Il y a des dons qui vous aident à vivre, d'autres qui vous font rêver ou vous font sortir de vous même.
Vous les possédez, vous les maîtrisez, vous en tirez du plaisir. Mais que vous échoie le don absolu, celui qui vous possède et qui vous gouverne, celui dont votre corps n'est plus que l'instrument aveugle, et vous n'échapperez plus à la grande dévoration. « La tuerie m'ennuie, quand il y a du jus. Ça crie et ça salit. Il y en a partout, quand le ma... >Voir plus