AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
EAN : 9781090916204
Delirium Editions (15/09/2015)
3.55/5   21 notes
Résumé :
Depuis les débuts de Richard CORBEN, les passionnés de ses travaux à travers le monde ont pu lire régulièrement ses adaptations de grands auteurs de la littérature fantastique et de l’univers des pulps, tels que R. E. Howard, H. P. Lovecraft, W. Hope Hodgson…

Mais Edgar ALLAN POE occupe une place particulière dans ses sources d’inspirations et nous pouvons voir régulièrement CORBEN, immense perfectionniste et éternel passionné de son oeuvre, se replo... >Voir plus
Que lire après Esprits des morts et autres récits (BD)Voir plus
Critiques, Analyses et Avis (7) Voir plus Ajouter une critique
Décédé au début du mois de décembre 2020 à l'âge de 80 ans, Richard Corben fut découvert par les lecteurs français dans CREEPY et EERIE au début des années 70. Mais ce sont surtout les éditions Les humanoïdes associés, avec la revue METAL HURLANT, puis des albums tels que "Den" qui donneront à cet artiste une place prépondérante dans la BD américaine pour adultes.

Dans ce copieux album grand format, nous découvrons les adaptations de Richard Corben de nouvelles d'Edgar.A.Poe.

Corben prend quelques libertés avec les oeuvres originales, en ajoutant entre autres éléments de son cru, une sorcière borgne qui sert de narratrice, cependant l'esprit et les grandes lignes des récits sont respectées

Le dessinateur au style immédiatement identifiable, qui se reconnait à ses personnages masculins taillés en bodybuilders, et à ses filles -très- plantureuses, tempère un peu ses penchants, mais reste fidèle à une autre de ses caractéristiques ; la représentation crue de l'horreur viscérale.

Depuis quelques années, les éditions DELIRIUM, (re) publient les albums de Corben (Grand Prix d'Angoulême 2018) d'ailleurs un inédit devrait sortir sous peu... Saluons leur travail qui permettra aux amateurs de lire encore cet auteur qui marqua son temps.
Commenter  J’apprécie          311
Ce tome est constitué d'histoires courtes indépendantes de toute autre ; il donc peut se lire indépendamment de toute autre lecture. Il comprend 14 adaptations de textes d'Edgar Allan Poe, parus entre 1829 et 1846. Ces récits sont tous écrits, dessinés et encrés par Richard Corben, avec une mise en couleurs réalisées par lui-même assisté par Beth Corben Reed. Ces histoires sont initialement parues dans des numéros spéciaux, et dans des numéros de l'anthologie "Dark Horse presents" (numéros 9, 16 à 18, 28 et 29), de 2012 à 2014. Il s'agit de nouvelles adaptations réalisées dans les années 2010.

Ce tome commence par une table des matières indiquant pour chaque adaptation, l'année à laquelle le texte d'Edgar Allan Poe est paru. Vient ensuite une introduction de 3 pages rédigée par Thomas Inge (professeur de lettres en université) identifiant la force de ces adaptations. En page 10, le lecteur trouve la reproduction du texte du poème "Spirits of the dead" d'Edgar Allan Poe.

Les 200 pages suivantes sont constituées de bandes dessinées réalisées par Richard Corben, commençant par "Alone", et se terminant avec "The cask of Amontillado" (la liste des textes se trouve en fin du présent commentaire). En fin de volume se trouvent les 6 couvertures réalisées pour le numéro spécial "The conqueror worm", les 2 épisodes de "The fall of the house of Usher", et les numéros spéciaux "Morella, and The murders in the rue Morgue", "The raven and The red death", et "The premature burial".

Ce n'est pas la première fois que Richard Corben réalise des adaptations de textes ou de poèmes d'Adgar Allan Poe. La première fois, c'était en 1974 dans le numéro 47 du magazine Creepy, réédité dans "Creepy présente Richard Corben. Durant les années 1970, cet artiste a ainsi transposé plusieurs histoires de Poe, soit sous forme d'une courte bande dessinée, soit sous une forme un peu plus longue (par exemple La chute de la Maison Usher).

