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EAN : 9782363390851
192 pages
Finitude (07/09/2017)
3.02/5   97 notes
Résumé :
Il est tombé des oiseaux en Haute-Normandie.
Il a plu des oiseaux et manifestement tout le monde s’en fiche. À peine quelques entrefilets dans la presse locale. Seul un jeune Parisien, histoire d’échapper à sa thèse, se passionne pour le phénomène. D’autant que c’est arrivé dans le village où il a grandi.
Il fouille, il cherche, il enquête. Les pistes se multiplient, toutes plus inattendues et extravagantes les unes que les autres. Il descend la Seine ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (37) Voir plus Ajouter une critique
3,02

sur 97 notes
Il a plu des oiseaux morts à Bonsecours, près de Rouen, en Normandie… Notons qu'il y a quelque temps, les 4 brebis du monument aux morts du même endroit ont été décapitées…
Rien à voir, me direz-vous … Certes … alors que dans ce petit opus, on est bien obligé de constater que rien n'a à voir avec rien …
Dans ce premier opus de Victor Pouchet, il est plutôt question d'oiseaux, et de la préoccupation de l'auteur qui constitue le titre du livre : « Pourquoi les oiseux meurent ». Une question qui n'en est pas une… Une quatrième de couverture accrocheuse… 16,50 € … A peine plus de 180 pages … Je me lance !

Ça commence bien : le rythme est un peu lent, mais propice à créer l'ambiance, le personnage principal, l'auteur lui-même est attachant. Malheureusement, ça se gâte vite et l'ennui arrive. Une voie toute tracée, puisque l'auteur descend la Seine sur le « Seine princess » afin de rejoindre sa ville natale de Bonsecours ; et c'est lent, un tel voyage fluvial… et favorable aux digressions en tous genres, sur le père, l'amour, la campagne, Mao, un perroquet, des missiles intercontinentaux,que sais-je…
Refermant ce livre, il me semble que je me suis autant ennuyé dans ce court récit que dans un roman de Robbe-Grillet. Que c'est long 183 pages quand l'intérêt ne vient pas, ni pour l'intrigue (y en a-t-il une vraiment ici…) ni pour le style…

