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Critique de karenbzh
Les trois petits pourceaux est l'adaptation d'un conte populaire oral du Pas-de-Calais écrit par Coline Promeyrat, illustré par Joëlle Jolivet et publié en 2000 aux éditions Didier Jeunesse dans la collection A petits petons. C'est l'une des nombreuses variantes du conte des trois animaux de la tradition orale française dont la version la plus célèbre est celle des Trois petits cochons.
Les illustrations représentent parfaitement les scènes décrites dans le texte et il n'est pas utile de savoir lire pour comprendre le conte, les images parlant d'elles mêmes. Les dialogues sont en vert et les passages importants et les onomatopées en orange. La taille des caractères n'est pas identique sur une même page, ce qui permet de ne pas rater l'essentiel, c'est idéal pour les jeunes enfants qui ne savent pas encore bien lire.
Lorsqu'on a en tête la version aseptisée des trois petits cochons, on peut être déboussolé par ce conte et surtout par son issue totalement inattendue. On s'apitoie d'abord sur le sort des deux premiers cochons qui, cette fois, n'échappent pas au loup. Mais on les oublie bien vite à la manière plus qu'inhabituelle dont le loup renverse les maisons...en pétant, ce qui déclenche inévitablement l'hilarité des enfants.
La fin est des plus comiques et détonante, le troisième cochon est toujours le plus malin, certes, mais on ne l'imaginait pas en mangeur de loups. le mot de la fin «Bien fait !» est illustré par le cochon, une serviette au cou et un os à la main. le gentil triomphe du méchant et s'en régale. Tel est pris qui croyait prendre !
Les illustrations représentent parfaitement les scènes décrites dans le texte et il n'est pas utile de savoir lire pour comprendre le conte, les images parlant d'elles mêmes. Les dialogues sont en vert et les passages importants et les onomatopées en orange. La taille des caractères n'est pas identique sur une même page, ce qui permet de ne pas rater l'essentiel, c'est idéal pour les jeunes enfants qui ne savent pas encore bien lire.
Lorsqu'on a en tête la version aseptisée des trois petits cochons, on peut être déboussolé par ce conte et surtout par son issue totalement inattendue. On s'apitoie d'abord sur le sort des deux premiers cochons qui, cette fois, n'échappent pas au loup. Mais on les oublie bien vite à la manière plus qu'inhabituelle dont le loup renverse les maisons...en pétant, ce qui déclenche inévitablement l'hilarité des enfants.
La fin est des plus comiques et détonante, le troisième cochon est toujours le plus malin, certes, mais on ne l'imaginait pas en mangeur de loups. le mot de la fin «Bien fait !» est illustré par le cochon, une serviette au cou et un os à la main. le gentil triomphe du méchant et s'en régale. Tel est pris qui croyait prendre !
