Citations sur Campus drivers, tome 2 : Bookboyfriend (105)
C’est le monde à l’envers avec elle, j’ai d’abord craqué pour sa personnalité, et c’est seulement maintenant que je prends pleinement conscience de sa beauté.
"— Je veux quelqu'un qui soit tellement fou de moi qu'il utilisera ses pouvoirs pour me sauver la vie alors que c'est interdit." (p.101)
J’ai laissé ses problèmes s’agrafer à mon cœur, je me suis enfermée dans mes livres regorgeant de belles histoires rassurantes qui finissent toujours bien, j’ai combattu dans mon quotidien tout ce qui ressemblait de près ou de loin à une faiblesse amoureuse.
Vous êtes beaucoup plus drôle que votre fils. C'est encourageant pour lui, je me dis que c'est probablement dans ses gênes et qu'il finira par être marrant quand il aura atteint la puberté.
- (...) La morale, c'est que la fille qu'on cherche est souvent juste sous nos yeux.
Je la dévisage pendant qu'elle me fixe en silence. J'ai peut-être été un poil trop direct en lui disant ça, son mutisme me donne des suées.
- Ta transformation est stupéfiante, elle articule en hochant la tête. Entraîne-toi à répéter ça plusieurs fois et ça aura presque l'air naturel.
Elle n'a rien compris à mon sous-entendu, mais je n'ai pas dit mon dernier mot.
D'accord, il est têtu, insupportable, et neuf fois sur dix, j'ai envie de lui griffer le visage, mais il accorde de l'importance aux choses...importantes.
"Nous sommes les Campus Drivers, nous sommes amis, mais là, alors que je vois sur leurs visages la même angoisse que sur le mien, nous sommes des frères." (p.14)
"- Bon, je laisse tomber l'approche sympathique. C'est quoi, ton problème ?
- Ah ! Ça y est, je suis de retour dans le bon univers. J'avais l'impression d'avoir atterri dans un monde alternatif où tu aurais été agréable ! Il ironise en lâchant un regard circulaire.
- Parle, j'ordonne à bout de patience.
- Tout va très bien.
- Ouais, bien sûr. Tu portes la joie de vivre sur ton visage. C'est si communicatif que j'ai envie de m'ouvrir les veines avec l'embout du sucrier."
Plus j’analyse la situation, plus je me dis que je gâche ma vie. Je n’expérimente rien de peur de souffrir, et au final, je souffre de ne rien expérimenter.
-Non, ça va ! je les rassure en souriant. Et puis, j’ai eu un chien qui s’appelait Lewis. Il était bruyant et un peu bizarre... mais très affectueux, je conclus en lui tapant sur l’épaule.
-Caresse-moi, poupée, il susurre en jouant des mécaniques.
-Je lui ai roulé dessus en faisant une marche arrière, j’asseye d’une voix ferme. Je crois qu’il a souffert.