La vie est comme ça, souvent insipide, souvent amère, à nous d'y apporter le miel, le piment l'espoir. Je sais que je n'ai pas droit à grand chose, je sais que je ne peux pas tout me permettre, mais si je peux déguster une goutte de miel, avoir un tout petit moment qui me ressemble, je ne veux pas y renoncer.
Qui a dit que les souvenirs charrient nécessairement tristesse et nostalgie ? Qui sait s’ils ne pourraient pas me faire du bien ? Ne vaut-il pas mieux vivre les sensations qui nous sont offertes plutôt que de leur tourner le dos ?
Accepter ses limites n’est pas un défaut. L’essentiel est de se connaitre et de savoir ce qui nous rend heureux.
On peut aussi aspirer à un bonheur plus simple, à portée de main. Sans se sentir obligé d'exceller à tout prix...Accepter ses limites n'est pas un défaut. L'essentiel est de se connaître et de savoir ce qui nous rend heureux.
Quand on aime, on aime au présent. Bien sûr, on rêve en grand, surtout quand il s’agit du bonheur de l’autre, mais je peux te le promettre, Jordan Walsh, je t’aimerai quoi que tu décides de faire, pourvu que cela te rende heureuse. Ça, sur le bonheur je ne transigerai pas. Je serai inflexible. Je te casserai les pieds au premier signe de résignation et je ne tolérerai pas de compromis !
Il faut se montrer sincère, quand on veut mettre un terme à quelque chose d’à peine éclos, de jamais vraiment commencé, mais qui nous bouleverse infiniment plus que ce que nous avons vécu jusqu’ici.
Il ne faut jamais trop exiger de soi dans les moments difficiles.
La jalousie est un éperon particulièrement efficace.
Quel intérêt de connaître une véritable et folle passion physique ? Ce n’est sûrement pas le plaisir qui me protégera de la pauvreté ni de cette nouvelle administration inhumaine qui s’apprête à dépouiller les plus démunis des lambeaux de couverture sociale qu’il leur reste…
L’ignorance n’est pas une sentence à perpétuité… Elle est réversible