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EAN : 9782290342893
92 pages
J'ai lu (24/08/2004)
3.69/5   154 notes
Résumé :
Ce premier tome de notre Intégrale regroupe les nouvelles qu'Edgar Allan Poe (1809-1849) écrivit avant ses trente ans. Luttant pour survivre et être publié, faisant ses débuts de critique et de journaliste, il commet plusieurs chefs-d'oeuvre : le "Manuscrit trouvé dans une bouteille" , "Bérénice" , "Le diable dans le beffroi" , "L'histoire à nulle autre pareilled'un certain Hans Pfaal" , et bien sûr "William Wilson" ou la très célèbre "Chute de la Maison Usher" . Pr... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (19) Voir plus Ajouter une critique
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La maison Usher est habitée par le dernier de la lignée Usher. Un homme qui vit seul avec sa soeur jumelle Madeleine. Il dit souffrir d'un mal inconnu dont sont affublés les Usher depuis toujours. le narrateur, invité par le propriétaire des lieux est tout suite saisi par l'atmosphère fantastique qui règne dans cette maison aussi vieille que les Usher. En y regardant de près on dirait presque que la maison est vivante, prête à les engloutir.

Notre narrateur séjourne, à la demande de son hôte, quelques jours dans cette demeure et constate une ambiance mystérieuse, comme si la maison lui parlait, s'adressait à ses habitants.
Les paysages nocturnes décrits sont particulièrement angoissants, on se retrouve dans un monde à la Lovecraft ne sachant plus ce qui tient du réel et du fantastique incitant le lecteur a se confronter à ses peurs irrationnelles.

Quand on apprend la disparition de Madeleine, on sait que les choses vont tourner au vinaigre et pourtant Poe nous retient et nous force à le suivre dans une lente et angoissante montée vers la tragédie.

Un livre à lire avec sa lampe torche par une nuit de pleine lune, bien caché sous sa couette. Juste au cas où.
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Aaaaaaaaaaahhhh !!! Depuis le temps que j'attendais une nouvelle traduction des nouvelles d'Edgar Poe, qui nous libérerait de l'insupportable chape baudelairienne !!! Voilà qui est enfin mis en route, grâce aux éditions Gallmeister. Non pas que les traductions de Baudelaire furent complètement fantaisistes, ni de complètes trahisons, mais on sait qu'il a eu tendance à emmener Poe du côté qu'il lui seyait, bref, de donner une tonalité à Poe qui se mariait parfaitement à sa propre vision de l'auteur et à sa propre littérature... baudelairienne, forcément. Et pas seulement par le biais des traductions, mais aussi par le choix des textes présentés au public français. Car Baudelaire, premièrement, n'a pas traduit toutes les nouvelles de Poe, mais, deuxièmement, les a réunies en des recueils que les Français croient souvent relever du choix d'Edgar Poe... ce qui n'est absolument pas le cas. Depuis longtemps, je me disais que le Poe vu côté français n'avait pas grand-chose à voir avec le Poe des Américains, et j'étais prête à me lancer dans l'intégrale en version originale pour en finir avec Baudelaire... sauf que mon américain est encore pire que mon anglais - mon anglais se limitant à Agatha Christie et Harry Potter, sauf en cas de varicelle, où je deviens, ou ait l'illusion de devenir, sous l'effet de la fièvre, une pro de la langue shakespearienne le temps de la maladie. Mais d'une part, je n'attrape pas souvent la varicelle, et d'autre part, voilà qui vous informe assez bien de mon niveau en américain.

