Chaque fois que j'ouvre un nouveau
Pratchett, je me rends compte à quel point ça me manquait depuis ma dernière lecture du Disque-Monde et à quel point ça tient du génie.
J'ai beaucoup plus accroché à ce tome que je ne le pensais parce que le sujet du foot ne m'intéressait pas du tout. Mais quand les mages de l'Université de l'Invisible doivent disputer une partie de fouteballe afin de bénéficier du leg qui leur permettra de continuer de prendre 9 repas par jour... Fouteballe qui tient plus du fight-club à grande échelle avec un ballon qu'un sport amical, au passage... Ben c'est dur de résister !
Comme toujours l'analyse de l'auteur des travers humains, du football et du monde universitaire est aussi fine que délicieusement mordante, et tombe toujours juste. Je me suis tout de suite attachée aux personnages de Glenda et de Daingue, d'autant plus que leurs péripéties en quête de l'identité de ce dernier allège un peu l'intrigue principale sur le fouteballe.
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