Dans le tunnel, ils avançaient avec les plus grandes précautions. Parfois, l'homme déchirait une page de son carnet et l'enflammait pour éclairer un peu leur route. Ils voyaient toujours un spectacle identique : un boyau sombre qui s'étendait devant eux et qui semblait ne jamais plus devoir finir.
Les parois, le plafond et le sol avaient été boisés, mais ce revêtement était en grande partie pourri. Ce que les jeunes gens redoutaient le plus était les planches...
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