Donc merci à Gallmeister, qui publie une intégrale des nouvelles de Poe (il ne me semble pas que les poème soient inclus, mais je peux me tromper) depuis 2018 et jusqu'en 2020, en trois tomes. Ce qui posera certainement question, en revanche, aux habitués de Gallmeister, c'est le pourquoi de la chose. On les connaît pour leurs textes de nature writing, qui constituent la raison même de la fondation de la maison ; pour leurs polars ; plus récemment, pour leurs textes intimistes. Les uns n'excluant pas les autres. Mais le catalogue est très majoritairement constitué de titres d'auteurs contemporains, Fenimore Cooper et Thoreau faisant en gros exception à la règle, pour le motif simple qu'ils sont à la source du nature writing. Que fait donc Poe au milieu de tout ça ? Eh bien Poe joue le même rôle que Fenimore Cooper et Thoreau côté polar. Gallmeister voulait retrouver les sources du polar américain, et Poe était donc tout indiqué pour jouer ce rôle. Cependant, Gallmeister aurait pu se contenter de publier uniquement les textes policiers, et, heureusement pour nous, ce n'a pas été le cas : toutes les nouvelles, "baudelairiennes" ou pas, relevant du polar, ou pas, ont été retraduites à quatre mains par Pierre Bondil et Johanne le Ray. Ce qui fait tout de même de ce premier tome une curiosité dans la catalogue de Gallmeister, car le polar n'y est pas vraiment présent. L'atmosphère noire propre à Poe, qui a tant marquée Lovecraft, imprègne en revanche une partie du recueil. Mais pas que.

Dans ce premier tome, malheureusement pas très bien nommé car portant à confusion avec d'autres titres, ce qui est le plus frappant, c'est l'aspect protéiforme de la littérature d'Edgar Poe. Vingts-sept nouvelles ici, présentées dans un ordre chronologique et qui, selon des catégories établies par les traducteurs et qui se tiennent très bien, relèvent de la satire, de l'horreur, de l'allégorie, de l'aventure, de la fable, de la farce, de la parabole, de la science-fiction... et même du précis de décoration. Évidemment, tous les textes ne se valent pas et, pour un lecteur non contemporain de Poe, et non américain de surcroît, ce qui relève de la satire n'a que peu d'intérêt, parce que très difficile à remettre en contexte. Et quand bien même, je n'ai pas l'impression que ça soit si drôle que ça (mais je reste prudente, tellement l'écriture est liée au contexte). de plus, soyons francs, ça représente une partie non négligeable des nouvelles présentées ici. L'intérêt, en revanche, c'est la découverte d'une facette de Poe ignorée (du moins par mes soins) jusqu'à présent.

Mais c'est loin d'être la seule facette de Poe à laquelle nous avons droit. Bien sûr, on trouvera ici des nouvelles célèbres comme (vous l'avez sans doute deviné), La chute de la maison Usher, mais aussi Manuscrit trouvé dans une bouteille, Bérénice, Ligeia, Morella. Pour ma part, j'ai été happée par des textes que, soit je n'avais jamais lus, soit dont je ne me souvenais absolument pas (il est vrai que ça faisait bien longtemps que je n'avais pas relu Poe) : des textes présentés comme allégoriques, en tout cas énigmatiques à souhait, à l'atmosphère délétère, morbide, poétique. Il s'agit du Roi Peste, de Silence, d'Ombre, qui, il faut tout de même lui reconnaître ça, avaient bel et bien été traduits par Baudelaire.