Une fois de plus : « jura, mais un peu tard, qu'on ne l'y prendrait plus… »
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Prêts pour l'aventure ? Alors, embarquez-vous avec Pouchet (oui oui, comme l'auteur), sur le Seine Princess. Pour aller où ? Pour descendre la Seine, de Paris à Honfleur en passant par Bonsecours, Haute-Normandie. Car à Bonsecours, figurez-vous qu'une pluie d'oiseaux morts vient de s'abattre sur la ville et notre ami Pouchet (vous verrez, il est très attachant cet homme-là) est très intrigué par le phénomène. Ah bon, pourquoi ? Parce qu'il est originaire de Bonsecours, alors cette affaire le touche (contrairement au reste du monde qui n'en a rien à faire), peut-être aussi parce qu'enfant, il a eu un perroquet nommé Alfred, ce qui l'a sensibilisé à l'ornithologie et puis, au fond, ça fait longtemps qu'il n'a pas vu son père et ce serait l'occasion de resserrer les liens comme on dit. Enfin, il doit travailler ses cours et il n'en a pas vraiment envie…
Cela fait donc au moins quatre bonnes raisons de s'intéresser à cette chute d'oiseaux morts, alors, il embarque pour mener son enquête : et si c'était l'apocalypse, la fin du monde ? Qui sait ? Peut-être y a-t-il urgence ? Pouchet le sauveur de l'humanité, le super héros des temps modernes… Suivons-le !
D'abord, des pluies d'animaux, il y en a plein la Bible : des grenouilles, des taons, des sauterelles, cailles et autres bestioles en tous genres tombent du ciel… et autant le dire tout de suite, ça n'annonce rien de bon. Un signe ? s'interroge Pouchet (ce nom me fait toujours penser à Pécuchet ) . Une piste ? Qui sait ?
Pris en charge par Suzanne, la « commissaire de bord », notre aventurier, « de 40 ans au moins le benjamin » de toute la petite troupe, découvre les activités proposées par la compagnie maritime, grignote quelques viennoiseries, discute avec Jean-Pierre, ingénieur dans l'armement, qui lui fait un exposé détaillé sur le « Pigeon Project » (ou comment on avait imaginé utiliser des pigeons pour guider les missiles pendant la guerre) et regagne le pont afin d'observer les usines produisant des fumées capables de tuer quelques milliers d'oiseaux innocents. La pensée de Pouchet s'égare, il repense à son enfance, à ce qu'il est devenu...
La croisière prend son temps et dans sa cabine, notre enquêteur ouvre un à un les nombreux livres qu'il transporte ( Livre des damnés de Charles Hoy Fort, Histoire naturelle de Pline...), recopie des passages dans son cahier, et sombre dans le sommeil « dans un état intermédiaire entre le positif et le négatif, le réel et le néant ».
Il n'ira pas visiter Giverny ni écouter la conférence sur « le tournant impressionniste », en revanche, il boira quelques verres en écoutant l'impro du pianiste Cheval, ne manquera pas d'embrasser Clarisse avant de s'abandonner au refuge-sommeil dans sa cabine n°313.
E la nave va...
Entre lectures et déambulations, errements et divagations, Pouchet, qui n'est ni ornithologue ni touriste, espèce de « guignol égaré dans un voyage organisé sur la Seine pour sauver l'humanité courant à sa perte », avance vers un avenir incertain (la fin du monde?) et un passé qu'il se réinvente au gré de son imagination et de sa douce folie, se trouvant un ancêtre célèbre : un Pouchet, un Félix-Archimède Pouchet (et j'ai vérifié - moi aussi je mène mon enquête! -  le fondateur du Muséum d'Histoire Naturelle de Rouen est bien un certain Félix-Archimède Pouchet. de la famille de l'auteur ? Qui sait ?)
Où cette minutieuse enquête va-t-elle mener notre pauvre hère ? Peut-être à l'essentiel… donner un sens à sa vie, se divertir en offrant un peu de consistance à une existence bien tristounette : « Cette série d'élucubrations c'était sans doute la seule chose consistante que j'avais faite depuis quelques années. «- A quoi as-tu occupé ta jeunesse ? - J'ai rempli un cahier d'oiseaux morts. - Ah, très bien. »
Ou bien, est-ce le début de quelque chose de plus grave dépassant notre pauvre personnage et nous concernant tous : une espèce de menace qui s'appelle la disparition des espèces...
J'ai aimé le ton à la fois mélancolique et ironique de ce roman, qui met en scène un voyage insolite, absurde, une espèce d'embarquement, métaphore d'une quête intime, de soi et du père, un retour vers le passé, vers l'enfance d'un homme (double de l'auteur?) qui, ne sachant plus très bien où il en est et se voyant chuter (comme les oiseaux), se lance corps et âme dans un « river-trip normand » - est-il nécessaire d'aller bien loin pour se trouver ? - qui lui permettra peut-être de mieux se relever, de mieux repartir pour affronter la vie et « les ennemis de ses prochains duels ».
Un très beau texte sensible, drôle et plein de poésie ...
A ne pas manquer...
Lien : http://lireaulit.blogspot.fr/
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Il a plu des oiseaux en Normandie et ça n'a pas l'air de bouleverser le monde. Seul un jeune Parisien décide d'en faire son affaire personnelle et de mener l'enquête pour résoudre le mystère. Et comme il n'y a pas de hasard, il se trouve que les oiseaux sont tombés dans le village où il a grandi. Chouette, l'occasion de faire le point sur ses choix, de remonter le fil de son enfance et d'éclairer son apparent immobilisme dans la vie. Pour ce faire, il embarque pour une croisière sur la Seine : un huis-clos en mouvement, finalement.

L'idée, ok, elle est bonne. L'écriture, ok, elle est travaillée. le titre, ok, il est poétique. La couverture, ok, elle est belle, colorée et donne envie. le principe ? Non, non, non. Vraiment, les Normands qui habitent maintenant à Paris et retournent en Normandie, il faut arrêter. On le sait qu'il fait moche, a fortiori en automne, qu'il n'y a rien à faire, que c'est déprimant, mais tout de même attachant. On le sait que parfois retrouver ce qu'on a fui ça remet les idées en place et les pieds sur terre. On le sait tellement que j'ai eu l'impression de le lire mille fois. Résultat, je n'arrive pas à me souvenir de pourquoi les oiseaux meurent, ni même de si on finit par le savoir. Je n'arrive pas à me souvenir de si ce livre est bien. Il ne me reste que des soupirs et quelques sourires, peut-être. Et c'est assez mauvais signe.
Lien : https://auxlivresdemesruches..
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C'est toujours troublant de découvrir un fait divers relatant une pluie d'oiseaux morts mais la plupart du temps la nouvelle en reste là sans explications véritablement cherchées .

Victor Pouchet , l'écrivain et personnage principal du livre y trouve une bonne occasion pour délaisser sa thèse qui est en plan et aller enquêter à sa manière , d'autant que cet évenement s'est déroulé dans la commune de Bonsecours sur les bords de la Seine où il a passé son enfance et où vit encore son père qu'il voit peu.
Plus qu'une véritable enquête , cela devient rapidement une errance , une quête du père , à tous les sens du terme car le paternel ne répond pas au téléphone et sera absent lorsque Victor arrivera chez lui , juste pendant de ce qu'il a vécu dans son enfance . 
Embarqué  sur un bateau de croisière pour retraités , seul moyen de transport qu'a trouvé notre détective en herbe , Victor profite des escales pour faire des recherches dans les bibliothèques, de rencontrer des ornithologues ou des témoins oculaires .
Et , il en fait des découvertes Victor, entre celle d'un lointain ancêtre dont la statue orne l'entrée d'un musée ou des textes anciens comme ceux de Pline relatant déjà des pluies d'oiseaux .

