AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
4,29

sur 1463 notes
5
70 avis
4
66 avis
3
19 avis
2
3 avis
1
0 avis

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Bof, bof, bof et rebof.
Le premier tome m'avait passablement plu.
Le deuxième m'a achevé.
Ces histoires à l'eau de rose sont sans surprise. La trame est toujours là même. Un amour qui semble impossible au début et qui finit par un mariage.
Les Bridgerton sont tellement parfaits qu'ils finissent par m'agacer.
J'espère qu'il ne me prendra pas l'envie de lire la suite !
Commenter  J’apprécie          260
Cela se lit très vite et au départ, je retrouvais la sensation que j'avais eue avec le premier tome : on a conscience qu'on lit de la romance sans intérêt et pourtant, on se surprend à sourire et à lire sans plus pouvoir s'arrêter. C'est assez fascinant, quand on y pense. Sauf que j'ai très vite déchanté.

Concernant le livre 3 :
Le côté Cendrillon, franchement, c'est d'un cliché, avec le prince charmant qui devient exécrable quand on lui résiste, et la petite bonne incapable de lui résister. Ces passages m'ont profondément agacée. Je m'attendais à mieux que cela quand même. L'autrice n'apporte rien, aucune originalité, et j'ai eu un peu de mal à reconnaître Bénédict ! J'aime beaucoup son ambiguïté dans la série, ainsi que le fait qu'il soit très proche d'Eloïse. On ne retrouve rien de tout ça dans le livre, c'est un peu dommage. J'avais déjà préféré l'adaptation à la première intégrale, c'est encore plus criant sur celle-ci.

Concernant le livre 4 :
J'étais moins emballée dès le départ car Colin est un personnage que j'apprécie moins. Pourtant, cela semblait moins cul-cul-la-praline que l'histoire de Bénédict, et c'est l'occasion de se rendre compte que la série a pris énormément de liberté avec les livres, pour le meilleur, certes, mais quand même. Là encore, j'ai déchantée. Colin m'a grave tapé sur les nerfs. Je lui ai trouvé un côté condescendant très désagréable ! Alors oui, on me dira qu'à l'époque, la place des femmes dans la société était sans doute telle que ces messieurs se sentaient éminemment supérieurs. Il n'empêche, l'autrice n'était pas obligée d'appuyer le propos de cette manière.

En résumé, C'était une bonne grosse déception ! Je crois vraiment que ce sera le dernier tome que je lirai.
Commenter  J’apprécie          53
Que diable allais-je faire dans cette galère ? Je me permets aujourd'hui d'emprunter les mots de Molière pour illustrer mon sentiment après la lecture de l'intégrale 2 de la chronique des Bridgerton, de Julia Quinn. Les amateurs de romance vont encore me crucifier sur place avec leur légitime question : “Mais enfin pourquoi tu t'acharnes à en lire si tu n'aimes pas cela ?“ Pour la même raison que je n'abandonne que très rarement une lecture commencée : parce qu'on ne sait jamais !

On m'a déjà opposé des dizaines d'arguments, ne vous fatiguez pas à chercher. Il n'empêche qu'une romance, quand elle est historique, par exemple, et qu'elle s'intéresse à autre chose que les mamours nombrilistes et passionnés de ses deux héros, peut me plaire. Si, si, ça s'est déjà vu ! En l'occurrence, c'est complètement raté, mais il faut croire que, quand il s'agit de lecture, je suis d'un naturel optimiste. En outre, c'est aussi et surtout portée par la série de la brillante Shonda Rhimes que j'ai commencé la saga, avouons-le.

Bref, on retrouve dans cette seconde intégrale deux autres des enfants Bridgerton, à savoir Benedict et Colin, dans leur quête du grand amour. J'ai été très déçue par l'une et l'autre histoire. La première n'est qu'une pâle copie du conte de Cendrillon. Très sincèrement, je n'ai pas vu l'intérêt, car je ne parle pas d'une revisite avec un quelconque apport, non, je parle d'une copie quasi conforme, avec la marâtre qui traite sa belle-fille comme une boniche, le gant à la place du soulier de vair, etc. … À quoi bon ? Dans la série, Benedict bénéficie au moins d'une ambiguïté qui lui donne de l'intérêt. Ici, rien.

Quant à Colin… Il n'a jamais fait montre du moindre intérêt pour Pénélope, mais voilà qu'elle a perdu dix kilos alors forcément, elle devient tout de suite beaucoup plus intéressante ! On s'aperçoit qu'elle a de magnifiques reflets dans les cheveux, des paillettes dans les yeux et j'en passe et des meilleures... En outre, Julia Quinn a fait de lui un personnage puant de condescendance et de paternalisme. Au secours ! J'avais beau essayer de me dire qu'à cette époque, les femmes étaient considérées comme de petites choses fragiles, et bla bla bla, et bla bla bla, j'avais juste envie de lui taper dessus.

Mais que diable allais-je donc faire dans cette galère ? La première intégrale (Daphnée & Anthony) ne m'avait déjà pas emballée plus que cela, mais là, c'est la dégringolade. Cela se lit très vite heureusement, mais je crois que ce sera ma dernière excursion livresque du côté des Bridgerton et de Julia Quinn. Quand je ne m'agaçais pas, je m'ennuyais ferme, et lorsque je regarde ma pile à lire, je me dis que j'ai bien mieux à faire.
Lien : https://etemporel.blogspot.c..
Commenter  J’apprécie          40



Lecteurs (3698) Voir plus



Quiz Voir plus

Quelle guerre ?

Autant en emporte le vent, de Margaret Mitchell

la guerre hispano américaine
la guerre d'indépendance américaine
la guerre de sécession
la guerre des pâtissiers

12 questions
3174 lecteurs ont répondu
Thèmes : guerre , histoire militaire , histoireCréer un quiz sur ce livre

{* *}