Ce récit date du XIXeme siècle par un auteur états-uniens de confession protestante. le récit est écrit comme un roman épique dont la véracité ne semble pas toujours bien établis. Il y a une sorte de lyrisme comme chez Michelet.
Bien qu'il regrette la disparition de la civilisation inca, on sent de la part de l'auteur beaucoup d'admiration pour les protagonistes Espagnols. Au point de cacher les exactions des espagnols, l'exploitation et la spoliation du peuple incas, par de pudiques « il y a eut des cruautés » mais sans s'étaler sur celles-ci. Pour lui, c'est regrettable mais après tout les espagnols faisaient oeuvre civilisatrice, et surtout de christianisation, même si c'était par des catholiques, pas comme les protestants qui font oeuvre de bonne foi (notez le jeu de mots ;-).
Bref c'est un récit daté, navrant et énervant. Je pense que les pages Wikipédia sont biens meilleurs sur le fond et la forme, et certainement moins long.
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Lecture très agréable pour cet ouvrage exhaustif et jamais ennuyeux sur l'état de l'Empire Inca.
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Les lois étaient en petit nombre et extrêmement sévères. Elles étaient presque entièrement relatives aux matières criminelles. (...) Les crimes de vol, d'adultère et de meurtres étaient tous punis de mort; (...)