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Citations sur Se désencombrer de l'inutile (16)

De quoi importe-t-il de se désencombrer [spirituellement] ?

De tout ce qui est inutile, de tout ce qui n'est pas la compassion, de tout ce qui enferme, contraint, divise et supprime. Désencombrer sa dimension spirituelle, qu'elle soit ou non rattachée à une religion, c'est vouloir garder intacte sa liberté de pensée.
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Faire preuve d'ouverture d'esprit,
c'est accepter d'être remis en question et de se remettre en question,
c'est accepter encore de ne jamais porter de jugement définitif sur une personne ou une situation.
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Brisez vos limites, faites sauter les barrières de vos messages contraignants,
déposez les fardeaux inutiles et tous ceux qui ne vous appartiennent pas,
osez la liberté, soyez ce que vous voulez être, vous seul pouvez faire cela !

La vie est un risque, elle est une chance, elle vaut la peine d'être vécue.
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Nous sommes tous tellement programmés par tous les messages, toutes les idées, les illusions, les croyances qu'on nous a enseignés !
Nous n'osons pas imaginer que la situation peut être différente, que nombre de nos besoins sont des illusions, que nous pouvons vivre sans nos attachements.
Maître Eckhart, un grand spirituel, a écrit :
"La vie spirituelle n'est pas un processus d'addition, mais plutôt de soustraction."
Nous ne sommes pas satisfaits lorsque nous avons plus de choses, mais quand nous allégeons notre marche.
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Se désencombrer, cela signifie prendre ou reprendre le contrôle de sa vie, se demander ce qui est important, essentiel, et reconnaître ce qui est inutile.

En ce qui concerne les biens matériels, cela sous-entend de passer en revue au moins tous les deux ans sa garde-robe, ses bibelots, ses livres ou ses meubles et de donner tout ce qui n'a pas été utilisé à des institutions caritatives pour que d'autres puissent en profiter d'une part et pour retrouver un espace de vie d'autre part.

Il faut avoir eu à "débarrasser" l'appartement ou la maison de personnes décédées pour réaliser à quel point "garder des objets inutiles" n'a pas vraiment de sens.
Ces collections de timbres, sans grande valeur marchande, que le grand-père chérissait,
ces petites cuillères rapportées des quatre coins du monde, ces nappes magnifiques et si difficiles à laver et à repasser, que la grand-mère entassait,
après eux, qui appréciera tout cela ?
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Au siècle dernier, un touriste américain rendit visite au célèbre rabbin Hofetz Chaim. Il fut surpris de voir que ce dernier n'avait pour tout logement qu'une simple pièce remplie de livres. Et pour seul mobilier, une table et un banc.
- Où sont vos meubles ? demanda le touriste.
- Où sont les vôtres ? rétorqua Hofetz.
- Les miens ? Mais je ne suis qu'un visiteur ici, je ne fais que passer, répondit l'Américain.
- Moi aussi, répliqua le rabbin.
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Il y a quelques années, nous avons écrit un petit ouvrage sur le lâcher-prise.
Cette dimension de la vie nous apparaissait comme essentielle pour bénéficier d'une vie de qualité. Lâcher prise, laisser partir, pardonner, se décharger de tout ce que les autres ? ou les événements ? avaient déposé sur notre dos, lâcher prise pour alléger notre marche !

A plusieurs reprises, nous avions fait des conférences sur le thème : "Déposer les valises qui ne nous appartiennent pas", celles que nous ont confiées sans nous demander notre avis nos ancêtres, nos parents ou nos proches. Toutes ces valises sont remplies de tristesse, de rancunes, de ressentiments divers, de secrets, de non-dits, de croyances désuètes et inhibitrices.

Au cours de ces dernières années, suite à des études plus poussées des textes et conférences d'Anthony de Mello [prêtre jésuite né en Inde en 1931, théologien, philosophe, psychologue, animateur de retraites],
nous confirmons l'importance de ce lâcher-prise, de ce désencombrement
qui doit avoir lieu sur tous les plans
[détaillés dans le livre : plans matériel, mental et cognitif, émotionnel, spirituel].
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Se désencombrer mentalement, c'est encore revisiter ses notions de réussite et d'échec.
En réalité, il n'y a pas d'échec, il n'y a que des expériences d'apprentissage. Une personne qui semble incapable de faire aussi bien que les autres apporte aussi - autant - sa contribution à l'univers.
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Le temps, c'est la vie,
et il est intéressant de mettre en parallèle la valeur d'un achat et le temps de vie consacré à son travail pour pouvoir se l'accorder !
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Se désencombrer émotionnellement, c’est encore lâcher prise de l’illusion qui nous amène à penser qu’il est nécessaire d’être respectable, aimé, apprécié et important. Notre besoin viscéral n’est pas d’être aimé et apprécié, mais d’être libre et d’aimer.
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