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3,25

sur 124 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Une fois de plus, je me suis laissée séduire par le titre, ce qui n'est pas la façon la plus intelligente de choisir une lecture, je vous l'accorde !
« La douleur porte un costume de plumes » me semblait un livre plein de promesses, sauf qu'au bout de trois pages, j'ai commencé à déchanter :
Un style d'écriture auquel je n'ai pas du tout accroché, une histoire qui m'a parue bien touffue.
Avec certes, une bonne accroche, une maman disparue brusquement laissant un papa désespéré et deux petits garçons. Jusqu'à ce qu'un soir une étrange créature frappe à la porte, un corbeau bien noir et bien gros comme le malheur qui qualifie bien souvent cet oiseau.
Et la vie peu à peu se transforme, l'oiseau prenant de plus en plus de place dans la famille.
L'auteur donne la parole tour à tour au papa, aux enfants et surtout à l'oiseau qui essaie de dédramatiser la situation et y parviens parfois par des réflexions cocasses et inattendues dans les circonstances.
Je n'ai pas aimé ce livre mais je crois surtout que je ne l'ai pas compris. Que représente l'oiseau ? Que veut nous montrer l'auteur ? Autant de questions sans réponses pour moi.
Si j'avais apprécié l'écriture, je crois que j'aurais recommencé ma lecture, mais là, j'attends de lire d'autres critiques pour essayer d'en savoir plus.
J'espère ne pas vous avoir dissuadé de lire ce livre car il a certainement des qualités, surtout pour son originalité, mais il n'a pas su me toucher.

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J'ai choisi ce livre totalement au hasard à la bibliothèque, attirée par le titre et le peu de pages à lire, souvent entre deux textes un peu conséquent, pour m'accorder une récréation, reprendre une respiration, j'aime lire un texte court. Et puis, en parcourant l'ouvrage, j'ai établi un parallèle avec le roman autobiographique de Mathias Malzieu "Maintenant qu'il fait toujours nuit sur toi", le sujet principal est le même : le deuil. Dans le cas de Mathias Malzieu, un géant (Jack) aide l'auteur à faire le deuil de sa mère, et dans le cas de Max Porter, c'est un corbeau qui intervient. La comparaison entre les deux livres s'arrête-là car si j'ai beaucoup aimé le roman de Mathias Malzieu, j'ai eu plus de mal à comprendre l'écriture de Max Porter, qui me semble assez hermétique. Je n'ai malheureusement été séduite par ce livre. Déception donc.
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« Je ne partirai pas tant que tu auras besoin de moi » a dit le corbeau au père de famille plombé par le chagrin.

Chaque objet, chaque centimètre de sa peau ou de ses cheveux est recouvert alors par une fine pellicule de douleur ; deux jeunes garçons perdus de chagrin viennent compléter ce triste tableau.

C'est la première fois qu'une critique du magazine Lire ne correspond pas à mon ressenti, mais alors pas du tout.

Dans des chapitres parfois très courts, PAPA, LE CORBEAU et LES GARCONS s'expriment sur ce pan de leur vie qui a suivi la mort de la mère. Puisse la blessure de la perte, à défaut de cicatriser, se refermer assez pour que l'envie de vivre réapparaisse.

Le sujet de la reconstruction après la mort d'un être aimé aurait dû être, à mes yeux, passionnant.
Les 120 pages portant sur le travail de deuil du père, par le biais de la présence très gothique du corbeau, messager surnaturel qu'on n'attendait pas, n'étaient pas à la hauteur de mes attentes. Les enfants s'amusent du corbeau, il sera confident, coach, ange gardien. Pour ma part, il ne sera rien du tout.

Hélas, le texte d'une inventivité littéraire trop osée pour moi (texte "fouilli", contenu parfois à la limite de l'intelligibilité..) m'a sans doute perdue très vite.

Je n'ai pas su vraiment si l'oiseau est un double des ruminations du père et des enfants, ou un objet littéraire non identifié du père qui est aussi auteur en recherche.

Les trois narrations, parce qu'elles se chevauchent, s'accordent, se contredisent souvent, avec leur style propre, font de cette musique une cacophonie qui m'a déstabilisée, agacée, désorientée.

Je ne suis pas très moderne en ce qui concerne la littérature. En tout cas, beaucoup moins que les journalistes du magazine Lire.


Lien : http://justelire.fr/la-doule..
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A la mort de la mère de famille, un mari et deux enfants doivent réapprendre à vivre sans elle et à faire leur deuil. C'est alors qu'apparaît un grand corbeau qui s'installe sous leur toit. Il est doué de parole, et ce livre devient le journal intime à plusieurs voix de tous les protagonistes. C'est comme un fable pleine de poésie, et en même temps on se demande qui est ce corbeau, pourquoi il a des paroles si confuses et qui il est supposé incarner. Bref, impression mitigée à la fin de cette lecture. Pas désagréable, mais très irrationnel.
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Je suis restée complètement hermétique à ce texte. Pour moi, la douleur ne porte pas un costume de plumes (elle en porte un autre).

Le procédé ne m'a pas parlé ; le corbeau non plus.

J'ai en revanche découvert la poésie de Ted Hugues. Tout n'est pas perdu.
Lien : http://alexmotamots.fr/?p=2246
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