Quand Corben revient aux comics en 2006, il commence par une courte série en 3 épisodes publiés par Marvel MAX : "Haunt of Horror" qui contient des adaptations de texte d'Edgar Allan Poe. Il s'agit de nouvelles versions, même si certaines reviennent sur des textes déjà adaptés dans les années 1970 : (1) The raven, (2) The sleeper (3) The conqueror worm, (4) The tell-tale heart, (5) Spirits of the dead, (6) Eulalie, (7) The lake (8) Izrafel (9) The happiest day, (10) Berenice.

Le présent recueil comprend uniquement des bandes dessinées originales, pas de rééditions des versions précédentes pour Creepy ou pour Marvel MAX. le lecteur y retrouve de nouvelles versions de textes déjà adaptés plusieurs fois comme The Raven, ou La chute de la Maison Usher, ou encore le masque de la mort rouge. À la différence des précédentes versions, ce recueil compose un ouvrage thématique placé sous le signe de l'esprit des morts, c'est-à-dire la manière dont les vivants ressentent l'influence des morts. Il ne s'agit pas tant d'histoires de fantômes, que plutôt du poids des défunts sur l'inconscient.

En choisissant le titre de l'ouvrage Richard Corben livre une clef de compréhension sur la direction qu'il a donnée à ses adaptations. L'esprit des morts pèse sur la vie psychique des vivants, qu'ils le veuillent ou non, qu'il s'agisse d'une épouse défunte sur l'esprit du veuf, ou de celui d'une victime tuée sur l'esprit de son assassin. Avec ce point de vue en tête, le lecteur constate que l'auteur fait preuve d'une grande cohérence dans son approche. Cette cohérence est renforcée par le choix de ne pas moderniser les récits, de les laisser à l'époque où Poe les a situés, c'est-à-dire majoritairement au dix-neuvième siècle.

Toujours en termes de technique d'adaptation, Corben a choisi de reprendre l'intrigue de chaque texte, ainsi que l'état d'esprit ou l'émotion qui y sont développés. Il n'y a pas presque pas d'inclusion du texte original. le lecteur découvre donc des histoires racontées en bandes dessinée, plutôt qu'un entre-deux inconfortable entre fidélité servile au texte et dessins cantonnés au rôle d'illustration. Ainsi le long poème "The raven" (18 strophes de 5 vers) devient une bande dessinée de 10 pages, dans laquelle l'auteur montre ce qui se passe plutôt que de faire un dessin accompagnant chaque strophe. le corbeau et le buste de Pallas sont bien présents et il dit toujours "Nevermore".

Ce choix de prendre de la distance vis-à-vis du texte originel, pour se concentrer sur l'état d'esprit et l'émotion aboutit à des bandes dessinées autonomes qui mettent en valeur la force du récit d'Edgar Allan Poe qui supporte des interprétations multiples, et l'intelligence narrative de Corben qui réussit à transposer l'esprit des textes. le lecteur retrouve bien les caractéristiques de narration visuelle de Corben. Comme dans ces récits récents, il a mis la pédale douce sur la nudité (par rapport à ces oeuvres des années 1970) ; il n'apparaît qu'une paire de fesses et une paire de seins dans ces 200 pages, et pas en gros plan.

Il a rapatrié un dispositif narratif des années 1970 qui est d'inclure dans certains récits (pas tous) la présence d'un personnage qui introduit l'histoire, qui en consolide la morale, et qui peut faire une remarque ou deux en cours. Corben utilise ce dispositif avec parcimonie. Il a choisi le personnage de Mag la Harpie (une vieille femme avec bandeau noir su l'oeil gauche, vêtue d'un simple drap grossier qui lui couvre la tête et le corps que l'on devine fatigué par les années.

Le lecteur a l'excellente surprise de voir que les Corben (Richard & Beth) maîtrisent l'usage de l'infographie pour la mise en couleurs. Ils ne tentent pas de reproduire l'exubérance des couleurs à l'aérographe qui ont fait la réputation de Corben sur Den. Ils les utilisent afin d'accentuer le volume et le relief des surfaces, par l'usage de dégradés maîtrisés (par opposition à systématique). Ils s'en servent dans certaines séquences pour installer une teinte qui donne le ton et renforce l'ambiance. Il y a un gros travail dans le choix des couleurs, en particulier pour ce qui est de la teinte de la chair, ce qui renforce la dimension sensuelle (et souvent morbide) associée à la chair.

