AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
À la croisée des mondes tome 2 sur 3
EAN : 9782075085793
432 pages
Gallimard (01/06/2017)
4.19/5   4741 notes
Résumé :
Le jeune Will, à la recherche de son père disparu depuis de longues années, est persuadé d’avoir tué un homme. Dans sa fuite, il franchit une brèche presque invisible qui lui permet de passer dans un monde parallèle.

Là, à Cittàgazze, la ville au-delà de l’Aurore, il rencontre Lyra, l’héroïne des "Royaumes du Nord". Elle aussi cherche à rejoindre son père, elle aussi est investie d’une mission dont elle ne connaît pas encore toute l’importance.
>Voir plus
Que lire après À la croisée des mondes, tome 2 : La tour des angesVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (180) Voir plus Ajouter une critique
4,19

sur 4741 notes
Cittàgazze est un tiers-lieu, un monde parallèle qui n'est ni le nôtre, ni celui des Royaumes du Nord. C'est là que Will fait la rencontre de Lyra. Elle poursuit ses recherches sur la Poussière, il cherche son père disparu il y a des années dans le grand Nord, le laissant seul avec sa mère, traqués par des hommes mystérieux. Les deux adolescents devront unir leurs forces face aux bouleversements du monde, aux forces réactionnaires obnubilées elles aussi par la Poussière. Et à la guerre qui semble inéluctable.

Ce tome charnière nous permet de mieux saisir les liens entre les différents mondes qui se cristallisent dans l'histoire tourmentée de Cittàgazze. Des personnages très importants sont introduits, avant tout le Dr Malone et Will. J'ai aimé les clins d'oeil au monde de la recherche à travers la première qui a bien du mal à trouver les crédits pour financer un programme pourtant disruptif… Quant à Will, c'est un très beau personnage qui a beaucoup à apporter à Lyra avec sa détermination tranquille.

L'ampleur de l'intrigue et la densité imaginaire sont impressionnantes, mais peuvent aussi déconcerter face aux questionnements quasi-métaphysiques, aux va-et-vient incessants entre des mondes tangents, aux quêtes des multiples personnages qui tâtonnent dans la confusion la plus totale, souvent en suivant des visions, des convictions un peu inexplicables ou des indications de l'aléthiomètre. J'ai quasiment dû prendre des notes pour arriver à suivre chacun des fils narratifs. Les choses se précisent autour d'une mystérieuse prophétie et de la guerre qui se prépare : les camps se mettent en ordre de bataille avec leurs armes respectives. Cela reste toutefois très (trop) abstrait à cause de l'absence de Lord Asriel dont on ne peut que deviner les motivations.

Les bases n'en sont pas moins posées pour un affrontement impitoyable et une quête initiatique à la lisière des mondes et à la rencontre de la Poussière. On ne peut que se plonger dans le troisième tome pour voir comment Philip Pullman parvient à dénouer une intrigue foisonnante et pour tout dire un peu vertigineuse.
Lien : https://ileauxtresors.blog/2..
Commenter  J’apprécie          411
La tour des anges est le deuxième tome de la saga de Philip PULLMAN. Lecture pour Junior.

Nous avions quitté Lyra, petite fille énergique et pleine de ressources alors qu'elle avait retrouvé son père et que celui-ci avait ouvert un passage dans un autre monde.

Dans cet opus, Will rêve de retrouver son père disparu en expédition depuis 12 ans. Alors qu'il récupère des écrits de son père, deux hommes tentent de lui dérober son trésor. En se sauvant, il découvre sous un bosquet une passage qui donne accès à un nouveau monde.

Dans ce nouveau monde, par hasard, il rencontre Lyra. Ensemble, ils décident de partir à la recherche de leur père…

Les plus :
La lecture est assez rythmée et les rebondissements sont nombreux. Les personnages de Will et Dr Grumman (dont on parlait dans le premier tome) apportent un sang neuf à l'intrigue.

Les moins :
Nous naviguons entre deux mondes. J'ai été parfois perdu, ne sachant plus où j'étais.
Certaines longueurs, en rapport à l'origine du conflit qui se préparent alourdissent la lecture.

Même s'il est un peu moins bon que le tome précédent, j'ai eu beaucoup de plaisir à suivre les aventures de nos héros.

