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«Il est mort, l'été, l'amour et le soleil»

Dans un récit bouleversant, Nathalie Prince raconte le décès de Christophe, son mari, son amour, son co-auteur. Aux obsèques vont succéder quatre saisons d'absurdités administratives, de vie de famille chamboulée, de tentative de reconstruction…

La vie réserve quelquefois de très mauvaises surprises. Prenez le couple Prince. Nathalie et Christophe se sont rencontrés sur les bancs de la faculté, se sont aimés et ne se sont plus quittés. Mieux, ils ont conjugué leur talent pour nous offrir des livres aussi différents que formidables. C'est sous le pseudonyme de Boris Dokmak que j'ai fait leur connaissance, sans imaginer que derrière Les Amazoniques, ce polar paru en 2015 qui mêlait aventure et trafics en forêt amazonienne se cachait un prof de philosophie.
Un petit mot de Nathalie dans Nietzsche au Paraguay a levé le mystère quatre ans plus tard. «Vous avez aimé Boris Dokmak. Vous le reconnaîtrez. Vous comprendrez assez vite que ce roman me pèse et me porte, et j'espère que vous aurez envie de vous y plonger...» Signé cette fois Christophe et Nathalie Prince, ce formidable roman racontait comment, en faisant des recherches sur la vie et l'oeuvre de Friedrich Nietzsche, ils ont découvert que la soeur du philosophe allemand avait fait partie d'un groupe de colons bien décidés à créer une nouvelle Allemagne au Paraguay. Une histoire folle et très prenante. Un enterrement et quatre saisons vient subitement nous révéler que cette complicité ne verra pas naître de nouveau livre. Signé Nathalie Prince, il raconte la mort de Christophe, emporté par la maladie. Une issue qui devenait inéluctable, mais qui laisse derrière elle une épouse et quatre enfants désemparés. Avec beaucoup de pudeur, Nathalie raconte les derniers instants et les obsèques, ces moments cruels mêlés d'incongruité, ces préparatifs conçus dans un état second et ces mains tendues qui sont censées soulager mais ne font souvent que donner un écrin au chagrin. Elle dit aussi son amour absolu, tellement fort qu'il a besoin de vivre encore, de ne pas être pris sous une étouffante chape de plomb. «Tout tourne autour de la maladie, de la mort, de la douleur et de la tristesse de la vieillesse. Je ne veux plus les entendre. Je n'ai pas envie de rire, bien sûr, mais j'ai envie de parler d'autre chose, qu'on me serre fort et avec tendresse. Qu'on ne me propose pas de faire quelque chose pour moi. Qu'on fasse quelque chose pour moi. Qu'on pense à moi.»
Commence alors le premier jour du reste de sa vie, les saisons qui suivent cet hiver. Quand il faut jongler entre les difficultés des enfants, qui eux aussi ont du mal à gérer ce drame, et les courriers incompréhensibles des administrations, entre les profs dépassés et les services municipaux, entre le notaire et ses évaluations – ne ratez pas l'épisode du canon du siècle passé! – entre le tribunal et ses injonctions surréalistes et une réunion au sommet en mairie pour l'aménagement de la tombe du défunt. Des absurdités ponctuées aussi de moments de grâce comme la séance de course à pied où la rencontre avec sa fille le jour de la fête des pères.
Comme dans Avant que j'oublie, ce petit bijou signé Anne Pauly, on aura exploré ce curieux moment autour du deuil, ses surprises et ses moments forts, ses incompréhensions et ses aspects kafkaïens entre colère et compassion. Remercions Nathalie Prince pour ce livre qui aidera sans doute aussi tous ceux qui sont frappés par le deuil à relever la tête.


