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EAN : 9782234076587
91 pages
Stock (30/12/2015)
3.46/5   59 notes
Résumé :
« Je voulais comprendre comment Lorca Horowitz avait mis en place son plan d'anéantissement sans éveiller le moindre soupçon, et avait osé monter une à une, sans jamais reculer ni même hésiter, les marches qui la menaient droit à son crime. Je voulais comprendre pourquoi elle l'avait fait. Mais surtout en quoi cela me concernait, me touchait. Qu'avais-je à voir là-dedans ? »
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Critiques, Analyses et Avis (34) Voir plus Ajouter une critique
3,46

sur 59 notes

Avec ce livre la lectrice ou le lecteur a droit à un double récit, celui de la protagoniste principale, Lorca Horowitz, et celui de l'auteure qui essaie de la comprendre en analysant sa propre existence.

Dans quelle mesure Anne Plantagenet a été inspirée par le best-seller d'Emmanuel Carrère "L' Adversaire" et la pièce de théâtre de Jean Genet "Les Bonnes" est bien entendu difficile à déterminer.
Toujours est-il qu'entre Jean-Claude Romand, le "héros" tragique de Carrère (Daniel Auteuil dans le film de Nicole Garcia), les soeurs Christine et Léa Papin (dans le film de J.P. Denis "Les Blessures assassines", respectivement Sylvie Testud et Julie-Marie Parmentier) il y a des similitudes frappantes avec Lorca Horowitz.

Anne Plantagenet se réfère dans son oeuvre également à un autre best-seller littéraire pour illustrer son approche de la Horowitz, à savoir "De sang froid" ("In Cold Blood") de Truman Capote de 1965 et pour lequel l'auteur s'était lancé à la trace de deux assassins.

Finalement, le grand maître du suspense à l'écran n'a pas été oublié non plus. Ainsi, la patronne de Lorca, la señora Rocío Perales, "possède... quelque chose d'hitchcockien, elle a la blondeur idéale de la victime et ferait un magnifique cadavre".

La structure de l'ouvrage sous rubrique de 219 pages constitue donc un double récit à la première personne du singulier : un bref chapitre où Lorca Horowitz a la parole, suivi d'un court chapitre où c'est le tour à l'auteure et ainsi de suite. Une structure qui pourrait dérouter le lecteur mais qui a été habillement évité en annonçant à chaque fois clairement dès les premières lignes de qui il s'agit au juste.

Ou de l'auteure au superbe nom historique ou de la protagoniste au prénom "insensé de poète républicain" (Federico García Lorca, 1898-1936) et au nom de famille "à coucher dehors".

Les deux grandes qualités de cet ouvrage résident, à mon avis, d'abord dans la qualité de la langue, qui est très riche et variée, et la solidité de la caractérisation psychologique des personnages, ce qui dans le cas de cette Lorca Horowitz est tout sauf évident.

Bref, ce livre m'a intrigué et plu et je suis content de savoir que son "Trois jours à Oran" de 2015 m'attend sur ma table de nuit.
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Anne Plantagenet tombe par hasard sur un fait divers qui s'est déroulé dans une région d'Espagne qu'elle connaît très bien pour y avoir vécu quelques années. Elle décide alors de se l'approprier. Pour se faire, elle revendique le fait d'aborder son sujet à la manière d'Emmanuel Carrère. Elle le met donc en parallèle avec sa propre vie, afin d'expliquer les raisons personnelles qui l'ont poussée à s'intéresser à cette histoire.

Un chapitre, elle nous narre les évènements de son existence et les différents états émotionnels qu'elle a traversés. le chapitre suivant, elle entre dans la tête de Lorca Horowitz et nous fait partager les réflexions de cette femme malfaisante.
J'ai beaucoup aimé le style de l'auteur. Elle utilise une belle écriture, très fluide. J'ai vraiment été emporté dans l'esprit de Lorca. J'ai été d'abord déstabilisé par sa santé mentale qui semble vaciller tout au long de l'histoire, puis intrigué par sa détermination à mener à bien sa manipulation. Lorca Horowitz devient alors un personnage indéfinissable, dégageant une grande part de mystère. le drame se déroule sous nos yeux sans qu'on n'en comprenne le véritable but.

Malheureusement ce roman traine un défaut qui a pénalisé mon plaisir de lecture. En effet, j'ai été gêné par la forme de narration. En alternant entre deux récits distincts, l'implication dans l'univers des protagonistes se retrouve hachée. Dès que je commençais à entrer en empathie, le point de vue changeait et me stoppait net dans mon élan. de plus le livre étant très court, je n'ai pas eu le temps de m'imprégner des personnages et de l'atmosphère.