Je ne manquerai pas le dernier…
Commenter  J’apprécie          367
Il y a un truc que je n'ai jamais compris dans la saga des Royaumes du Nord. On commence par un très bon premier tome avec des idées intéressantes, un univers original, un monde qui ne demande qu'à se développer. Et puis après pendant deux tomes cela devient... N'importe quoi.

Toujours une foule d'idées mais balancées en vrac, s'entassant sans soucis de cohérence ou d'homogénéité. Au lieu de développer l'univers du premier tome il en rajoute toute une collection. Il en commence un, le laisse en plan, passe au suivant. De ce fait, beaucoup d'éléments introduits restent bancales. On passe un temps fou avec les Mulefas, qui sont bien braves mais ne servent quasi à rien dans l'histoire. En revanche les Gallivespiens y jouent un rôle important, mais on n'aura pas le plus petit aperçu de leur monde.

Le couteau qui permet de couper des fenêtres entre les mondes m'a paru un élément narratif trop gros et trop facile. Le monde des morts a l'air d'être là uniquement pour montrer que, d'après lui, s'il y a une vie après la mort elle n'est pas cool, et en cela sonne comme une très pâle copie de la magnifique nouvelle de Supervielle ‘Les Boiteux du ciel'.

Les retournements de Lord Asriel et de Mrs Coulter sont presque aussi subtiles que dans le catch. Tiens il est gentil, les méchants veulent le tuer. Tiens il est méchant. Tiens il est gentil. Tiens il y a deux chapitres elle était tellement méchante qu'elle pouvait contrôler les ombres, et maintenant elle se sacrifie pour tuer le grand méchant...

La détestation de Philip Pullman pour le religieux au sens très large l'amène également à de bizarres contradictions, qui encore une fois auraient pu être à peu près évitées s'il s'était cantonné à son univers de départ. Pour plusieurs de ses peuples il est amené à reprendre le concept d'athéisme primitif, totalement abandonné depuis Durkheim. Surtout, il s'embrouille complètement les pinceaux entre rationalisme et merveilleux. Il explique les caractéristiques des Mulefas via l'évolution ; mais par quel résultat improbable cette même évolution aurait conduit les humains à avoir un daemon et une mort qui les suit partout, il n'essaye même pas de l'expliquer.

Il semble perpétuellement hésiter entre matérialisme et fantastique avec ou sans symbolisme, ce qui l'emmène à des mélanges improbables ; mais il n'a pas non plus l'air de trop savoir s'il vise un public adolescent ou adulte. Dans le premier tome il arrivait à maintenir un équilibre global ; dans les suivants ça penche tantôt d'un côté tantôt de l'autre.

Philip Pullman peut dire ce qu'il voudra sur C. S. Lewis, l'univers de Narnia reste largement mieux construit que le sien, et la saga nettement mieux écrite. Reste, bien entendu, le clivage idéologique entre les deux oeuvres. Mais là, c'est à chacun de se faire son idée...
Commenter  J’apprécie          295
J'ai eu beaucoup plus de mal à entrer dans ce second tome. Il faut dire que la transition entre la fin des Royaumes du Nord et La Tour des Anges est assez abrupte. Pour ma part, je m'attendais à revoir aussitôt Lyra et continuer à découvrir ce qui lui était arrivée, mais au lieu de cela nous découvrons un nouveau personnage qui se trouve dans ce qu'on pourrait appeler « notre monde ». du coup, on perd de la magie du premier tome et je me suis demandée si je n'avais pas sous les yeux une tout autre histoire. Cela ne dure pas longtemps, c'est certain, mais je n'ai pas vraiment apprécié ce début de roman.

L'arrivée de Lyra au bout de quelques chapitres mais aussi la présence de Lee Scoresby et Serafina Pekkala donne tout de suite une toute autre dynamique à l'histoire. On retrouve peu à peu ce qui fait le charme des Royaumes du Nord, et personnellement, j'étais ravie de les retrouver. J'ai d'ailleurs été fort surprise de les découvrir sans Lyra, car dans le premier tome (si mes souvenirs sont bons), rien ne se passe sans la présence de l'enfant. Et c'était une très bonne chose car il faut dire que les adultes rendent la première partie du roman beaucoup plus palpitante. Les passages avec Will et Lyra contrastent assez au tout début, car ils sont plus dans une phase de découverte comme dans les premières pages d'un roman. Ils sont importants pour l'évolution de la relation entre les deux jeunes héros mais j'avoue m'être un peu ennuyée à certains moments. Fort heureusement, la suite est beaucoup plus aventureuse avec de nouveaux mystères, des rencontres, le danger qui se rapproche et des réponses à beaucoup de mes questions.

