Fin de la série. On peut conclure en disant que cela forme un ensemble tout à fait fréquentable pour un public jeune, adolescent, qui s'intéresse forcément à l'avenir des sociétés dans lesquelles ils vont évoluer.
Le fond diffus écologique s'estompe avec le temps (bon, là je ne pense pas toucher grand monde) et on finit l'ensemble avec de l'action pure, de l'aventure dans le grand nord.
La fin est un peu hâtive et on a même l'impression que les auteurs veulent clore ce chapitre.
C'est un choix honnête par rapport aux rentiers qui sévissent dans nombre d'autres univers.
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L'équipe poursuit sa mission contre la P.O.P.1. L'étau se resserre car la Nature, tout comme Diosynta, ne fait pas de cadeau.
Un peu déçue par ce tome final qui tombe dans les facilités. La fin, globalement ouverte sur le contexte, est rocambolesque. Je n'en dévoilerai pas plus mais j'ai trouvé que ce tome était moins développé, plus dans l'action brut, parfois peu convaincante. Dommage car, globalement, c'est une bonne série de réflexion sur l'écologie et le monde agricole.
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Bonne BD d'anticipation. Aprés un début un peu catastrophique (dans le sens BD post apocalypique), la trame romanesque s'adoucie un peu et un peu d'optimisme fait du bien. Trés bon dessin solide.
A lire.
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Le dessin fonctionne à la perfection, il convient parfaitement aux ambiances. Les scènes en Arctique sont impressionnantes, les passages d'action sont tout aussi efficaces. Le rythme est là. Hugo Poupelin fait du très bon travail à la couleur.
Lire la critique sur le site : Sceneario
- En effet, nous savons que vous êtes en lien avec la Résilience. Ne niez pas, vous insulteriez mes services. J'aimerais délivrer un message à leurs chefs. Nous voulons NEGOCIER.
Au moins, on aura revu le soleil une dernière fois...