On n'en saura guère plus sur les explications de ce phénomène mais Victor grâce à sa quête et aux rencontres au présent et au passé qu'elle aura suscitées nous fait voyager sur une Seine paisible et bucolique et sur ses gentils délires .

Une magnifique couverture !
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La première de couverture est une constellation multicolore d'oiseaux, une fresque volatile exaltante, une ouverture agréable pour découvrir ce roman, caresser de son regard tous ces oiseaux figés sur ce tableaux comme une stèle avec cette épitaphe Pourquoi les oiseaux meurent.
Victor Pouchet est né à Paris en 1985. Il a eu une enfance dans la région parisienne puis découvrira lors de ses vacances la côte bretonne et les montagnes corses. Il étudia à l'École Normale Supérieure de Lyon, pour commencer une thèse sur les descendants de Stendhal dans la critique au XXe siècle en l'abandonner trois ans plus tard, préférant le velouté de la nature, il essaie, à bord d'un petit bateau à voile la traversée des Açores jusqu'à la France, puis commence à Brest, avec deux amis, un tour des frontières de France à pied par étapes annuelles, prévu pour s'achever en 2060.Il est professeur en classes préparatoires en étant agrégé en lettre modernes.
Cette petite biographie constelle merveilleusement bien la finesse de soi apporté dans ce roman, un voile de la vie de Victor Pouchet caresse la trame de cette histoire incertaine de notre héros, l'auteur lui-même.
« Il avait plu des oiseaux morts » sont les premiers de cette histoire nous emportant vers les méandres de la seine sur une péniche le «MS Seine Princess», pour une croisière sur le fleuve de la déesse source Sequana, qui veut dire s'écouler tranquillement, petite anecdote de notre narrateur.
Cette aventure débute par une enquête personnelle, une recherche de la vérité sur cette mort de ces oiseaux, comme une quête folle telle celle de Don Quichotte de Cervantès, mais notre protagoniste, copie conforme de l'auteur, mettant sa thèse en parenthèse, s'échappe de sa vie routinière, sa vie amoureuse rompue par une rupture, un travail sans saveur, Pouchet s'évade dans cette mystérieuse enquête.
Victor Pouchet, nous invite dans un univers personnel, les étourneaux morts sur la commune de Bonsecours, près de Rouen est le lieu de son enfance, celui du narrateur, où habite son père. Il fera référence dans cette croisière particulière à la «Bible de Jérusalem», au «Livre des damnés» de Charles Hoy Fort et à l'«Histoire naturelle», de Pline. Il nous fait découvrir le «Pigeon Project» et les chauves-souris explosives de l'US Army, ces petites histoires ironisent sur la folie de l'homme, comme celle en Chine à l'époque de Mao sur le massacre des moineaux friquets en 1958, lors de la campagne des quatre nuisibles entrainera la Grande Famine chinoise. Puis nous initie à la doctrine de la génération spontanée théorisée, au siècle de Flaubert, par Félix-Archimède Pouchet, un médecin et botaniste rouennais, confondu par Louis Pasteur découvrant les microbes et ridiculisant ainsi l'homonyme de Victor Pouchet qui le réhabiliter et le mettre la lumière sur cet homme, disparu des dictionnaires.
Se cache dans cette folle quête, une recherche de soi, une vérité de l'être, un chemin s'ouvre vers un passé trouble, d'un père sauvage, bataillant contre la société, un joueur compulsif brisant son couple, délaissant sa descendance, naviguant dans une eau trouble au coeur malade du mal de mer de son fils devenu étranger lors de balade en bateau, cette mélopée coule lentement au fil du roman, comme la Seine s'écoule vers Honfleur , d'une écriture légère Victor Pouchet cristallise avec beaucoup de maitrise les mots, les émotions invisibles, le cheminement vers la vérité de soi.
Nous ne serons pas pourquoi les oiseaux meurent, mais est-ce l'importance de ce livre, Victor Pouchet a réussi à m'emporter dans son univers de mots avec cette aventure fluviale de Paris vers la Normandie, suivant les contours et les détours des émotions de notre héros.
Une échappée belle.
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critiques presse (2)
Liberation
11 septembre 2017
C’est une aventure intrigante à laquelle invite Victor Pouchet, au croisement de l’absurde, de l’enquête et de l’histoire naturelle. Pourquoi les oiseaux meurent entremêle fiction et éléments réels si incroyables qu’on doute de leur véracité.
Lire la critique sur le site : Liberation
Bibliobs
04 septembre 2017
Cette enquête sur soi, doublée d'une quête du père, qui glisse drôlement et tristement au fil de l'eau, louvoie entre des paysages «non parcourus» et des «collines promises», poussées par le courant d'une prose douce et languissante comme l'eau du vieux fleuve.