Lyra, bien moins présente, est beaucoup plus agréable à voir évoluer. Je l'avais trouvé très arrogante dans le premier tome, et j'avoue qu'elle a changé. Elle est plus mature, plus réfléchie. Elle commet des erreurs, mais contrairement au premier tome, je trouve qu'elle décide très rapidement de se repentir. Elle appréhende ses erreurs, les comprends et fait tout pour les corriger. Elle est toujours aussi impulsive et parfois très changeante, mais j'ai plaisir à la voir évoluer. Peut-être est-ce aussi le fait qu'elle n'est pas réellement le héros de ce roman. Pour moi, ce rôle incombe à Will qui m'a bluffée par sa maturité et ses actions tout au long du roman. J'ai beaucoup aimé ce personnage si adulte malgré sa jeunesse. Il est très fragile du fait qu'il ait du grandir trop vite mais en même temps, il rappelle le courage de Lyra et la force qu'elle dégage elle aussi. Les deux forment une très bonne combinaison, surtout que Will a une très bonne influence sur elle. du coup, la dynamique de ce duo est fort plaisante et donne une autre allure à l'histoire. Ce n'est plus seulement l'histoire de Lyra. Il y a d'autres enjeux tout aussi importants. Et puis, La Tour des Anges est plus sombre aussi. La perte de certains personnages est douloureuse, et les actions d'autres sont révoltantes au possible. Ce n'est plus seulement l'aventure d'une petite fille, nous sommes dans une épopée dangereuse qui meurtrit profondément ses protagonistes. Un monde plus adulte où l'innocence et les jeux n'ont plus leur place.

Du coup, dans l'ensemble, j'ai bien aimé ce second tome malgré la faiblesse du début. La saga ne sera définitivement pas un coup de coeur ou un roman que j'aurais envie de relire, et la lecture du troisième tome ne changera probablement pas mon avis, mais la complexité de l'oeuvre jusqu'à présent et les sujets traités en font un très bon roman d'aventures. Je trouve d'ailleurs que l'idée globale du combat contre l'Eglise et ce qu'elle représente toujours aussi audacieuse. Elle est très bien menée encore une fois, et il est facile de haïr le Magisterium et ses actes, car ils sont concrets. L'Autorité, par contre, reste encore un concept assez vague pour moi. J'ai mon idée d'un Dieu omniscient en quelque sorte, mais je ne vois pas comment le combat qui se profile peut avoir lieu. Pour moi, c'est une « idée ». du coup, je suis très intriguée par la suite des événements. Je me pose de nombreuses questions sur ce tome trois, car en fin de compte, il y a toujours cette grande part de mystère qui plane autour de l'histoire. C'est palpitant de ne pas tout appréhender. Mais je pense que je ferais une pause car j'ai peur que la lecture des trois tomes à la suite ne me fasse pas apprécier à sa juste valeur la fin de la trilogie (ce qui serait fort dommage).
Commenter  J’apprécie          244
L'aventure d'A la croisée des mondes avec ce tome 2 continue, même si mon âge est un multiple de l'âge "recommandé" pour découvrir cette saga. Mon plaisir fut pourtant décuplé par rapport au premier tome.

Dans ce deuxième opus, des créatures sans âme se nourrissant de l'attention des adultes ont surgi de je ne sais où. Les soi-disant Erudits, garants de la sécurité ont mélangé passion, pouvoir et savoir, n'étant ainsi plus capables de s'opposer à "L'autorité religieuse SUPRÊME".

Tout va mal puisque "l'enveloppe de l'univers s'est déchirée" et avec elle nos certitudes littéraires de lecteur. Car cette trilogie de jeunesse qui a fait date dans l'univers de la littérature jeunesse (et j'ai compris pourquoi) est une fiction passionnante, envoutante, magique au style plus que soigné.
Où se situent le Bien et le Mal quand l'Eglise cherche à supprimer les pulsions naturelles humaines par de vils agissements portant sur l'esprit des Hommes, en l'occurrence leur daemon ?