Dès la première bande de cases, le lecteur peut constater que l'artiste dispose toujours de cette capacité surnaturelle à rendre compte de la texture de ce qu'il dessine. Ici il s'agit dans la troisième case de la partie supérieure des feuilles d'un arbre, où le lecteur peut voir le léger reflet occasionné par le vernis qui les protège. Par la suite il peut apprécier le granité de la pierre d'une statue, la friabilité d'une peau parcheminée en décomposition, la tension superficielle de l'eau, le velouté d'une peau, la rougeur d'une gencive, la viscosité du sang, les craquelures d'un revêtement mural attaqué par les moisissures, etc. Corben ne sature pas ses cases en texture : une feuille peut être représentée avec soin dans une case, puis de manière schématique dans celle en dessous. Il ajuste le niveau d'informations visuelles, en fonction des besoins narratifs.

Cette façon de varier le réalisme de la représentation peut être déconcertante pour un lecteur qui n'y est pas habitué, car elle s'applique aussi bien aux textures, qu'aux décors, et même aux personnages. Dans "The cask of Amontillado", les murs sont représentés avec toute la rugosité des briques, et la granularité du mortier, tant que le personnage principal est en train de le monter. Puis dans la page suivante, les arrière-plans sont uniformément noirs parce que Corben souhaite focaliser l'attention du lecteur sur les personnages.

Si certaines pages suggèrent plus les décors qu'elles ne les montrent, ils bénéficient tous d'un réel travail de conception. L'artiste s'y entend pour recréer les intérieurs de l'époque, de l'architecture de la bâtisse, à son ameublement, en passant par l'aménagement intérieur. Il n'y a que la reconstitution des rues de Paris (Double assassinat dans le rue Morgue) qui prête à sourire par quelques détails fantaisistes (mettons ça sur le compte de la licence artistique).

Cette approche variable dans le degré de détails peut parfois déconcerter en ce qui concerne les personnages. Corben peut aussi bien les représenter avec une exactitude quasi photographique, que les détourer à gros traits. Dans le deuxième cas, la mise en couleurs vient apporter une consistance aux différentes formes, à commencer par du relief, et du volume. Ces dessins un peu caricaturaux portent bien les éléments nécessaires à la narration, tout en induisant une forme de distanciation moqueuse. À bien y regarder, le lecteur peut détecter une moquerie discrète et insidieuse, dans des expressions veules et peu flatteuses pour les personnages, ou dans des gestes trop précipités. Cette ironie sous-jacente ne neutralise pas les effets dramatiques. Elle apporte une dimension adulte, un léger cynisme quant aux actions et réactions de certains personnages, pas toujours très bien dans leur tête, ou très conscients d'agir de façon immorale.

Régulièrement, Richard Corben revient aux textes d'Edgar Allan Poe pour les adapter à nouveau. Ce recueil présente une rare cohérence narrative, à la fois visuelle, et à la fois dans sa manière d'adapter les textes. La préface souligne à quel point Poe était un conteur né, sachant structurer une nouvelle ou un poème de manière à instiller une tension dramatique, tout en construisant des personnages. Richard Corben a trouvé la bonne approche pour à la fois se reposer sur cet art de la narration, et pour transposer les émotions et les états d'esprit sans les dénaturer, sous forme de nouvelles relevant entièrement de la bande dessinée, et pas d'une réalisation n'arrivant pas amalgamer le texte original avec les conventions de la BD.

-
- Liste des textes adaptés -

(1) Alone
(2) The city in the sea
(3) The sleeper
(4) The assignation
(5) Berenice
(6) Morella
(7) Shadow
(8) The fall of the house of Usher
(9) The murders in the rue Morgue
(10) The masque of the red death
(11) The conqueror worm
(12) The premature burial
(13) The raven
(14) The cask of amontillado
Commenter  J’apprécie          60
Ce bel album de plus de 200 pages reprend quatorze contes et nouvelles d'Edgar Allan Poe, revisités par Richard Corben entre 2012 et 2014. Les différents récits sont présentés dans l'ordre chronologique de leur parution originelle, entre 1829 et 1846.