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Nathalie, ma soeur (permets-moi cela), je ne réfléchis pas, je laisse mes doigts courir sur le clavier et mon coeur s'affoler… Si tu savais comme j'ai aimé ton texte si plein de vie, d'énergie, de rires, de couleurs, de mouvements, de poésie, un texte qui pourtant parle de la disparition de l'être aimé, de ton homme adoré et de toi, de ton effondrement, de ta façon de t'accrocher aux branches si minces sur les bords des chemins, histoire de tenir debout, à peu près…
Tu n'as rien lâché, tu as su dire aux uns et aux autres leur inhumanité, leur médiocrité, leur petitesse. Tu leur as balancé ça à la figure, tu as pris ce temps, tu as eu ce courage, cette patience… Tu es une reine, Nathalie, et j'admire ta force, ta volonté, ta détermination, j'admire aussi les mots qui sont les tiens, emplis de grâce, d'humanité, de sincérité, de vérité, de poésie (le nom des fleurs, Nathalie, le nom des fleurs…) : « je ferai de ce double mètre carré (dis-tu de la « petite tombe avec un jardin ») un Terra Botanica en réduction, une tête de Jivaro, un jardin à la française en miniature, avec ses buis et sa symétrie, un minuscule jardin à l'anglaise avec des herbes folles et des collerettes d'ancolies ou de Coeurs de Marie. » Savoir que des gens comme toi existent, là, sur cette terre où rien ne tourne bien rond, me comble de bonheur… On peut encore y croire alors...
Une multitudes d'images me viennent à l'esprit dans un joyeux mélange : le petit lopin de terre (deux mètres carrés pour la sépulture de ton amour) où s'entremêlent dans une douce folie fleurs et plantes et la petite grille devant la tombe… Qu'est-ce que j'ai ri des courriers avec le maire au sujet de cette petite grille et de ses 12 cm de trop… Et cet inventaire absurde pour la succession… la découverte du canon dans le jardin… J'en pleurais (de rire), oui, vraiment! Et la prof de philo d'Armance avec sa robe « qui n'existe pas» et son écharpe en peau de chat... Incroyable récit de cette rencontre où tu te dis que pour la philo, c'est mort… Et puis, j'ai tellement aimé tout ce que tu dis sur les mots, la langue… J'y suis sensible aussi. L'insupportable « ça va ? » : «Où va-t-on dans « ça va » ? Pas de volonté géographique d'aller quelque part. Une débandade, même. Un fiasco sur toute la ligne. Rien ne va dans « ça va »... » Je te cite encore « ...je ne pose jamais cette question, parce que je sais trop combien chacun porte sa part de malheur, sa barre de fer dans le coeur, et parce que je sais que personne n'en a rien à cirer. » Et ta lettre à la greffière du juge des tutelles sur sa « ponctuation défaillante » et sa « syntaxe douteuse » : comme tu as eu raison de pointer leurs limites à eux, les pinailleurs, les chicaneurs, les ergoteurs, ceux qui croient être du côté du vrai, du droit, du juste… J'ai beaucoup aimé aussi (la liste est longue, je sais) ce que tu imagines derrière un « -oui ?» qui t'est adressé de derrière un bureau, la vie de celui ou celle qui balance médiocrement cette non-réponse, ce non-sens, à l'autre (toi en l'occurrence!) qui attend depuis longtemps, qui n'en peut déjà plus avant d'arriver et à qui on ne dit même pas bonjour…
Et puis, tes enfants... J'y ai retrouvé les miens, évidemment… Je tente, moi aussi, d'être une mère « possible », ce n'est pas facile et je trébuche souvent… Eux aussi me disent aussi parfois de me taire, gentiment bien sûr... On a trop de choses à raconter, nous. Et puis, on n'est pas des taiseuses, on aime trop l'existence pour ne rien avoir à en dire, pour cacher nos émotions ou nos larmes, pour taire nos envies et nos désirs.
De tout coeur, merci pour toutes ces belles émotions et ce regard sur la vie...
Lien : http://lireaulit.blogspot.fr/
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Inutile de le cacher, il est ici question du travail de deuil après la mort d'un mari fort aimé. Mais ne fuyez pas tout de suite, ce témoignage ( non, ce n'est pas un roman) ne se vautre pas dans le pathos. La question du comment vivre après la disparition d'un grand amour, avance par des observations, des détails de la vie de tous les jours que beaucoup trouveraient un poil triviales mais qui, ici, forment un ensemble très vivant car Nathalie Prince ne manque pas d'humour. L'ouvrage est composé de chroniques variées, écrites au fil des quatre saisons suivant le décès de Christophe Prince. L'ensemble, assez disparate, fait passer le lecteur du chaud au froid, des larmes au rire voire à ... l'agacement.

Le chaud est bien évidemment, l'amour que porte l'auteure à son défunt mari, amour qui vit toujours en elle mais qui ne l'empêche pas de continuer courageusement sa route, comme si c'était un carburant inépuisable. Les larmes, c'est surtout le premier chapitre, très joliment écrit, avec un côté mystérieux, qui se dévoile peu à peu pour dire en quelques phrases très justes l'amour et la mort mêlés une dernière fois.

L'humour, c'est ce regard que porte Nathalie Prince notamment sur ses obligations de l'après. La préparation de la messe d'enterrement avec un couple de laïques nimbés d'évangiles est un régal, les courriers avec la mairie de son lieu d'habitation concernant la tombe un peu originale ( et son regard sur les cimetières) sont une friandise qu'on déguste. Cependant, plus loin, on sera assez gêné par la cruauté assez gratuite des portraits de fonctionnaires qu'elle croise et à qui elle invente des vies vraiment minables, alors qu'elle, en intello prof, elle a une vie pleine de culture ( qui s'étale un peu dans le livre) , d'enfants formidables et d'un parcours enviable. Je reconnais que toute personne ayant une fois dans sa vie surfé sur le portail ANTS pour vendre une voiture, peut éprouver de la haine pour ce système kafkaïen mis en place par les informaticiens de Bercy, mais pourquoi autant de haine envers les quelques fonctionnaires de préfecture ou des impôts ayant réchappé aux réductions d'effectifs qui, hélas, n'y peuvent rien ? Même mépris ( de classe ?) pour une psy, un greffier, une prof ( une collègue donc), voire une copine de longue date, le deuil aveugle parfois ou rend mauvais ( ou alors je n'ai pas saisi l'humour).

