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EAN : 978B088FWZJJK
304 pages
(10/05/2020)
3.94/5   72 notes
Résumé :
Meryl est une jeune danseuse brisée en plein élan par un accident.
Elle trouve refuge à La Petite Fabrique, un café fréquenté par des personnes meurtries par l’existence, en y devenant serveuse.
Elle y rencontre Robin, sportif qui cache sa blessure derrière un comportement asocial.
Une tendre histoire d’amour se tisse au fil des pages de ce roman feelgood, sous le regard bienveillant d’êtres qui cherchent à se reconstruire.
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Critiques, Analyses et Avis (26) Voir plus Ajouter une critique
3,94

sur 72 notes
D'Alice Quinn je ne connaissais que ses Enquêtes à la Belle -Epoque ,c'est donc tout naturellement que j'ai sollicité son dernier roman sur la plate-forme simplement, roman publié en auto-édition. Je la remercie beaucoup pour sa confiance.
Meryl est danseuse, mais un grave accident a brisé sa carrière. La voilà descendue dans le Sud pour sa rééducation ,des trombes d'eau s'abattent sur la ville et son destin va prendre un chemin inattendu lorsqu'elle franchit le seuil de la Petite fabrique, un café pas comme les autres tenu par Amanda et Antoine, ils ont besoin d'une serveuse, ce sera Meryl.
Alice Quinn avait envie d'écrire un roman feel-good, et le personnage de cette jeune danseuse fracassée dans la vie et dans sa tête s'est imposé à elle. Elle était en pleine écriture lorsque Wuhan a occupé les écrans.. Alors la pandémie s'est imposée dans le décor. Alice Quinn a réussi à trouver l'équilibre parfait entre fiction et réalité , chapeau.
J'ai savouré ce roman bien loin de mes lectures habituelles, j'ai apprécié la qualité de l'écriture, la consistance des personnages avec leur faiblesse et leur force , des personnages capables de résilience pour eux et pour les autres.
Un roman feel-good de qualité que je vous recommande.
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La Petite Fabrique, c'est un bistro, quelque part sur Cannes, tenu par Amanda et Antoine. C'est le refuge d'Amédée, un vieil aveugle, qui s'y pose chaque jour en compagnie de sa chienne Flora. C'est aussi là que Robin vient tous les jours tenter d'oublier depuis une table du fond qu'il est responsable de l'accident qui a cloué son frère dans un fauteuil roulant. Et surtout, c'est à la Petite Fabrique que Meryl, dont le rêve d'être danseuse étoile s'est fracassé sur le capot d'une voiture, trouve un job de serveuse, lui permettant de regagner peu à peu son indépendance.

Annoncé d'emblée comme un roman feel-good, le livre tient toutes ses promesses après avoir rassemblé tous les ingrédients du genre. Bien sûr, ça frôle la caricature à plusieurs moments tant les personnages sont tous représentatifs d'une personnalité en particulier. Surtout que l'autrice a intégré la crise sanitaire de 2020 à son intrigue, ce qui oblige bien entendu chaque personnage à réagir aux déclarations successives du gouvernement et aux bavardages de la presse. Mêler ce type de situation anxiogène à un feel-good, il fallait oser; et l'autrice a réussi une belle performance.
Vu le contexte, situer l'action dans un bistro, et y rassembler des personnes souvent seules chez elles dont une infirmière dont le fils est sous la garde d'un père violent, c'était joliment pensé. Bien entendu, feel-good oblige, tout s'arrangera pour tout le monde, mais si ça peut éveiller l'esprit de certains qui ont vécu cette période comme une parenthèse enchantée leur permettant de ne pas aller bosser ou de gérer leur névrose hypocondriaque, c'est déjà ça de pris. Parce qu'on n'a pas souvent parlé de ces gens coincés à 5 ou 6 dans un 30 mètres carrés sans balcon, de ces personnes âgées qu'au prétexte de protéger on faisait crever de solitude, des ces enfants enfermés avec un parent violent, de ces hommes ou des ces femmes confinés avec un partenaire à la main lourde... Dans ce roman, ce type de réflexion est subtilement amenée et n'alourdit pas l'intrigue.

