petites révoltes, et nos éventuels rêves de révolution, dans le métro ou devant la machine à café, ou dans une manifestation et l'écoute de slogans, je suis tout de même allée constater que je n'avais pas allumé sous la cafetière, l'ai fait, et suis retournée avec
Lénine, la télévision, la contestation organisée, ou vécue de loin par des récits, et la fuite à Varesnes qui pourrait donner lieu à de charmantes représentations de bourgeoisie aux champs, avec relens de cuisine et inconfort de la voiture, jusqu'à la fin