Nous voici donc avec un nouvel Edgar Poe, qui peut décevoir par moments (oui, les textes satiriques ne sont pas les plus passionnants, ne nous voilons pas la face), mais qui sera montré dans sa totalité. J'ajoute que les traducteurs ne se sont pas fourvoyés dans une actualisation du style des nouvelles qui les rendrait très vite obsolètes, mais ont respecté l'écriture de l'époque. À découvrir, si ce n'est pas déjà fait, et bien entendu, à suivre !
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De Poe on a surtout l'image forgée par Baudelaire, qui l'a ardemment défendu et traduit. Ses traductions, très belles, il faut le reconnaître, ont longtemps été jugées indépassables, rendant difficile une autre approche. La majorité des lecteurs français de Poe l'ont donc découvert dans ses traductions. Ce que les deux traducteurs de cette édition proposée par les éditions Gallmeister, Christian Garcin et Thierry Gillyboeuf questionnent, ce n'est pas tant la qualité de la traduction du grand poète, mais plutôt le choix des textes effectué par Baudelaire. Ils font l'hypothèse, qui semble convaincante, que la sélection faite par Baudelaire correspondait à l'idée qu'il se faisait de Poe, et au-delà, de celle de l'écrivain romantique, maudit, miné par l'alcool et les maladies, se précipitant dans la tombe précocement. Il aurait donc choisi les textes qui correspondait à cette vision, laissant de côté ceux qui ne correspondaient pas à cette image. Et Poe a pourtant écrit de nombreux textes qui sortent de ce cadre : textes satiriques, grotesques, pastiches et parodies.
Les deux traducteurs se proposent dans cette édition d'offrir aux lecteurs l'intégralité des nouvelles, proposées dans l'ordre chronologiques, permettant d'avoir une vision complète de l'oeuvre de Poe. Et les textes comiques ou absurdes sont au final majoritaires dans ce premier volume. Certains sont drôles, pleins de verve, même si pour d'autres où il pastiche par exemple une revue de son temps (Blackwood), l'humour n'est pas toujours complètement compréhensible par le lecteur d'aujourd'hui. Mais dans l'ensemble, ce n'est pas désagréable à lire, et parfois vraiment drôle.
Toutefois, il est vrai que les textes les plus passionnants sont les nouvelles très connues, celles que Baudelaire avait sélectionnées, et qu'on associe spontanément au nom de Poe. Ce sont celles-ci que le lecteur aura envie de relire ultérieurement, sautant peut-être lors d'une relecture les textes satiriques. Néanmoins, cela ne met pas en cause le bien-fondé du choix des traducteurs : avoir accès à l'ensemble des textes de Poe paraît essentiel. D'autant plus que la traduction proposée est de qualité. Les traducteurs ont fait le choix de ne pas essayer de moderniser la langue, ils se sont refusé à utiliser les mots qui n'existaient pas en français à l'époque où les textes ont été écrit, pour permettre au lecteur d'entrer dans l'ambiance spécifique de Poe. Berenice, Morella, le Roi Peste, Ligeia, William Wilson et bien évidemment La chute de la maison Usher, qui donne son titre à ce premier volume de nouvelles impriment leur marque sur le lecteur.
Ces textes sont très célèbres, et de très nombreuses études et analyses en ont été faites, il est donc difficile d'y apporter quelque chose d'original ou de vraiment intéressant. Ce que cette belle traduction met en évidence, c'est l'incertitude, qui est la spécificité du fantastique : le lecteur ne sait pas, n'est jamais sûr, que ce qui est raconté relève du surnaturel ou est un effet de la neurasthénie du narrateur ou du personnage principal, voire d'un état second entraîné par l'usage de l'alcool et/ou des drogues. Poe est magistral dans le maniement de l'incertitude, de l'ambiguïté. Une femme a-t-elle été enterrée vivante ou celui qui le croit sombre-t-il dans la folie ? Une morte s'est-elle réincarnée dans sa fille ou est-ce ce que souhaite croire le père et mari ? Chacun peut croire ce qu'il veut, l'auteur ne nous donne jamais une réponse univoque. Il crée, instille un climat, une ambiance propices à toutes les interprétations, à la libération de l'imaginaire de son lecteur, qui peut ouvrir les portes de son esprit. Des images frappantes, étranges, dont les significations pourront continuer à surgir, restent après la lecture, et travaillent l'esprit du lecteur, très longtemps après qu'il ait renfermé le livre.
Un très beau voyage, même si on connaît ces textes, qui supportent parfaitement plusieurs lectures et qui s'enrichissent même à chaque fois de nouvelles idées et visions.
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La chute de la maison Usher: le narrateur nous décrit une maison mystérieuse. Une maison où habite son ami d'enfance Roderick Usher. Après plusieurs années d'éloignement, il revient vers son ami, seulement celui-ci parait bien mal dans sa peau qu'il a de la peine à retrouver son ami d'antan. Il sombre dans une espèce d'hypocondrie. Il lui explique qu'il ne va plus bien depuis la mort de sa soeur. Mais le mystère qui englobe la maison Usher complètement en ruine suscite une curiosité amère à notre cher narrateur qui se trouve dans l'envie de dépister ce voile mystérieux ....
Le narrateur nous emporte dans un monde imaginaire où lui-même croit rêver. Les descriptions afférentes à la maison sont tellement surprenantes même à son entendement, qu'il joue de sa poésie sur chaque détail parfois cela parait un peu ennuyeux mais on comprend le choc de la surprise trop grande, sur centaine découverte, à laquelle il est devenu tout simplement baba.
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Je suis impressionnée par le style enveloppant, mystérieux, sombre, et mélancolique de l'auteur. Une écriture qui décrit les sensations, avec peu de précisions, aimant rester dans le flou du ressenti. Dans la première nouvelle, Roderick rend visite à son ami Usher, qui a besoin de son aide morale. Il est au bout du rouleau, affecté par la mort prochaine de sa soeur. Il semble que le manoir où il passe son temps agisse aussi énormément sur son humeur. Les nerfs à fleur de peau, Usher souffre « d'une acuité morbide des sens ». Sensible à tout. Plane sur le récit un chagrin immense qui le rend lourd et noir, teinté de gothisme. le récit finit avec une touche fantastique qui fait un peu froid dans le dos. C'est la nouvelle que j'ai préférée des trois.