Je ne suis pas une adepte du genre, c'est surtout que je voulais un truc léger en audio et que ce titre était repris dans l'abonnement Audible. J'avoue avoir eu quelques difficultés au début avec la lectrice qui s'est ingéniée à prendre différentes voix pour incarner les personnages, pas toujours avec bonheur. Avec le temps, je me suis cependant habituée et ne regrette pas ma pioche.
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La Petite Fabrique du bonheur d'Alice Quinn, Présentation
En 2006, Meryl est une petite fille dont le père, professeur de sport, n'arrête pas de l'entraîner afin qu'elle passe les concours pour intégrer les meilleures écoles de danse. Mais Meryl n'aime pas franchement la danse. Elle souhaite juste que son père lui dise qu'il l'aime. le drame arrive, le père de Meryl meurt. Et elle veut le rejoindre, elle continue donc à s'entraîner seule et de plus en plus dur.

En 2020, pluies diluviennes. Amanda sort en trombe de la Petite Fabrique. Elle ramène Meryl et un chat, tous deux trempés.

Avis La Petite Fabrique du bonheur d'Alice Quinn
Je ne suis pas particulièrement attirée par les romans feel-good. J'en lis très peu par an. Je dois dire que, sur certaines lectures, j'ai été échaudée avec des personnages mièvres sans aucune consistance, aux comportements adolescents, même si la trame de l'histoire peut être bonne. Je suis une habituée des romans d'Alice Quinn et de ses personnages forts. Après la fin de deux séries, quand j'ai vu qu'elle proposait ce roman à la lecture, je me suis invitée et elle a accepté l'envoi de ce roman. Je remercie énormément Alice Quinn. Alors, oui, nous avons un roman feel-good avec de nombreux personnages aux passés cassés, qui se cachent et qui réagissent différemment à ce passé, sous fond de crise Covid-19.

En premier, l'héroïne, Meryl est une jeune femme, danseuse. Entraînée très durement par son père pour passer les meilleurs concours, entrer dans les meilleures écoles de danse, le drame arrive très vite lorsqu'il décède. Elle était encore une petite fille. Et toute cette souffrance accumulée, elle en fait une force pour essayer d'atteindre le plus haut niveau même si elle n'a pas le corps et le physique pour ça. Tout ça, pour atteindre son père et qu'il lui dise qu'il l'aime. Mais Meryl doit affronter un grave accident et remonter la pente est plus que difficile. Son objectif, danser absolument et vaincre sa souffrance. Pour ça, elle a tout quitté et elle trouve un emploi à La Petite Fabrique. Elle va s'ouvrir, elle va être de bon conseil, elle va aider, elle va tomber amoureuse. Tout ça, c'est nouveau pour elle qui n'a jamais voulu s'ouvrir.

Les personnages d'Alice Quinn font face à des expériences imposées par la vie, que ce soit un accident ou autre. Ils culpabilisent beaucoup mais il suffit d'une rencontre pour que ces personnages puissent montrer leur véritable caractère et leur volonté de vivre, de s'ouvrir. L'union fait la force. Cela se révèle encore ici. En distillant les informations de chacun au fur et à mesure, au gré des situations, Alice Quinn permet au lecteur d'aimer ses personnages et tous ses personnages même les influenceurs qui recherchent des like mais pour la bonne cause. Les réseaux sociaux, ce n'est pas que le mal. le lecteur peut aussi s'identifier à eux car il y a toujours quelque chose que l'on peut reconnaître et qui peut concerner sa propre vie.

Oui, l'actualité coronavirus est amplement détaillée et reprend tous les évènements, toutes les allocutions jusqu'aux tout début du confinement. Oui, l'actualité des hôpitaux est détaillée avec les manques qui existent et qui ont fait que tous s'étaient mis en grève avant la crise. Oui, l'actualité de ces fameuses élections municipales est détaillée et chacun donne son avis à ce sujet dans son roman. Avis qui rejoint le mien sur ce sujet. Oui, les personnages donnent leur avis sur la chloroquine et le Professeur Raoult. Oui, par la voix De Paola, on peut connaître la situation en Italie et comment le virus s'est développé, un peu avant nous. Oui, certains d'entre nous ont pu commencer tôt les gestes barrière afin de ne pas infecter les autres.

Alice Quinn, dans nombre de ses romans, détaille l'actualité. Et surtout, elle n'oublie pas ceux qui souffrent, comme les femmes et les enfants battus, qui font partie de son histoire, de ces entreprises également qui se sont endettées et qui doivent fermer. Cela était présent avant la crise sanitaire, cela sera encore plus le cas après, malheureusement.

J'ai adoré ces goûters littéraires autour d'une recette évoquée dans un livre, lu en public par Robin pour Amédée, le monsieur âgé non-voyant. Goûters qui ont amené du monde à La Petite Fabrique et qui permet à tous ces clients, patrons et employé d'être une grande famille. J'ai encore plus adoré Flora et Spritz, les deux animaux du roman. Pourquoi ? J'avais l'impression de les avoir sous les yeux. Animaux qui réagissent entre eux, comme tout animaux, mais aussi avec les êtres humains, les situations.