Ces classiques de la littérature fantastique sont donc adaptés par un auteur réputé pour ses histoires d'épouvantes et connu pour être grand fan d'Edgar Allan Poe, dont il avait d'ailleurs déjà adapté certains textes auparavant, dont le « Corbeau » ou « La chute de la Maison Usher ». Si les différentes histoires sont totalement indépendantes les unes des autres, l'esprit des morts y est souvent présent, comme suggéré dans le titre de l'album. de l'esprit de la victime venu tourmenter son assassin à celui d'un proche défunt venu hanter un membre de la famille, les vivants semblent souvent avoir du mal à se débarrasser définitivement de leurs morts. L'autre point récurrent entre les différents récits est l'usage d'une vieille sorcière à l'oeil gauche bandé qui fait office de narratrice. Ce procédé fonctionne plutôt bien car cette voix-off permet d'éclairer et de commenter certains passages. Au niveau du scénario, certaines intrigues sont un peu faiblardes, mais l'esprit et la force du texte originel sont parfaitement conservés et l'envie de découvrir la chute tragique de l'histoire est souvent assez grande. Ma préférence va bien évidemment à « La chute de la maison Usher », mais j'ai également beaucoup apprécié d'autres récits, tels que « Morella » ou « Double assassinat dans la rue Morgue ».

Visuellement, le style si caractéristique de Richard Corben fait à nouveau des merveilles. Son dessin (en couleurs s.v.pl.), à la fois caricatural et réaliste, plonge immédiatement le lecteur dans l'ambiance adéquate pour profiter pleinement des textes d'Edgar Allan Poe. de plus, le travail éditorial des éditions Délirium est une nouvelle fois irréprochable.

1. Alone
2. The city in the sea
3. The sleeper
4. The assignation
5. Berenice
6. Morella
7. Shadow
8. The fall of the house of Usher
9. The murders in the rue Morgue
10. The masque of the red death
11. The conqueror worm
12. The premature burial
13. The raven
14. The cask of amontillado
Lien : https://brusselsboy.wordpres..
Commenter  J’apprécie          30
Voici une bande-dessinée adaptée de nouvelles et poèmes d'Edgar Poe par Richard Corben, presque un roman graphique d'ailleurs, car les histoires sont reliées entre elles par une conteuse, une vieille femme, peut-être une sorcière qui nous les introduit. Au sommaire : "Les Esprits des morts", "Seul", "La Cité en la mer", "La Dormeuse", "Le Rendez-vous", "Bérénice", "Morella", "Ombre", "La Chute de la Maison Usher", "Double assassinat dans la rue Morgue", "Le Masque de la mort Rouge", "Le Ver conquérant", "L'Enterrement prématuré", "Le Corbeau" et "La Barrique d'Amontillado".
Quand je dis adaptation, je devrais plutôt dire interprétation, car Corben fait plus qu'adapter les histoires de Poe, il les met allègrement à sa sauce et les transforme grandement ; certaines n'ont d'ailleurs plus rien à voir avec l'oeuvre originale. Là où certains aspects ne sont qu'effleurés ou inconsciemment suggérés chez Poe, chez Corben ils sont surexploités et prennent le pas sur l'esthétique. Et même si je reconnais le talent de dessinateur de Corben, qui maîtrise le relief, les ombres et sûrement bien d'autres choses encore, je n'adhère pas vraiment à son dessin ici que finalement je trouve dégradant pour le corps humain. Je préfère largement ses dessins de la couverture et de celles, originales, présentées en fin d'ouvrage, beaucoup plus fines.
Commenter  J’apprécie          00
Moyennement emballé par ce que j'ai trouvé dans ces pages. L'épouvante que peuvent susciter les histoires d'Edgar Poe tourne au grotesque par moments, avec des créatures exubérantes, des marécages putrides et autres manoirs inquiétants sous un ciel d'orage... Ce n'est pas désagréable à lire du tout, mais cela transforme assez profondément l'image austère et froide que je me fais des histoires originales (pour celle que je connaissais).
Commenter  J’apprécie          10


