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Critique de LeScribouillard
Couci-couça...
"Procrastination" est un de ces tomes dont on n'arrête pas de faire des références et dont tu n'as foutre pas la moindre idée de ce qu'on peut y trouver dedans. Et comme souvent dans les Pratchett parus en ce siècle, on alterne l'excellent et le longuet (ça doit être les 2001...). Et comme je passe mon temps à dire ça, oui, il y aura des moments de logique farfelue qui taperont sur les nerfs quand ils dureront trop longtemps (l'auteur trouve d'ailleurs un moyen de justifier des incohérences créées exprès pour, ce qui m'a pas mal agacé), et à côté de ça des passages d'anthologie, avec l'abbé qui a alors un champ morphique très... particulier, ou les moments où l'auteur nous livre sa vision sur l'instruction (alors que jusque-là, Suzanne Sto Hélit m'avait toujours inexplicablement laissé froid...). Non, là où ça me pose vraiment problème, c'est que M. Blanc était un méchant qui avait du potentiel. Et puis... apparaît trop tard, trop de scènes sur ou liées à lui, puis disparaît trop tôt. "Procrastination" gère mal son rythme. Il faudrait faire avancer un peu l'histoire, non ? Bah... On attend le chapitre suivant !
Et pourtant, le monastère parodiant Shaolin vaut le détour, croyez-moi. Mélangé avec le fait que les moines doivent s'occuper que le temps s'écoule normalement, on a du mal avec ça car on voit mal le rapport avec le bouddhisme, et puis on se dit, après tout, qu'en reliant ça avec les arts martiaux, Pratchett réussit sa sauce avec un ensemble cohérent... même dans son incohérence.
"Procrastination" est un de ces tomes qui traînent, dans ses explications, dans ses lazzis. Je pensais vraiment que le tome allait finir en demi-teinte, mais mine de rien, l'auteur parvient à nous tirer de son chapeau encore quelques jolis lapins. Les plus aguerris y trouveront leur compte...
"Procrastination" est un de ces tomes dont on n'arrête pas de faire des références et dont tu n'as foutre pas la moindre idée de ce qu'on peut y trouver dedans. Et comme souvent dans les Pratchett parus en ce siècle, on alterne l'excellent et le longuet (ça doit être les 2001...). Et comme je passe mon temps à dire ça, oui, il y aura des moments de logique farfelue qui taperont sur les nerfs quand ils dureront trop longtemps (l'auteur trouve d'ailleurs un moyen de justifier des incohérences créées exprès pour, ce qui m'a pas mal agacé), et à côté de ça des passages d'anthologie, avec l'abbé qui a alors un champ morphique très... particulier, ou les moments où l'auteur nous livre sa vision sur l'instruction (alors que jusque-là, Suzanne Sto Hélit m'avait toujours inexplicablement laissé froid...). Non, là où ça me pose vraiment problème, c'est que M. Blanc était un méchant qui avait du potentiel. Et puis... apparaît trop tard, trop de scènes sur ou liées à lui, puis disparaît trop tôt. "Procrastination" gère mal son rythme. Il faudrait faire avancer un peu l'histoire, non ? Bah... On attend le chapitre suivant !
Et pourtant, le monastère parodiant Shaolin vaut le détour, croyez-moi. Mélangé avec le fait que les moines doivent s'occuper que le temps s'écoule normalement, on a du mal avec ça car on voit mal le rapport avec le bouddhisme, et puis on se dit, après tout, qu'en reliant ça avec les arts martiaux, Pratchett réussit sa sauce avec un ensemble cohérent... même dans son incohérence.
"Procrastination" est un de ces tomes qui traînent, dans ses explications, dans ses lazzis. Je pensais vraiment que le tome allait finir en demi-teinte, mais mine de rien, l'auteur parvient à nous tirer de son chapeau encore quelques jolis lapins. Les plus aguerris y trouveront leur compte...