Globalement j'ai passé un bon moment pris dans les filets de l'escroquerie et de l'usurpation mais je suis un peu resté sur ma faim, faute de n'être jamais rentré complètement dans l'aventure.
Lien : https://leslivresdek79.wordp..
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Appelez moi Lorca Horowitz
Anne Plantagenet

" Lorca está loca pero "Lorca" quiere siempre que se le llame "Lorca Horrowitz"

- Une vie de femme, ordinaire, devenue héroïne du roman double qu'elle a crée...vécu -
En Andalousie, Lorca Horowitz , jeune femme quelconque sans charme ni qualifications, est engagée par un couple d'architectes en vue, beaux et riches, alors que quantité de jeunes filles belles et parfaites postulaient également.
Elle devient alors la protégée de "sa patronne" qui lui montre comment évoluer pour devenir une jolie femme.
Dans ce roman Appelez moi Lorca Horowitz , plus que dans tout autre, la romancière Anne Plantagenet, traductrice d'espagnol, et notamment de Ildefonso Falconès(auteur de la Cathédrale de la mer et de la Reine aux pieds nus) qui a vécu en Espagne dans la région où elle situe son roman, s'immisce dans le récit.
Sa vie et celle de l'héroïne se rejoignent. En effet en Espagne elle a eu un amour semblable à celui de Lorca et de " Julian " mais pas seulement...!
Son enquête deviendra une quête qui va l'emmener au fond de la femme qu'elle est.
Elle ne contrôle plus cette histoire, leur vie se mélange et se superpose sous ses yeux, sous les nôtres...
...dans l'exubérante extravagance " le trop en tout" où Lorca, vit une autre existence que la sienne.
Jusqu'à quand ? Et comment en sortira-t-elle... elle qui a décidé de vivre cette vie qui n'aurait jamais dû être sa vie !
Pourquoi ce fait divers quasiment inconnu en France a-t-il rattrapé la romancière et que dit-il d'elle ?
Le lecteur se demande s'il est aussi l'un des personnages de ce roman par les identifications multiples qu'il peut faire.
Anne Plantagenet n'a-t-telle pas besoin de ce livre pour savoir où elle en est de sa vie personnelle ...sa vie lui sert-elle aussi à comprendre celle de Lorca qui la fascine ?
Autant de questions auxquelles le lecteur répond dans l'intimité de sa lecture.
Ecrit d'une écriture très bien rythmée, dynamique, avec peut-être des phrases moins longues que celles auxquelles Anne Plantagenet nous avait habitués dans ses autres romans, n'oubliant pas les points de vue élégants et achevés dans la ruse de l'une et les interrogations des "autres", ce roman relie les personnalités et les différents états émotionnels de deux femmes jusqu'à la déstabiliser.
Qui est le déterminant et quel est l'élément perturbateur de ce roman double ? ( ma réponse en conclusion)
De Lorca Horowitz mythomane et obsessionnelle jusqu'à l'indécence, Anne Plantagenet a besoin de comprendre ce qu'elle écrit et qui lui file sous les doigts.
Malgré un détournement d'argent un vol de personnalité on pense au film Vertigo où on n'a jamais atteint un tel degré d'intensité dans la passion d'un être. Sueurs froides contient, comme dans le roman de Anne Plantagenet un condensé d'émotions fortes, exprimant des idées sous-jacentes comme dans la poésie si je puis dire...(la poésie ne raconte pas)
Un roman qui perturbe le bel équilibre du genre "roman" et de son schéma narratif.
Lorca Horowitz ne vit pas une situation normale où tout est en équilibre dans sa vie avant d'entrer dans sa vie "romancée".
C'est la romancière qui est l'élément perturbateur et l'élément déclencheur de cette narration.(à mon avis)
Le déroulement de l'histoire, les pensées, les paroles et les actions des personnages de ce roman, sont presque toutes en relation et interaction avec l'auteure et le dénouement ne m'apporte pas une fin apaisée.
Ce livre fait obstacle aux codes du roman. Il se déroule entre l'identification, qui est le propre de tout roman psychologique, et la distanciation tout en "permettant" au lecteur de le rapprocher de son expérience personnelle par ce qui est nouveau.
Mais quand l'identification est faite par l'auteur comment conjure-t-il l'angoisse et les interdits ?
Je regrette que cette identification ne montre qu'une seule facette du sujet.
L'auteure ne met pas à distance : elle transpose.
J'ai aimé ce livre et les recherches m'ont conduite jusqu'à Malaga où un de mes amis écrivain m'a guidé dans mes investigations auprès de journalistes Espagnols.
Lorca está loca pero Lorca quiere siempre que se le llame "Lorca Horrowitz"
Merci Andy Garcia Montes de Malaga.
Gracias Andy García Montes Escritor de " Hiram el Fenicio" tu ayuda fue benéfica. Y ves esta crítica que tan me daba miedo porque sabes tu lo que encontré allí la publiqué a pesar de todo. No la publiqué en nuestras dos lenguas porque era demasiado larga sino es redactada.
Gracias todavía mi amigo.
Merci aux Editions Stock. Merci à Babelio.
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Une fois n'est pas coutume, c'est le résumé du livre qui m'a convaincu de découvrir cet opus. Jugez-en par vous-même: « Je voulais comprendre comment Lorca Horowitz avait mis en place son plan d'anéantissement sans éveiller le moindre soupçon, et avait osé monter une à une, sans jamais reculer ni même hésiter, les marches qui la menaient droit à son crime. Je voulais comprendre pourquoi elle l'avait fait. Mais surtout en quoi cela me concernait, me touchait. Qu'avais-je à voir là-dedans ? »

