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Corto Maltese tome 14 sur 16
EAN : 9782203146563
120 pages
Casterman (08/11/2017)
3.5/5   66 notes
Résumé :
En 1911 Corto Maltese quitte Venise pour Alexandrie où il espère trouver mythique miroir du prêtre Jean. En route il fait la connaissance de la belle Ferida Schnitzer, fille d'un célèbre explorateur allemand, et à son arrivée sauve Winston Churchill d'un attentat nationaliste. Bientôt Corto embarque avec Henry de Monfreid pour Zanzibar.
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Critiques, Analyses et Avis (17) Voir plus Ajouter une critique
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J'suis content, content, content.
Normal, je viens de retrouver un vieux pote que je croyais perdu à jamais pour la cause, en tout cas la mienne.
Corto est de retour.
Pas celui égaré sous le soleil de minuit mais bel et bien ce mystérieux voyageur impénitent dévoreur de monde, ce sublime aventurier racé à la répartie cinglante, cet amoureux forcené et respectueux de la gente féminine dont on ne verra jamais le nom associé à #BalanceTonPort. Faut dire que le gars est marin de métier...

En un mot comme en cent, j'ai adoré.
Tout y est à sa juste place, fidèle au souvenir ému que j'éprouvais à la lecture de ses précédents exploits.
Avec ce nouvel opus, Pellejo et Díaz Canalès s'inscrivent en dignes successeurs du génial Pratt.
Grand merci à eux et à très vite !
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Je vais y aller franchement, je n'ai pas aimé. Certains me diront peut-être "c'est normal, tu dois être plus habitué a Hugo Pratt qu'à Juan Dias Canales et Ruben Pellejero!" mais non, parce que j'avais très bien accroché à Sous le soleil de minuit. Je trouve que ça ne ressemble pas aux aventures aux quelles nous a habitué Hugo Pratt.


1911 entre Venise et les jungles équatoriales notre cher aventurier cherche le "miroir du prêtre Jean", objet datant des temps des croisades. Il rencontrera trois femmes : AÏda une journaliste, Afra une esclave muette et Ferida exploratrice recherchant son père disparu.
Ce n'es pas une histoire qu'Hugo Pratt aurait imaginé, à mon avis mais ce n'est que mon avis...

разочарованный = déçu en Russe.
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Je suis guéri ! Rendez vous compte, ce bouquin est sorti mercredi 27 et je ne l'ai acheté que samedi 30, oui je suis bien guéri de ma Corto-manie. En plus j'ai enfin compris que Hugo Pratt ne reviendrai pas ( !?!), je me suis fait une raison, ce sont ces deux loustics espagnols qui le remplacent, d'accord. Bon, ces gars là ont du talent et ils ont tout pigé de l'esprit « Pratt » sauf une chose mais j'y reviens ; tout y est donc : le voyage, Venise, la mythologie, les vieux manuscrits, les femmes (belle découverte : Ida Treat (rebaptisée Aïda) grand-reporter pour le National Géographic), les hommages (Henry de Monfreid est particulièrement réussi), l'Histoire-La fiction&Le rêve, tout ... Les dialogues laconiques, le dessin idem, les ombres, les champs-contrechamps ... Tous les ingrédients y sont, la recette est respectée à l'extrême, trop. Trop de respect tue le respect (sorry Aretha), voilà le seul problème les gars ; Hugo, lui ne respectait pas les 80 pages formatées que lui aurait imposé Casterman, le nombre de vignettes bien cadrées pour plaire à tout-le-monde, rentable quoi. Relisez Mû : de grandes vignettes toutes en rondeur ; La Jeunesse : Vignettes carrées en couleur ; Tango : Format à l'italienne N&B ; La Ballade ... 169 pages, le premier roman dessiné ; Sous le signe du Capricorne, les Celtiques : des épisodes courts ; Les Helvétiques : Une villégiature onirique qui en a déconcerté plus d'un ; Corto en Sibérie : Une épopée - Pas de formatage - Alors, Juan et Ruben, respecter Hugo Pratt c'est peut-être aussi laisser Corto s'évader du cadre et prendre des libertés que ce vieil anar qu'était Pratt vous pardonnera, j'en suis sûr. Vous voyez que je suis guéri, ceci dit 4* quand même. Allez faites de beaux rêves et ciao.
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Nouvelle reprise du héros Corto Maltese, le personnage d'Hugo Pratt, par le duo espagnol, Juan Díaz Canales au scénario et Ruben Pellejero au dessin.
J'ai trouvé cette aventure palpitante, bien construite, cette expédition de Malte à l'Afrique dépaysante, jouant sur l'exotisme et les références historiques, avec des rencontres d'époque, Winston Churchill, jeune, à Alexandrie, Henri de Monfreid dans la Mer Rouge… et une chasse au trésor sous fond de colonialisme britannique, avec des femmes intrigantes, et le héros taciturne, les moments de torpeur nonchalante… Il y a tout ce qui fait la qualité de la série sous l'ère Hugo Pratt, et cette lecture est vraiment sympa.
Pourtant, ça me fait l'effet du Canada Dry, il me manque le petit détail qui fait toute la différence, le côté un peu bancal, les personnages aux contours indécis, au caractère pas toujours très clair, le manichéisme qui dérape, le rythme qui se brise, l'illustration qui semble inachevée... Dans Equatoria, le dérapage est un peu trop propre, trop calculé, et au final, ce qui était une oeuvre hors des carcans du classicisme, s'y engouffre complètement.
Alors oui, j'ai aimé cette histoire, son scénario, son graphisme, mais pas de la même façon que j'aime le Corto Maltese d'Hugo Pratt.
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Corto Maltèse est à la recherche d'un trésor oublié et ses pas vont le mener en Afrique où il saura s'entourer de belles femmes et d'aventure!