Dans la seconde nouvelle « Manuscrit trouvé dans une bouteille », on devine que ça se passe sur un bateau. Il s'agit de personnages en proie à un orage en mer. Dans ce bateau rongé par les vers, tout est amplifié. Les sensations décrites sont puissantes, effrayantes. C'est fiévreux, immense, on ne sait pas où l'on va, tout n'est que vagues, et le récit peut tout juste nous ramener à nous-même pour nous repérer, et nos tourments augmentent avec la tempête, entre réalité et cauchemar.

Je vous avoue que la dernière nouvelle m'a moins parlé. Cependant, elle rejoignait un peu la première.

Donc, c'est un recueil pour découvrir les nouvelles de Poe, agréable à lire, d'un style superbe.
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Citations et extraits (14) Voir plus Ajouter une citation
La ligne qui sépare l'instinct de la création chez la bête, de la raison dont l'homme se glorifie, est sans aucun doute d'un caractère extrêmement vaporeux et insatisfaisant : une ligne de démarcation beaucoup plus difficile à définir que celle du Nord-Est ou de l'Oregon. La question de savoir si les animaux inférieurs raisonnent ou non ne sera probablement jamais tranchée... assurément pas dans l'état actuel de nos connaissances. Alors que le narcissisme et l'arrogance de l'homme persisteront à nier le pouvoir de réflexion des animaux parce que le leur accorder semble porter atteinte à sa propre suprématie tant vantée, il se retrouve perpétuellement prisonnier du paradoxe consistant à décrire l'instinct comme une faculté inférieure alors même qu'il est contraint d'en avouer la supériorité infinie, dans mille cas, sur cette même raison dont il revendique la propriété exclusive. L'instinct, bien loin de n'être qu'une raison négligeable, représente peut-être entre toutes choses l'intellect dans ce qu'il a de plus authentique. Au vrai philosophe, il apparaîtra comme l'esprit divin lui-même agissant immédiatement sur ses créatures.

Instinct contre raison : un chat noir
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La première fois que j'ai arpenté le pont de cet abominable navire remonte à bien longtemps et les rayons de ma destinée se concentrent, je crois, sur un point de mire. Hommes incompréhensibles ! Enfermés dans des méditations dont je ne peux deviner l'essence, ils passent près de moi sans me remarquer. Me cacher est pure folie, car ils ne VEULENT pas me voir. Il y a un moment à peine, je suis passé juste sous les yeux du second ; il y a peu, je me suis aventuré jusque dans la cabine du capitaine, et j'y ai pris ce sur quoi et avec quoi j'écris, j'ai écrit jusque-là. De temps à autre, je continuerai ce journal. Il est exact que je n'aurai peut-être pas l'occasion de le transmettre au vaste monde, mais je ne manquerai pas d'en effectuer la tentative. Au dernier instant, je glisserai le manuscrit dans une bouteille que je jetterai à la mer.