Lire la critique sur le site : Bibliobs
Citations et extraits (24) Voir plus Ajouter une citation
Je me suis redressé et j’ai regardé au-delà du champ de corneilles crevées. J’ai vu une aigrette blanche, haut perchée sur ses longues pattes, maladroite, mais belle, qui arpentait la plage à la frontière de la mer. De loin, on aurait dit qu’elle comptait les oiseaux morts, ou qu’elle les veillait, ou peut-être qu’elle se préparait, debout et ridicule, à affronter les ennemis de ses prochains duels.
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Jusqu’à présent, assez peu d’oiseaux étaient visibles sur le fleuve et aux alentours. Quelques mouettes parfois, des poules d’eau près des rives. En même temps, je ne savais pas quelles étaient les habitudes des diverses espèces, leurs saisons de prédilection ni leurs zones de nidification. Je faisais face à mes propres limites : mes notions d’ornithologie étaient minces, et mon instinct pouvait aussi me tromper. J’étais un peu comme un lecteur capable de ne décrypter qu’une infime partie des caractères, et encore bien maladroitement, obligé d’inventer des explications, d’intuiter des réponses, sans trop savoir les limites entre le fantasque et le fantastique. J’espérais que les vapeurs de la Seine feraient de moi une Pythie clairvoyante, un prophète crédible pour interpréter les augures et distinguer les présages des cieux.
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J’espérais faire de ma fuite une expédition et je commençais à prendre plaisir à ce tourniquet, voilà ce qui avait changé. La plupart du temps, j’ai cette impression persistante que le réel me résiste : les objets, ma volonté, les êtres humains, tous se liguent contre moi pour m’empêcher. Dans ces cas-là, seuls l’anecdotique, le faux pas, l’insensé minuscule me sauvent. Il suffit d’une faute de frappe du réel pour me sentir comme vengé : mon regard peut à nouveau se poser avec amour sur ce monde, non parce qu’il deviendrait tout d’un coup aimable, mais parce qu’il confirme qu’il est absurde.
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Il déployait autant de grandiloquence à se reprocher ces années qu'il en avait sans doute mis à les vivre.
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« À l’âge de onze ans, j’avais ramassé un petit pigeon blessé dans le jardin de ma grand-mère. Il avait une aile cassée, et à la fin des vacances, on ne savait pas s’il s’en sortirait. Ma grand-mère en prenait soin en mon absence. Elle m’envoyait de ses nouvelles par lettre. Je suis retombé longtemps après sur une de ses cartes postales, qui disait seulement : bravo pour les 11 ans de mon petit-fils. Tous mes souhaits les meilleurs et tous mes vœux. Je t’embrasse très fort. PS : Le pigeon va très bien. La phrase : « Le pigeon va très bien » m’avait accompagné longtemps, comme un message codé, et j’imagine sans m’en souvenir précisément la joie enfantine que j’avais pu ressentir en la lisant la première fois le jour de mon anniversaire. Ce post-scriptum retrouvé, trace écrite de la douceur de ma grand-mère, m’émouvait encore. Même si autour de moi les oiseaux tombaient par centaines, même si la logique aviaire débloquait pas mal, je pouvais me rassurer en me répétant cette phrase, pure et simple comme une leçon de langue étrangère niveau grand débutant : « Le pigeon va très bien. Le pigeon va très bien. »
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Videos de Victor Pouchet (22) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Victor Pouchet
Lecture par l'auteur
C'est l'histoire d'un homme qui écrit à la femme qu'il aime dans l'espoir qu'elle revienne. le temps de 111 poèmes, il déambule dans la Grande Ville, déménage, s'égare sur les écrans, prend un ferry, se baigne dans la rivière, et tente à sa façon de ranger le monde – et sa vie. Cette version cinépoème du livre de Victor Pouchet retracera cette histoire d'amour, d'inquiétude et de joie à travers des lectures inédites et la projection de 11 ultra-courts-métrages dérisoires et grandioses, où se dessine quelque chose comme l'option légère.
« Ce serait reposant de se laisser porter et de lire les répliques je ferai de mon mieux pour les intonations dites-moi comment vivre vous qui savez comment. » Victor Pouchet, L'option légère
À lire – Victor Pouchet, L'option légère, Gallimard, 2024.
Lumière par Hannah Droulin Son par François Turpin Direction technique par Guillaume Parra Captation par Claire Jarlan
+ Lire la suite
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