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Critique de ofildeflo


Il y a le corps malmené, douloureux.
Il y a l'attente, la crainte, l'obligation d'y retourner parce que pas le choix.
Il y a le bruit, la dureté, les mesquineries. Les petites lâchetés.
Il y a les crevettes, les bulots, les carcasses.
Il y a les larmes d'épuisement, la fatigue, le dégoût, les odeurs.
Il y a un homme, qui aime une femme.
Il y a Pok Pok, les sourires partagés et les coups de main.
Il y a un chèque de 50 euros pour s'offrir un samedi.
Il y a Brel, Barbara et Trenet. Apollinaire, Perec, et puis Marx.
Il y a un putain de livre, une entrée en littérature.
Il y a un bel écrivain "Rêvant d'Ithaque Nonobstant la merde"
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