On peut s'interroger si cet agacement n'est pas induit à la lecture à cause des prénoms des enfants ( de l'auteur ou de ceux qu'ils fréquentent). Je ne sais si ce sont les vrais prénoms ou s'ils ont été choisis en hommage aux sketches de Sylvie Joly ( "La bourgeoise" avec ses enfants "détendus, intelligents et équilibrés" ) ou de Florence Foresti ( "La maman zen"), mais on sourit en croisant Ambroise, Armance, Adélie, Anselme et Marie-Capucine, très connotés "bobos" et qui, finalement, vont bien avec ce regard un peu hautain décrit plus haut.

Le livre, composé donc de chroniques que l'on peut qualifier d'honnêtes, une qualité de nos jours, se lit finalement sans déplaisir (libre au lecteur d'apprécier ou pas certaines saillies, mais au moins Nathalie Prince ose.),...
Un peu plus sur le blog
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Éditions Flammarion – 261 pages

Tout d'abord je tiens à remercier les Éditions Flammarion pour leur gentillesse et l'envoi de ce roman.

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Quand on a tout construit ensemble, quand tout vous a liés, quand on a cherché à ce point la joie et l'exclusivité amoureuse, comment continuer après la disparition de l'homme de sa vie ? Sur quatre saisons, le deuil s'apprivoise à travers les petites et les grandes ironies de la vie. Ce sont ces infimes détails qui nous poussent à aller de l'avant.

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Comme on le comprend en lisant la quatrième de couverture, ce livre nous fait part du travail de deuil. Ce n'est pas vraiment un roman mais plutôt un témoignage au quotidien de ce que vit l'auteur après le décès de son mari qui était en quelque sorte son âme soeur.

On avance sur une année, saison par saison, à force de descriptions et de petites « chroniques de la vie quotidienne », en vivant avec elle les angoisses et les questionnements. Une sorte de journal intime, un peu décousu, dans lequel Nathalie Prince nous livre ses réflexions et son ressenti.

Contrairement à ce qu'on pourrait croire, ce récit est réellement vivant. On ressent toute sorte d'émotions ; c'est parfois triste, parfois optimiste, parfois cocasse, mais toujours émouvant. Il nous arrive de sourire ou d'avoir les yeux pleins de larmes, cependant, ce n'est à aucun moment mélodramatique. On devine l'amour incommensurable qu'elle portait à son mari et cet amour lui permet d'avancer pas à pas vers sa propre reconstruction.

Je suis cependant très perturbée par le cynisme de cette épouse endeuillée, et sa manière agressive de s'adresser aux autres. Tout le monde en prend pour son grade : l'employée de la CAF, le contrôleur des impôts, la greffière, le maire, et même les profs (pourtant la profession de son défunt mari). La narratrice est entièrement centrée sur elle-même et pense que personne n'a jamais vécu ce gendre de drame. Cette souffrance se comprend, mais n'excuse en aucun cas ce déchaînement.

Elle porte un regard très hautain sur la société qui l'entoure, et même si l'on convient des aberrations de l'administration française, ses employés n'ont pas à être méprisés de la sorte. À moins que cela soit de l'humour, dans ce cas, je ne l'ai pas compris.

Toutefois, si l'on peut ne pas être d'accord avec les réactions de la narratrice, il faut reconnaître que la lecture est très agréable et le style de Nathalie Prince est très fluide. J'aime beaucoup ses constructions de phrases. Les descriptions du cimetière sont un plaisir à lire. La petite grille en fer forgé (même si elle dépasse de 6 cm la taille de la concession) me paraît très jolie.

Pour conclure, je dirai que si ce texte est un peu agaçant, de par le caractère de son personnage principal, il est tout de même très plaisant à lire et je suis heureuse d'avoir pu le découvrir.

Lien : https://leslecturesdugabian...
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Dans le prolongement du décès de son époux, Nathalie Prince relate son travail de deuil. L'immense souffrance ressenti à la disparition d'êtres chers et chéris.

Des mots consciencieusement choisis, des phrases ciselés qui ne peuvent que nous émouvoir. Un beau texte!