Cette histoire palpitante emplie de rebondissements et de suspense nous dit ce qu'on peut faire de la pensée de chacun(e) sous couvert d'un grand mystère qui, à mon avis, me portera jusqu'aux dernières pages. Selon le monde dans lequel le récit se déroule, un symbole est dessiné en haut de page pour qu'on s'y retrouve aisément. C'est malin.
Les principaux personnages s'y glissent de l'un à l'autre à la quête de la clef de leurs problèmes. Sur leur route, avec eux, on croise des spectres, des sorcières, des anges, des soldats, un chaman, des daemons... mais cette histoire ne ressemble à aucune autre. Oubliez tout ce que vous avez lu jusque-là et laissez-vous porter par ce récit époustouflant. Simplement.
Ah ces anglais, qu'est-ce qu'ils écrivent joliment pour la jeunesse (et les adultes restés jeunes).

Et ma fille (devenue adulte) qui ne cesse de me répéter :
- Tu vois que je lisais des choses intelligentes et bien écrites, quand j'étais petite. Mais encore fallait-il que tu le lises pour le VOIR.
Si j'avais su, j'aurais tenu ma langue.


Lien : http://justelire.fr/la-tour-..
Commenter  J’apprécie          320


critiques presse (1)
LaFabriqueaBulles
14 décembre 2018
J’ai entammé la lecture de ce nouvel opus avec scepticisme, ayant d’emblée jugé défavorablement le dessin, très différent de celui d’Oubrerie. Mais j’ai été agréablement surprise. L’ensemble fonctionne. Et même très bien.
Lire la critique sur le site : LaFabriqueaBulles
Citations et extraits (84) Voir plus Ajouter une citation
— Mes sœurs, dit Ruta Skadi, laissez-moi vous raconter ce qui est en train de se passer, et vous expliquer qui sont nos ennemis dans cette affaire. Car une guerre se prépare. J'ignore encore qui seront nos alliés, mais je sais qui nous devons combattre. Il s'agit du Magisterium, de l'Église. Depuis qu'elle existe, c'est-à-dire très peu de temps à nos yeux, mais très très longtemps d'après les critères des mortels, l'Église a toujours cherché à supprimer et à contrôler toutes les pulsions naturelles. Et quand elle ne peut pas les contrôler, elle les détruit. Certaines d'entre vous ont vu ce qu'ils faisaient à Bolvangar. C'était épouvantable, mais ce n'est malheureusement pas le seul endroit, ni la seule pratique de ce genre. Mes sœurs, vous ne connaissez que le Nord ; moi, j'ai voyagé dans les contrées du Sud. Il y a là-bas des Églises qui mutilent les enfants elles aussi, comme les gens de Bolvangar, pas de la même façon, mais de manière tout aussi horrible. Ils leur coupent les organes sexuels, oui parfaitement, aux garçons comme aux filles ; ils les tranchent avec des couteaux. Voilà ce que fait l'Église, et toutes les églises ont le même objectif : contrôler, détruire, anéantir tous les bons sentiments.
Commenter  J’apprécie          190
Il trouva une boîte de Coca qu'il lui tendit, avant de sortir une boîte d'œufs. La fille coinça le soda glacé dans ses mains avec délice.
- Vas-y, bois, dit Will.
Elle regarda la boîte en fronçant les sourcils. Apparemment, elle ne savait pas comment l'ouvrir. Will souleva la petite languette métallique et la boisson jaillit en moussant. La fille lécha la mousse avec méfiance, puis ses yeux s'écarquillèrent.
- On peut le boire ? demanda-t-elle d'une voix où l'espoir se mêlait à l'appréhension.
- Oui. Visiblement, ils connaissent le Coca ici aussi. Tiens, regarde, je vais en boire pour te prouver que ce n'est pas du poison.
Il ouvrit une autre boîte. L'ayant vu boire l'étrange breuvage, elle l'imita. De toute évidence, elle mourait de soif. Elle but si vite que les bulles lui remontèrent dans le nez ; elle s'étrangla, rota bruyamment et fronça les sourcils quand Will la regarda.