Mais qui est donc cette mystérieuse Lorca Horowitz? Qu'a-t-elle donc fait? Il y a un grand attrait psychologique dans ces quelques lignes... La belle couverture choisie par l'éditeur nous donne une première réponse: une personne libre, excentrique, extravagante...

« le bonheur diminue à mesure que la vérité augmente »

Durant un peu plus de 210 pages, au moyen de chapitres courts, l'auteur alterne entre la vie de secrétaire de Lorca chez Perales, un couple d'architectes de Carmona, en Espagne, racontée par l'héroïne elle-même et l'enquête du narrateur. Ce procédé est assez habile pour maintenir le mystère et surtout entretenir une atmosphère assez malsaine, pesante... La brièveté des chapitres permet la dynamique du récit. Elle maintient également l'intérêt et l'attrait du lecteur.

« A côté de toutes les jeunes filles conquérantes, plus que présentables, qui lorgnaient la place, certaines venues spécialement de Séville, dûment recommandés, avec ascendance haut placée et bénédiction de l'Opus Dei, c'est moi qu'ils ont extraite du lot, Lorca Horowitz, trente-deux ans, soixante-douze kilos et demi, attifée comme l'as de pique les meilleurs jours, aucun lobbying en ma faveur. Une décision parfaitement incohérente. »

De jeune dactylo boulotte et mal dans sa peau à ses débuts professionnels, Lorca va radicalement évoluer. Elle imite et copie la femme Perales jusqu'à ce que cette dernière entre en dépression, détourne de l'argent du cabinet en très grande quantité, se rend indispensable et incontournable. Se rêvant riche et célèbre, elle n'a de cesse de dissimuler ou travestir la vérité afin de mener grand train et arriver à ses fins.

« Et chez Lorca Horowitz, le ravissement de la personnalité n'avait pas pour but de dissimuler, ni de s'enrichir, ni de s'élever socialement, c'était en soi l'objectif à atteindre. Mais je persistais à penser qu'il y avait tout de même au fond des cartons consciencieusement rangés dans le grenier de l'étrange secrétaire une part du délire maniaque d'Hitchcock »

Le narrateur, lui, découvre l'histoire dans un fait divers sur le journal au moment du procès de Lorca et cherche à en savoir davantage à la fois sur l'affaire et le personnage. Plus on avance dans la lecture, plus le narrateur semble s'identifier à cette fameuse Lorca de par sa propre expérience.

« Je connaissais bien aussi cette douleur de l'exclusion, pire encore, celle du coeur qui se brise et n'en finit pas de se briser, du coeur déjà en miettes et qu'on peut, aussi inconcevable et cruel que cela paraisse, réduire en morceaux toujours plus petits, car il faut de nombreux coups pour arrêter l'amour, il faut le tabasser à plusieurs reprises »

Au point même de se confondre avec l'héroïne... C'est un drôle de sensation. Cela en est même assez dérangeant.

« Je comprenais de mieux en mieux l'étrange secrétaire. Qui savait si, à sa place, je n'aurais pas agi de la même façon ? Il n'y a pas d'apaisement possible quand on aime passionnément un être qui vous trahit, quand on continue de l'aimer en dépit du mal qu'il vous fait »

Même si j'ai lu relativement rapidement ce roman, je n'ai pas pris plus que cela de plaisir et n'ai jamais réussi à rentrer totalement dans l'intrigue. le style de l'auteur n'est pas désagréable mais certaines phrases trop longues, certaines constructions trop alambiquées m'ont dérangé et ont rendu la lecture moins fluide qu'elle n'aurait dû.

De plus, j'ai eu du mal et ai été déçu avec les dernières pages... Si le déroulement du livre est cohérent et plutôt convainquant dans sa construction, il m'a manqué une vraie fin...

Même si je l'ai terminé sans grande difficulté, je suis passé un peu à côté de ce roman et n'en garderai surement pas un grand souvenir...

