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Les Trois Brestoises tome 3 sur 12
EAN : 9782372603133
345 pages
Palémon éditions (20/06/2019)
3.73/5   41 notes
Résumé :
[PEUT ETRE LU INDÉPENDAMMENT DES TOMES PRÉCÉDENTS]

La commandant Léanne Vallauri a beau engranger les succès à la tête de la Police judiciaire de Brest, elle se retrouve engluée dans une méchante affaire.
L'informateur qu'elle protégeait a été la cible de deux tueurs et elle encourt des sanctions disciplinaires et pénales. Alors que le moral est en berne, elle accueille avec soulagement l'occasion d'oublier ses ennuis en travaillant sur un nouv... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (16) Voir plus Ajouter une critique
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Avec cette série Les trois Brestoises, l'auteur (ex flic qui a roulé sa bosse du sud au nord et bien plus, encore ), met en scène la ville de Brest dans tous ses états : ici, la vie souterraine (le sous sol de la ville étant un gruyère composés de galeries dont les issues sont fermées, mais qui ont bien servi pendant la seconde guerre mondiale...)

Des tableaux du peintre brestois, Paul Bloas, qui disparaissent, une "party " pas très catholique, quelques cadavres, et une commandante qui est dans le collimateur de sa hiérarchie. Pierre Poucharet nous entraine dans un rythme endiablé en plein coeur d'une enquête complexe.

Côté suspens, on est bien...
Côté documentation, on apprend pleins de choses sur la ville, c'est passionnant.
Côté métier de flic, on est bon aussi, l'auteur nous immerge dans un commissariat plus vrai que nature, son expérience parle pour lui. On sent les déceptions, les avancées, l'adrénaline.
C'est sur les personnages, que je coince... Sur la probabilité que trois amies d'enfance soient devenues ,respectivement, commandant de police, médecin légiste, et psychologue dans la police, le tout dans la même ville.
Leurs rapports d'amitié à quarante ans, n'a pas été perturbé par la vie de couple ou des enfants, elles sont toujours disponibles les unes pour les autres.
Le fait que chacune ait une couleur de cheveux différentes (brune/blonde/rousse) et que la sexualité de Léanne soit mise en avant, gratuitement et rapidement, font que cette série manque un peu de "féminisme attitude" qui "passe moyen " de nos jours, ( en tous les cas avec moi...).

Mais ... Paul Bloas et ses silhouettes de géants ocres et bleues, aux mains démesurées, étirées sur des facades d'immeubles.
Mais c'est beau , une ville la nuit..
Mais Miossec qui ouvre le bal...
Un roman policier efficace et speedé, qui se passe "à Brest même" !
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Si je vous dis un roman mené tambour battant qui m'a tenu en haleine de la première à la dernière page,  vous allez dire, ça y est, il a placé la phrase bateau, fourre tout, lue 100 000 fois et pas toujours convaincante.
Alors je vais essayer de vous le vendre autrement ce polar, parce que L'assassin qui aimait Paul Bloas m'a tenu éveillé jusqu'à 1h du mat, alors ça veut bien dire quelque chose quand même.
Faut dire que je voulais pas lâcher l'enquête menée par le (la) commandant Léanne Vallauri.
Elle a un peu déconné ces derniers temps et une série de meurtres tombe à point, si j'ose dire, pour la sortir du guêpier dans lequel elle semble s'être fourrée.
Elle a de la chance, il y a plein de suspects. Ça va l'occuper et nous aussi.
En plus, voici qu'on vole des oeuvres de Paul Bloas, non mais ! Ça s'fait pas.
Alors là, je vous glisse un petit intermède pour vous préciser, au cas où,  comme moi, vous seriez ignorant (mes pas ont parfois franchi les frontières de ma Bourgogne natale mais ne m'ont à ce jour, hélas, jamais conduit jusqu'en Bretagne), Paul Bloas est un peintre né en cette glorieuse année 1961 (année qui me vit naître également mais avec beaucoup moins de talent) en cette bonne ville de Brest qui nous accueille ici.
Brest et sa région que nous allons visiter,  mais en sous-sol.
C'est en effet dans des galeries souterraines, que se passe une grande partie de l'action de ce polar.
Ici se croisent, un prof qui vit en ermite, des néonazis de la pire espèce (il faut dire que ces lieux abritèrent, en leur temps, quelques compagnies allemandes qui, hélas, les inspirent) et si vous aimez les soirées...coquines, c'est là qu'il faut vous rendre, je vous promet du sexe pour tous les goûts. Bon, je ne vais pas faire le rabatteur non plus, je ne suis pas là pour ça, enfin, vous risquez encore de croiser d'autres personnages bien peu recommandables.
Bref, je résume, dans ce roman, il y a des flics, des assassins, des voleurs, de la violence, du sexe, des baisers, des bistrots où la bière coule à flots , quelques rifs de guitares et même un concours de lancer de godasses... tout pour passer un bon moment, quoi.
Qui de mieux pour écrire un bon polar qu'un mec qui a trempé dans le milieu (des flics, pas du grand banditisme, hein... encore que les deux soient liés) ?
Qui de mieux pour décrire l'ambiance d'une brigade, les liens, les doutes, les interrogations, les convictions, les peurs, le courage, les montées d'adrénaline, nous montrer que ces policiers sont finalement comme vous et moi (enfin presque) ?
Pierre Pouchairet (peut-être pour se masquer) a choisi d'enfiler une robe et des talons hauts, (Ça c'est pour l'image, parce que la robe et les talons hauts dans les galeries souterraines, faut pas y penser)  son flic est une femme, une belle femme, un bon flic aussi, n'en déplaise à ceux qui lui cherchent des poux.
J'ai pas son 06 à Léanne, mais je pense que je vais me débrouiller pour prendre rendez-vous avec elle, parce que si le polar c'est ça, j'en redemande....
Ah, et au fait, merci Monsieur Pouchairet de m'avoir mis cette belle chanson de Miossec dans la tête.....