critiques presse (2)
ActuaBD
15 mai 2023
Le 2 décembre 2020, Richard Corben nous quittait. Comme cela se passe assez rarement, l’artiste américain et son public français avaient eu le temps de tout se dire avant la séparation éternelle.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
BDGest
06 octobre 2015
De l’aveu de Corben lui-même, son travail n’est pas une transposition littérale des poèmes et nouvelles de Poe,mais une mise en images des émotions et des sentiments qu’il ressent à la lecture de ces œuvres.
Lire la critique sur le site : BDGest
Citations et extraits (1) Ajouter une citation
Mon attirance, ou plutôt mon obsession pour la peur générée par le surnaturel doit remonter à mon enfance. Je ne crois pas que cette obsession soit liée à un événement particulier. Au contraire, je pense que cette attraction est une manifestation particulière d'un besoin naturel chez beaucoup d'enfants, sans qu'aucune explication ne soit nécessaire. Dans mon cas, ça doit être lié à quelque chose d'aussi anodin que mes parents m'emmenant voir un film fantastique avant même que je n'aie appris à lire ou écrire à un âge où les enfants sont réceptifs à toute forme de stimulus.

Richard Corben (Introduction)
Commenter  J’apprécie          100

Lire un extrait
Videos de Edgar Allan Poe (57) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Edgar Allan Poe
Le Clan des Poe de Moto Hagio remporte le Tournoi Shôjo 2023 face à Ocean Rush avec 57,66% des voix ! Qu'en pensez-vous ? L'avez-vous lu ? Retrouvez l'intégralité de la news ici : https://www.manga-news.com/index.php/actus/2024/03/25/Le-Clan-des-Poe-remporte-le-Tournoi-Shojo-2023
Cette consécration semble encore renforcer l'intérêt grandissant pour l'oeuvre de Moto Hagio, une autrice emblématique qui a révolutionné le genre dès les années 1970. Longtemps absente de nos rayons, elle est désormais présente avec des titres tels que Leo, Barbara : l'entre-deux-mondes, ainsi que les anthologies de la Rêverie et de l'humain, tous édités chez Akata. Hagio a d'ailleurs été l'une des invitées d'honneur du dernier Festival International de la BD d'Angoulême, où une exposition d'envergure lui a été dédiée. Son interview est également disponible sur notre site.
Il est également remarquable que cette victoire marque la dixième consécutive pour une série des éditions Akata dans nos tournois shôjo. Cela souligne l'engagement continu de cet éditeur, qui depuis son lancement en 2014, a toujours accordé une place de choix au shôjo pour mettre en avant sa richesse et sa diversité.
Synopsis : "Le Clan des Poe" se déroule en 1744 quelque part en Angleterre. L'histoire tourne autour d'Edgar et Marybelle, enfants illégitimes d'un aristocrate, qui sont abandonnés au coeur des bois. Ils sont secourus par Hannah Poe, une femme mystérieuse issue d'un clan empreint de mystères. Cependant, ce que les enfants ne savent pas, c'est que Hannah et les siens sont en fait des vampanella, des êtres immortels se nourrissant du sang des humains. Et cette révélation bouleversera leur existence à jamais.
Abonnez-vous dès maintenant pour ne rien manquer de nos chroniques et rendez-vous sur Manga News pour toute l'actualité manga et anime : https://www.manga-news.com/
Suivez-nous sur les réseaux sociaux : - Facebook : https://www.facebook.com/manganews - Instagram : https://www.instagram.com/manga_news/ - Twitter : https://twitter.com/manga_news - Pinterest : https://www.pinterest.fr/manganews/ - Tik Tok : https://www.tiktok.com/@manganewscom
Notre partenaire 1001Hobbies, boutique en ligne spécialisée dans la pop culture et la maquette, vous offre 5 % de réduction sur votre première commande avec le code MANGANEWS5 : https://bit.ly/3LKCt3S
+ Lire la suite
autres livres classés : bande dessinéeVoir plus
Les plus populaires : Bande dessinée Voir plus


Lecteurs (44) Voir plus



Quiz Voir plus

Edgar Allan Poe

De quelle nationalité est-il ?

Anglaise
Française
Irlandaise
Américaine

10 questions
223 lecteurs ont répondu
Thème : Edgar Allan PoeCréer un quiz sur ce livre

{* *} .._..