Manuscrit trouvé dans une bouteille
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Depuis des siècles les familles Berlifitzing et Metzengerstein étaient en désaccord. Jamais encore de si illustres maisons n'avaient entretenu des rapports d'une hostilité aussi implacable. L'origine de cette inimitié paraît résider dans les termes d'une ancienne prophétie : "Un noble nom connaîtra une effroyable fin lorsque, semblable au cavalier chutant de sa monture, la mortalité des Metzengerstein triomphera de l'immortalité des Berlifitzing."
Assurément, les mots eux-mêmes n'avaient que peu de signification, voire aucune.

Metzengerstein
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Je me jetai dans un fauteuil où je restai un bon moment absorbé dans mes méditations. Mes réflexions, soyez-en assurés, n'avaient rien de consolateur. Mille délires vagues facilitant la sécrétion de larmes prenaient possession de mon âme... l'idée même du suicide me traversa l'esprit. Mais c'est là un trait de la perversion du caractère humain que de rejeter l’évident et le pratique pour l'équivoque et le distant. Aussi tremblais-je devant la perspective d'attenter à ma vie comme s'il s'agissait de l'atrocité suprême, tandis que le chat tigré ronronnait énergiquement sur le tapis et que le chien d'eau ronflait assidûment sous la table, chacun d'eux s'accordant le grand mérite de posséder de robustes poumons, dans le but évident de tourner en dérision l'incapacité pulmonaire qui était mienne.

À court de souffle
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Car il y avait un hôte supplémentaire dans notre salle, à savoir le jeune Zoilus. Mort, de toute sa taille il gisait, enveloppé dans un linceul ; le génie et le démiurge de la scène. Hélas, il ne prenait aucune part à nos rires, si ce n'est que ses traits déformés par la peste, et que ses yeux dans lesquels la Mort n'avait qu'à demi éteint les flammes de l'épidémie, semblaient porter à nos réjouissances un intérêt semblable à celui que, d'aventure, les morts peuvent témoigner aux réjouissances de ceux qui vont mourir.

Ombre : une parabole
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Vidéo de Edgar Allan Poe
Dans ce deuxième épisode enregistré juste avant le Festival d'Angoulême, Aurélien et Emile font un point sur le superbe travail de l'artiste Peach Momoko avant de vous parler de leurs nouveautés préférées du mois de février.
Titres abordés :
• Demon Days (https://www.panini.fr/shp_fra_fr/demon-days-fmh23044-fr02.html) (Marvel Manga) de Peach Momoko • Demon Wars - Edition régulière (https://www.panini.fr/shp_fra_fr/demon-wars-fmh24002-fr02.html) et édition collector (https://www.panini.fr/shp_fra_fr/demon-wars-fmh24002vc-fr02.html) (Marvel Hors Collection) de Peach Momoko • (https://www.panini.fr/shp_fra_fr/daredevil-echo-qu-te-de-vision-fmh23007-fr02.html) Silver Surfer : L'obscure clarté des étoiles - Edition Noir & Blanc (https://www.panini.fr/shp_fra_fr/silver-surfer-edition-noir-blanc-fmh24004-fr02.html) (Marvel Prestige) de Ron Marz et Claudio Castellini • Cyberpunk 2077 : Les rêves de Night City (https://www.panini.fr/shp_fra_fr/cyberpunk-2077-les-r-ves-de-night-city-fcybe006-fr02.html) de Bartosz Sztybor, Filipe Andrade & Alessio Fioriniello • Daredevil T01 : Connaître la peur (https://www.panini.fr/shp_fra_fr/daredevil-t01-fmd24013-fr02.html) (Marvel Deluxe) de Chip Zdarsky, Marco Checchetto, collectif
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Tous nos remerciements à Emmanuel Peudon pour le montage et à ClemB pour le générique.

Plus d'infos sur notre site internet : https://www.panini.fr/
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