Deuxième tome de reprise de l'univers d'Hugo Pratt pour le duo espagnol Canalès-Pellejero.
Visuellement j'avoue que c'est une réussite. Un trait fin, épuré qui nous permet de retrouver notre beau marin ténébreux. Les couleurs sont jolies et fraîches, sachant parfaitement utiliser les ombres.
Concernant le scénario j'ai eu plus de mal à accrocher. J'aime bien le voyage, notamment à travers l'Afrique, mais je trouve que les quêtes bifurquent trop souvent sans liens, sans cohésion et c'est dommage car j'ai ressenti une certaine confusion. Les personnages m'ont même paru un peu succinct, j'aurais aimé en savoir plus sur leur personnalité, leur émotion. Il en ressort un effet un peu froid.
La lecture a été agréable, mais il m'a manqué un fil rouge un peu plus suivi.
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critiques presse (3)
ActuaBD
13 octobre 2017
Le nouveau Corto signé Canales et Pellejero fait mieux que prolonger le mythe de Corto Maltese : il le revivifie en lui ouvrant de nouveaux horizons.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
BDGest
26 septembre 2017
À l’image de ces éternels remakes ou reboots qu’Hollywood aime déverser sur les écrans, Équatoria remplit très bien sa part du contrat. En revanche, pour ce qui est d’un quelconque souffle épique ou d’un soupçon de poésie, mieux veut aller regarder ailleurs.
Lire la critique sur le site : BDGest
Bedeo
26 septembre 2017
Ce quatorzième tome, qui n’a plus la surprise de son précédent, est bon mais apparaît peut-être un ton en dessous en ce qu’il n’est plus dans l’hommage appuyé, ne passant pas encore vraiment le relais à une autre version de Corto Maltese.
Lire la critique sur le site : Bedeo
Citations et extraits (12) Voir plus Ajouter une citation
- Serait-il possible de savoir pourquoi ce gamin ne cesse de crier?
- Jiah!
- C'est une coutume de la vie des marins. Il coupe le bois pour la journée. Il accompagne chaque coup d'un cri pour que nous sachions que ce n'est pas le bois du mât qui s'est fendu.
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Aïda - ... Je pourrais t'accompagner et écrire un reportage sur ton voyage pour le National Géographic.
Corto - Je ne vois aucun intérêt à devenir un aventurier de papier !
Aïda - Pauvre Corto ! Comme si on pouvait choisir ...
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-Vous n'avez pas répondu à ma question.
-Je trouve que vous devenez un peu trop insistante, madame. Bien mener une conversation c'est épuiser le thème, pas ses interlocuteurs.
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Il me semble que tu es de ceux qui fuient les choses qu'ils désirent dès qu'ils les ont à portée de main. (p.76)
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- Je ne crois pas que tu sois ici pour enquêter sur la vie amoureuse de Byron. Qu'est-ce qui t'amène exactement à Venise ?
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