3/5

Lien : http://alombredunoyer.com/20..
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Tout d'abord merci à Babelio, pour m'avoir envoyé ce livre lors d'une opération Masse Critique. J'avoue avoir vu la couverture et lu le résumé rapidement et je ne savais donc pas trop à quoi m'attendre. Pour résumer l'histoire, la narratrice est interpellée par un fait divers qui s'est produit en Andalousie et enquête sur cet évènement : Lorca Horowitz, jeune femme engagée comme secrétaire dans un cabinet d'architectes dirigé par un couple de riches bourgeois, a au fil du temps usurpé l'identité de sa patronne, et détourné l'argent du cabinet.
Les chapitres, écrits à la première personne, expriment alternativement le point de vue de la narratrice et celui de Lorca elle-même. Sur la forme, les chapitres sont courts et permettent à l'histoire de se dérouler sans temps mort, mais les phrases sont souvent longues, avec des tournures complexes, dans lesquelles les deux narratrices s'éloignent de leur propos de départ pour aller vers des réflexions plus personnelles, ce qui a rendu ma lecture parfois difficile.
Pour le fond, les histoires des deux femmes semblent se rejoindre au fur et à mesure que l'on avance dans le livre : la narratrice a vécu en Andalousie, là où se déroule l'histoire de Lorca, elles ont probablement fréquenté des lieux proches, mais c'est surtout dans leurs relations amoureuses que se font les rapprochements. Car Lorca est folle amoureuse de son mari Jùlian qu 'elle évoque tout au long de son récit. Pourtant difficile de savoir à la fin si cet amour est la cause de ses actes. Et c'est finalement ce qui m'a dérangée dans ce roman : tout au long de l'histoire, on attend des explications aux gestes de Lorca, ses motivations (son enfance, son amour?),mais les réponses ne viennent pas, et on finit par ne plus savoir où est la vérité. Est-que Lorca est manipulatrice, machiavélique et cruelle ou totalement dérangée ? Il en est de même pour la narratrice, qui est captivée par ce fait divers, sans jamais parvenir à nous en donner les raisons. Et je suis restée sur ma faim, sans avoir éprouvé aucune empathie ni pour l'une ni pour l'autre, comme si je n'étais jamais rentrée dans leur histoire.
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Citations et extraits (24) Voir plus Ajouter une citation
J'avais décidé que j'aurais une vie dérangée, une vie bruyante et malheureuse. C'était l'idée que je me faisais du contraire de l'ennui, qui était ma plus grande epouvante, et j'ai toujours fait du mieux que j'ai pu pour le tenir à distance. Pas question d'étriquer mon existence, de l' assiéger avant l'heure, pas question qu'elle devienne immobile, que se succèdent les résignations silencieuses, les contrats signés avec le désenchantement, je voulais l'écrire en grand, avec de l'inconfort et du mouvement, des drames amoureux, du recommencement permanent.
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« A côté de toutes les jeunes filles conquérantes, plus que présentables, qui lorgnaient la place, certaines venues spécialement de Séville, dûment recommandés, avec ascendance haut placée et bénédiction de l’Opus Dei, c’est moi qu’ils ont extraite du lot, Lorca Horowitz, trente-deux ans, soixante-douze kilos et demi, attifée comme l’as de pique les meilleurs jours, aucun lobbying en ma faveur. Une décision parfaitement incohérente. »
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« Et chez Lorca Horowitz, le ravissement de la personnalité n’avait pas pour but de dissimuler, ni de s’enrichir, ni de s’élever socialement, c’était en soi l’objectif à atteindre. Mais je persistais à penser qu’il y avait tout de même au fond des cartons consciencieusement rangés dans le grenier de l’étrange secrétaire une part du délire maniaque d’Hitchcock »
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« Je connaissais bien aussi cette douleur de l’exclusion, pire encore, celle du cœur qui se brise et n’en finit pas de se briser, du cœur déjà en miettes et qu’on peut, aussi inconcevable et cruel que cela paraisse, réduire en morceaux toujours plus petits, car il faut de nombreux coups pour arrêter l’amour, il faut le tabasser à plusieurs reprises »
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Cette fille a un comportement anormal, elle me suit partout, je ne peux plus faire un pas désormais sans tomber sur elle, je t'assure Eluardo qu'elle cherche à me copier, à s'habiller comme moi, à se coiffer comme moi....J'ai peur, je me demande ce qu'elle veut à la fin, jusqu'où elle veut aller....
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Vidéo de Anne Plantagenet
Anne Plantagenet, la traductrice de « Feria » nous présente le premier roman d'Ana Iris Simón.
Considérée comme l'une des voix les plus prometteuses de son pays, Ana Iris Simón appartient à une nouvelle génération d'écrivains qui s'est politisée lors de la crise financière de 2008. Feria, son premier roman, est une brillante réflexion sur le sens de la vie doublée d'une magnifique déclaration d'amour à la famille et à la terre.
https://editions-globe.com/feria/ « Feria » d'Ana Iris Simón. Traduit de l'espagnol par Anne Plantagenet
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