Merci à cette nouvelle Masse critique et aux Editions Palémon pour cette enquête sous les terres de Bretagnes...


 
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Je me suis laissée séduire par le titre que je trouve très beau ! L'intrigue est plutôt intéressante – des meurtres en série, difficiles à relier entre eux, une bande de jeunes qui se croient dans Orange mécanique, des serbes sans scrupules, tout est réuni pour que l'action soit présente toutes les 2 pages. Nous sommes ballottés d'une piste à l'autre, à l'instar des labyrinthes et souterrains qui parcourent Brest, autre attrait de ce livre qui me rend si typique.
Cette lecture fut aussi pour moi l'occasion de découvrir le peintre Paul Bloas et de visionner sur YouTube ses performances qui m'ont bluffée. Merci donc à l'auteur d'avoir inséré dans son polar des références aussi intéressantes.
Toutefois, je dois avouer que je n'ai pas vraiment apprécié ce polar que j'ai trouvé maladroit dans le style et caricatural dans ses personnages. Leanne, la commandant de PJ, héroïne du roman, est assez détestable, impulsive et coléreuse qu'elle est. Son amitié avec Élodie et Vanessa, respectivement légiste et psychologue, semble s'être figée à l'époque de l'adolescence et ses relations amoureuses sont tout aussi superficielles. Les dialogues sont par ailleurs d'une grande platitude - c'est dommage car c'est souvent ce qui donne vie à l'action et pimente les polars. Voici pour les éléments négatifs.

Je suis un peu gênée d'une critique aussi peu enthousiaste car j'ai reçu ce livre dans le cadre d'une Masse critique. J'en profite pour remercier Babelio et Palémon Éditions pour cet envoi.

Challenge ABC - 2019/2020
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L'assassin qui aimait Paul Bloas
Pierre Pouchairet
345 pages
Sorti le 14/06/2019

Je n'arrête pas de vous parler de Palemon Éditions. Je vous confirme que c'est une ME du tonnerre (de Brest). J'ai reçu le dernier roman de Pierre Pouchairet et en plus dédicacé. Je suis aux anges !

Brest.

Léanne à de très gros problèmes , suite à un rdv avec un informateur qu'elle protège, ils ont êtes la cible d'une tentative de meurtre. Léanne risque de graves problèmes disciplinaires....
Heureusement pour elle, on lui donne une nouvelle enquête. Un cadavre crible de coups de poignard à été trouvé, près d'une ancienne base allemande.
Léanne et son équipe commencent leur enquête, puis d'autres corps vont être découverts. Tous sont tués de la même manière.....
Un serial killer sévit-il a Brest ?
Cette enquête va plonger Léanne dans les tréfonds inconnus de Brest.

Va-t-elle découvrir la vérité ?
Pourquoi tant de meurtres ?
Jusqu'où cette chasse au tueur va-t-elle les emmener ?
Vont-ils s'en sortir indemnes ?