Commenter  J’apprécie          200
Il remit l'argent dans sa caisse et ouvrit sa bouteille avec le décapsuleur fixé sur le comptoir ; après quoi, il ressortit du café et marcha dans la rue, en tournant le dos au boulevard. De petites épiceries et boulangeries alternaient avec les bijouteries, les fleuristes et les portes masquées par des rideaux de perles qui s'ouvraient sur des maisons dont les balcons en fer forgé, chargées de fleurs, dominaient les trottoirs étroits. Le silence, ainsi enfermé, semblait encore plus profond.

Commenter  J’apprécie          230
Elle avait demandé : « Qui est ce garçon ? Un ami ou un ennemi ? »
L’aléthiomètre répondit : « C’est un meurtrier. »
Lyra se sentit immédiatement soulagée. Il savait où trouver à manger, il lui montrerait comment rejoindre Oxford, autant de qualités fort utiles ; ce qui ne l’aurait pas empêché d’être un froussard, un garçon à qui on ne peut pas faire confiance. Un meurtrier, en revanche, faisait un excellent compagnon. Avec lui, elle se sentait aussi protégée qu’elle l’avait été aux côtés de Iorek Byrnison, l’ours en armure.
Commenter  J’apprécie          160
- Qui es-tu ? demanda-t-il.
- Lyra Parle-d'Or.
- Tu vis ici ?
- Non, répondit-elle avec véhémence.
- On est où ici ? C'est quoi cette ville ?
- J'en sais rien.
- Tu viens d'où ?
- D'un autre monde. Il est rattaché à celui-ci. Où est ton daemon ?
Will ouvrit de grands yeux. C'est alors qu'il assista à un phénomène extraordinaire : le chat bondit dans les bras de la fille et se métamorphosa !
Commenter  J’apprécie          171

Videos de Philip Pullman (18) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Philip Pullman
La quête de la jeune Lyra touche à sa fin, puisque cette troisième saison devrait logiquement être la dernière : À la croisée des mondes est une trilogie. Même si Philip Pullman, à l'origine de cette adaptation pour le petit écran, a signé d'autres opus en lien avec les aventures de la jeune fille dans des mondes parallèles… On la retrouve ici en bien mauvaise posture, tombée entre les griffes de sa mère, la cruelle Marisa Coulter, qui la drogue pour la retenir captive dans une chapelle abandonnée… Qui de son père, l'impulsif et ambigu Lord Asriel, en conflit ouvert avec la tyrannique Autorité, ou de son ami Will, armé du redoutable poignard subtil, parviendra le premier à la secourir ? Un vent de révolte et de castagne souffle sur ces inédits qui poursuivent honnêtement l'entreprise des précédentes saisons. Des épisodes peuplés d'anges noirs et d'ours en armures, de terrifiants inquisiteurs et de valeureux aventuriers, d'enfants courageux et d'adultes corrompus, semés de clins d'oeil à de grandes épopées de la pop culture (d'Indiana Jones à Star Wars). Où les fans d'Harry Potter mesureront une nouvelle fois à quel point J.K. Rowling s'est inspirée de Pullman pour imaginer le destin du jeune sorcier à lunettes…
#hisdarkmaterials #séries #ocs Vous avez aimé cette vidéo ? Abonnez-vous à notre chaîne YouTube : https://www.youtube.com/channel/¤££¤25Instagram14¤££¤4fHZHvJdM38HA?sub_confirmation=1
Retrouvez-nous sur les réseaux sociaux ! Facebook : https://www.facebook.com/Telerama Instagram : https://www.instagram.com/telerama Twitter : https://twitter.com/Telerama
+ Lire la suite
autres livres classés : romanVoir plus
Les plus populaires : Jeunesse Voir plus


Lecteurs (16443) Voir plus



Quiz Voir plus

A la croisée des mondes 1 : Le Royaume du nord, de Phil Pulman

Comment se nomme le héros de l’histoire ?

Iorek BYRNISON
Lyra BELACKA
Marissa COULTER

7 questions
199 lecteurs ont répondu
Thème : À la croisée des mondes, tome 1 : Les royaumes du Nord de Philip PullmanCréer un quiz sur ce livre

{* *} .._..