Personne ne peut vous connaître et donc personne ne peut parler de vous.
Chacun a des pensées à votre sujet et exprime ses opinions sur l'image qu'il s'est faite de vous et non sur vous.
Alors, pourquoi vous troubler?
Vous devez rester calme et silencieux comme s'ils parlaient de quelqu'un d'autre.
La première détente, c’est l’acceptation complète des tensions qui n’ont pas encore lâché.
La sagesse n’est pas la disparition totale des pensées mais la liberté par rapport à celles-ci.
L’amour véritable ne compare jamais, il voit simplement, il accepte, il reconnaît. Cet amour-là n’existe que quand le mental a disparu.
Si vous ne pouvez pas, vous ne devez pas. C’est tout. C’est cela : être. Ou je le fais, ou je ne le fais pas. Mais si je le fais, je ne le fais pas à moitié ni aux trois quarts.
Quand, dans l’enfance, on nous a proposé une perfection que nous ne pouvions pas incarner, nous avons été divisés et nous nous sommes sentis défaillants par rapport à un idéal qui aurait été en fait flatteur pour notre vanité et nous aurait permis de nous sentir aimés et admirés par nos parents et notre entourage. Nous en arrivons donc à nous détester nous-mêmes d’être ce que nous sommes ou, selon une manière bien erronée de nous exprimer, de n’être que ce que nous sommes.
L’ego, c’est l’enfant en vous qui vient recouvrir le présent.
Ce sont des pensées qui nous coupent de la réalité et nous maintiennent dans l’esclavage.
L’indépendance, c’est de pouvoir être laissé seul, abandonné, et de se sentir de plus en plus en sécurité.
Il n’y a pas d’immenses possibilités d’augmenter votre approvisionnement en énergie. Mais ce qui vous est possible, c’est de diminuer, dans des proportions que vous ne soupçonnez même pas, votre gaspillage d’énergie.