Je vais essayer de vous faire ressentir tout ce que m'a apporté cette fabuleuse lecture.... En 1er lieu, je l'ai lu en 2 petites soirées, qui sont passées à une vitesse vertigineuse. On peut dire que j'ai dévoré ce roman. Dès les 1res pages, j'ai été emporter par l'écriture fluide et incisive de Pierre qui m'a emmener dans les souterrains et grottes de Brest. Imaginez un peu, quand vous êtes claustrophobe, être dans des tunnels où vous êtes obligés de ramper pour avancer, et la plupart du temps dans la pénombre.... Et bien, ça vous donne des frissons, tellement que vous avez le sang qui se glace, vous suffoquez, vous avez qu'une envie, c'est de sortir... Une enquête menée tambour battant, pas une seconde de répit.... Impossible de reprendre son souffle. Pierre a ce don inné de faire naître un suspens intense et surtout qui dure tout au long de la lecture !Un excellent roman où tous les ingrédients sont réunis, et même plus.... Osez visiter Brest autrement, vous, ne ne ressortirai pas indemne de cette intrigue haletante.

Et j'aimerais que Pierre Pouchairet, me dise qu'il serait ravi de participer à la 3 ème édition du salon du livre "Sang pour sang thriller" en 2020.

A découvrir et à lire impérativement.

4ème de couverture

La commandant Léanne Vallauri a beau engranger les succès à la tête de la Police judiciaire de Brest, elle se retrouve engluée dans une méchante affaire. L'informateur qu'elle protégeait a été la cible de deux tueurs et elle encourt des sanctions disciplinaires et pénales. Alors que le moral est en berne, elle accueille avec soulagement l'occasion d'oublier ses ennuis en travaillant sur un nouveau dossier. La découverte d'un cadavre lardé de coups de couteau et abandonné à proximité de l'ancienne base des sous-marins allemands va l'entraîner dans une nouvelle aventure à hauts risques et lui faire découvrir des lieux dont elle n'imaginait pas l'existence. Les tunnels et les souterrains de Brest, vestiges de la guerre, recèlent bien des mystères et des dangers. Ils vont cette fois être le théâtre d'une impitoyable chasse à l'homme dont Léanne et son équipe ne ressortiront pas indemnes... Pierre Pouchairet nous montre ici toute l'étendue de son talent : intrigue captivante, suspense à couper le souffle, ambiance glaçante... Vous ne verrez plus jamais Brest de la même façon !

Le lien pour vous procurer ce roman

L'assassin qui aimait Paul Bloas https://www.amazon.fr/dp/2372605542/ref=cm_sw_r_cp_apa_i_H.qtDbJFVJ6ZR
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La première fois que j'ai lu un livre de Pierre Pouchairet, c'était « La prophétie de Langley » et j'avais beaucoup aimé alors qu'à la base je ne le sentais pas à cause du sujet qui me semblait trop technique.

Le livre dont je vais vous parler est le troisième tome d'une série qui s'appelle « Les trois brestoises ». J'ai eu un peu peur en le commençant car je pensais que c'était une suite. Ce n'est en fait pas vraiment le cas. Les enquêtes sont uniques mais en toile de fond il y a une « histoire » si on veut. Pour citer l'auteur (à qui j'ai envoyé un message dès le début de ma lecture » : « Chacun de mes romans se termine par une sorte de clifhanger…qui prépare une suite. Mais ils peuvent tous se lire séparément. »

A partir de là j'ai continué ma lecture de façon plus sereine.

Cependant, j'ai eu un peu de mal à accrocher au début. Ma lecture fut un peu fastidieuse. Déjà ça commençais mal avec le fait qu'il y est des références aux précédents tomes même si ce n'est pas une suite. Mais surtout c'est le personnage principal, Léanne Vallauri, avec qui j'ai eu du mal. On la découvre certes pas dans de bonnes conditions mais ce n'est pas essentiellement ça qui m'a fait tiquer. Ce personnage ne semble pas facile niveau caractère. Je l'ai trouvée assez antipathique dès le début. C'est un électron libre qui n'en fait qu'à sa tête sans penser aux autres. Au fur et à mesure du livre, j'ai réussi à passer outre pour me concentrer sur l'histoire.

Mais de manière générale j'ai peu accroché avec les personnages. Pour certains j'ai trouvé leurs mensonges ou la manière de présenter la vérité pas très crédible. A force de lire des polars et des thrillers, j'ai l'impression de voir assez facilement les ficelles.

On se rassure, ce n'est pas ce que je vais retenir de ce livre. Ce qui a réussi à me faire continuer ma lecture, c'est l'intrigue ! On part au tout début du livre dans une direction mais ça ne dure pas car on va directement dans une autre. Il y a en fait plusieurs histoires qui, bien sûr, vont se recouper à un moment donner. L'enquête de Léanne et de son équipe est ce qui prend le plus de place. Les descriptions sur la manière de la mener sont très précises mais c'est normal quand on sait que l'auteur est un ancien commandant de Police (j'espère que je ne me trompe pas sur le grade). Ce détail donne beaucoup de réalisme au livre et nous donne envie d'aller au bout de cette lecture. Tous les risques sont pris pour résoudre cette enquête alors que Léanne doit faire attention à ce qu'elle fait.

