La matière arthurienne, après 1270, et les grands cycles en vers et en prose, connaît un relatif épuisement dans la littérature française. Elle continue cependant à irriguer la production littéraire et à exercer une influence notable sur les imaginaires et les pratiques sociales. Si les productions strictement arthuriennes (représentées par quelques romans, le roman constituant depuis le XIIe siècle le genre arthurien par excellence) sont peu nombreuses, cette relat... >Voir plus
POÉSIE MÉDIÉVALE – Perceforest, roman méconnu (BNF, 2009)
Une conférence de Christine Ferlampin-Acher donnée le 7 décembre 2009 à la Bibliothèque nationale de France, en prolongement de l’exposition « La légende du roi Arthur ».