À lire au moment opportun.
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Je voudrais vous présenter aujourd'hui une nouveauté française sortie chez Flammarion. Un enterrement et quatre saisons est une mosaïque, celle de la vie d'une femme, un récit intime de l'auteure, Nathalie Prince, qui parle de sa vie après le décès de son époux, Christophe Prince.

Nathalie Prince est une femme, mère de 4 enfants, écrivaine, professeure à l'université et… veuve. Son mari, Christophe Prince, est décédé à la fin de l'année 2017, et dans ce livre, nous accompagnons Nathalie pendant une année, ses 4 saisons, après l'enterrement.

Parfois, les lecteurs se plaignent de rester à l'extérieur d'un récit, de sentir une distance. Avec ce livre, c'est tout le contraire. En refermant Un enterrement et quatre saisons, j'ai eu impression d'avoir lu le carnet d'une amie, comme si Nathalie s'était penchée vers moi et me faisait des confidences dans une ambiance feutrée. Les phrases sont justes, elles coulent naturellement dès le début jusqu'à la fin et ne sonnent jamais faux.

Nathalie nous raconte le grand amour, la complicité qui ont duré une trentaine d'années et se sont terminés brusquement. L'amour maternel aussi, car il y a les 4 enfants qui sont son moteur. Et la volonté de se reconstruire, de continuer le chemin tout simplement.
Les parties émouvantes alternent avec des situations grotesques, surtout là où l'administration française entre en jeu. Des lettres absurdes, la bureaucratie, le côté impersonnel font sourire ou même rire (surtout les réponses de Nathalie qui deviennent de plus en plus acerbes) mais ils montrent à quel point la machinerie administrative est déconnectée des gens en chair et en os. Mentions spéciales pour M. Ionescu ou alors pour Yves Delataille et les 6 cm qui dépassent au cimetière ! Les personnes en deuil doivent forcément se sentir comme des extraterrestres (ou prendre les autres comme des extraterrestres ?) en accomplissant des tâches administratives plus que compliquées ou en faisant face à des remarques maladroites.

Il est pour moi très difficile de vous résumer ce livre. Triste et lumineux à la fois, inspirant, il émeut et fait rire, il est très personnel mais touche à des questions universelles. Il est empreint de l'amour pour la vie, mais aussi pour la littérature. Un livre à lire absolument.
Lien : https://etsionbouquinait.com..
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❤️🖤ADORÉ 🖤❤️
La disparition de l'être aimé.
Un enterrement.
Quatre saisons.
Un deuil.
Des situations ironiques.
De l'humour.
De l'espoir.
De l'amour.
Une ode à la vie.
❤️UNE PÉPITE❤️
Nathalie nous raconte avec humour le chemin qu'elle a traversé, pas toujours facile, par moment sans queue ni tête, mais elle est forte et on sent son envie de vivre, pour lui, pour elle, pour ses enfants et pour Lola 🐶. Ce récit intime est magnifique, rempli de VIE et d'AMOUR.
À lire, à offrir, à prêter ❣️
Lien : https://www.instagram.com/p/..
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N. Prince aborde, avec humour et poésie, le décès de son mari. Elle raconte sa sidération puis sa reconstruction avec une justesse et une lumière enivrantes. C𠆞st un récit aussi personnel qu’universel. Une lecture magnifique qui nous met autant les larmes aux yeux que du baume au cœur.
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Un récit intime qui raconte le cheminement d'une veuve durant une année, un travail de deuil, après la mort de son mari. Les situations décrites sont incongrues, parfois cocasses. On passe d'anecdotes émouvantes à des lettres absurdes de la bureaucratie administrative française. L'auteur ne glisse pas du tout dans le pathos mais à mes yeux tatillonne beaucoup et règle ses comptes avec le contrôleur des impôts, le personnel municipal, le maire, les profs. le fil conducteur est la concession au cimetière que la veuve nomme sa « résidence secondaire » et qu'elle veut aménager à sa façon…Rappelons que Nathalie Prince est professeur de littérature, littérature fantastique, littérature jeunesse. YR
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L'auteur nous raconte ses états d'âme à l'occasion de son deuil après la perte de son mari, au gré des saisons qui passent ; Parfois émouvant, parfois drôle, parfois triste, parfois cocasse, parfois optimiste, on passe de la même manière entre toutes les émotions et toutes les saisons ;
Un bémol toutefois pour moi sur le chapitre relatif à l'Académie en Grèce, qui m'a un peu perdu dans des considérations philosophiques qui s'éloignaient du ton général du livre, et sur le chapitre sur le Greffière ou le contrôleur des impôts (certes l'absurdité de la situation était là, mais le dénigrement des personnes m'a un peu dérangé ) ;
Une belle lecture pour résumé sur un thème ô combien difficile ;
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