L'auteur nous garde un peu dans le flou sur les raisons de ces meurtres. Même si on sait un peu pourquoi à un moment, il y a encore d'autres raisons. Et puis du côté des responsables on est aussi tenu dans le flou. le lecteur pense savoir qui est le vrai responsable alors que c'est beaucoup plus compliqué que ça.

Le suspense est maintenu jusqu'à la fin du livre et ça c'est assez rare pour le souligner.

Du côté du style de l'auteur, je dirais que c'est fluide et assez classique sans être simpliste. Il y a quand même de la recherche. Au début j'ai peut-être eu un peu de mal mais je ne me l'explique pas vraiment.

Côté description, en dehors ce qui concerne la procédure, la description des paysages et des souterrains de Brest est fascinante. C'est une véritable invitation à aller voir ça en vrai (tout en faisant ça de manière sécurisée). J'avais l'impression d'y être et de ressentir l'étroitesse des chemins et le côté sombre des anciennes installations militaires. C'est aussi là que l'on peut constater que l'auteur a fait soit un vrai travail de recherche et/ou alors il connait très bien les lieux.

Au final je me suis laissé prendre par cette lecture à laquelle je suis devenue accro plus on approche de la fin. Les scènes d'actions sont captivantes et le lecteur peut se laisser surprendre ! Ce qui est certain c'est que je vais lire les deux précédents tomes avec intérêt.


Lien : https://leslecturesdamandine..
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Citations et extraits (12) Voir plus Ajouter une citation
Brest
( Miossec )


Est-ce que désormais tu me détestes
D'avoir pu un jour quitter Brest ?
La rade, le port, ce qu'il en reste
Le vent dans la rue Jean Jaurès
Je sais bien qu'on y était presque
On avait fini notre jeunesse
On aurait pu en dévorer les restes
Même au beau milieu d'une averse
Tonnerre, tonnerre, tonnerre de Brest
Mais nom de Dieu, que la pluie cesse
Tonnerre, tonnerre, tonnerre de Brest
Même la terre part à la renverse
La Recouvrance que l'on délaisse
La rue de Siam, ses nuits d'ivresse
Ce n'est pas par manque de politesse
Juste l'usure des nuages et de tes caresses
Ceci n'est pas un manifeste
Pas même un sermon, encore moins une messe
Mais il fallait bien qu'un jour je disparaisse
Doit-on toujours protéger l'espèce ?
Tonnerre, tonnerre, tonnerre de Brest
Mais nom...
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Tous ces chefs de service, c'est bien à des flics comme elle qu'ils doivent leur avancement ou leur place sur cette estrade. Si les policiers de terrain ne mouillaient pas le maillot, leurs sacrosaintes statistiques raseraient l'horizon.
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Le ciel a été hésitant. Il n'est tombé que quelques gouttes, histoire de rappeler qu'on est en Bretagne, (...).
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Un banc, un pack de Bavaria 8.6 et la journée peut commencer.
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Les idées de Léanne s'envolent vers l'époque Mercurochrome et son lot de genoux écorchés et de pantalons déchirés. Elle pense aussi aux quelques paires de claques que cela lui a values. Une époque où on la qualifiait de garçon manqué. Claques, garçon manqué, des termes d'un autre siècle.
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Vidéo de Pierre Pouchairet
Dans cet épisode, c'est Annaïk, libraire au rayon polar de Dialogues, qui nous partage ses coups de coeur de la rentrée.
Bibliographie : - le Tableau du peintre juif, de Benoît Séverac (éd. Manufacture de livres) https://www.librairiedialogues.fr/livre/20654028-le-tableau-du-peintre-juif-benoit-severac-manufacture-de-livres
- L'Or vert du Sangha, de Pierre Pouchairet (éd. Filatures) https://www.librairiedialogues.fr/livre/20911097-l-or-vert-du-sangha-pierre-pouchairet-filatures
- cupidité, de Deon Meyer (éd. Gallimard) https://www.librairiedialogues.fr/livre/21310372-cupidite-deon-meyer-gallimard
- Les Sentiers obscurs de Karachi, d'Olivier Truc (éd. Métailié) https://www.librairiedialogues.fr/livre/21362642-les-sentiers-obscurs-de-karachi-truc-anne-marie-metailie
- Obscuritas , de David Lagercrantz (éd. HarperCollins) https://www.librairiedialogues.fr/livre/21401049-obscuritas-le-nouveau-polar-nordique-de-david--david-lagercrantz-harpercollins
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