Je remercie Alice Quinn. Roman lu en trois jours, pressée, pressée de tourner les pages même si je ne voulais pas les quitter. Je suis repartie avec le baume au coeur. J'ai passé un très bon moment de lecture. Je souhaite à La Petite Fabrique du bonheur de faire encore des heureux parmi ses lecteurs.
Lien : https://livresaprofusion.wor..
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Alice Quinn a écrit ce roman entre Janvier et Mai 2020. C'est important pour comprendre. Comme dans notre vie pendant cette même période, un inconnu s'est invité dans son récit. COVID 19, le « fameux coronavirus » a sans doute modifié son histoire comme il a modifié nos vies.

Au départ, c'est l'histoire d'une jeune femme, Meryl, qui a eu un accident alors qu'elle postulait pour une prestigieuse école de danse. Sérieusement blessée, elle essaie de redonner du sens à sa vie et trouve un emploi dans un café : « La Petite Fabrique ». C'est un lieu improbable comme il en existe parfois dans la vraie vie, avec des patrons qui essaient de ne pas vendre trop cher les boissons et les pâtisseries, qui donnent une vraie place à chaque client, une écoute et un échange mais qui, de ce fait, galèrent financièrement. Dans cet espace, pas mal de personnes gravitent, d'autres vont arriver petit à petit et il y a ceux qui en dehors, auront un lien avec l'un ou l'autre des protagonistes que l'on découvre au café.

L'auteur rend rapidement tout ce petit monde très humain, très « visuel », ils deviennent vite des familiers du lecteur La logeuse italienne de Meryl, très au fait de l'actualité parle d'un virus mais les médias et gouvernants français expliquent qu'il ne faut pas s'inquiéter. le lecteur découvre les réactions des uns et des autres…. C'est hyper réaliste, ancré dans ce qu'on a vu et entendu depuis des semaines. Au passage, Alice Quinn écorche les contradictions de nos hommes politiques, leurs mensonges, leurs silences coupables, leur façon de détourner la conversation ou les questions quand ça les dérange. Elle nous rappelle que des hommes et des femmes se sont battus, ont manifesté pour l'hôpital et que…. vous connaissez le résultat…. Les références sont nombreuses et malheureusement véridiques. La grande force de l'auteur a été de les intégrer à son histoire. Je trouve ça très bien fait et astucieux, parce que, l'air de rien, grâce à son livre, on gardera une trace de certaines absurdités surprenantes dont la plus forte a été : allez voter, ça ne craint rien pour le lendemain dire : restez chez vous…. Pour autant, ce n'est pas un livre politique, Alice ne se pose pas en justicière masquée (c'est le cas de le dire), elle présente des faits, des phrases, des réflexions qu'on a tous vus ou entendus et qui nous ont fait (ou pas ) bondir. Et comme c'est glissé au milieu des chapitres où nous suivons Meryl et ceux qu'elle côtoie, ça reste léger. Néanmoins le message est là.

Dans ce recueil, les personnages évoluent tout doucement, à leur rythme, comme s'ils prenaient en compte leurs besoins, leurs désirs et se mettaient à oser. Ils avancent vers un mieux être pour la plupart et c'est normal le but d'un texte feel good, c'est de nous faire du bien. J'ai particulièrement apprécié deux éléments : des individus crédibles, humains avec leurs forces et leurs faiblesses, qui, pour la plupart, croient en l'Homme ; et un contexte particulier, celui de l'approche du confinement avec un panel de réactions, comme nous l'avons réellement vécu. Tout cela donne un ensemble équilibré, abouti et porteur de sens. L'écriture est délicate, teintée d'humour de bon aloi. le style est fluide et c'est un très bon moment de lecture. Il n'y a pas de mal à se faire du bien et cet opus met de bonne humeur, ce n'est pas négligeable, n'est-ce pas ?

Cassiopée qui a été confinée, masquée mais jamais résignée

NB : Ce roman concourt pour Les Plumes Francophones.
Lien : https://wcassiopee.blogspot...
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2006.

Meryl est l'enjeu des rêves de son père. Pour être sa fille parfaite, elle s'entraîne pour intégrer une prestigieuse école de danse. A l'inverse des autres pères, le sien ne fait que l'entraîner, ne fait que la juger, elle est devenue sa marionnette, sa chose. Pour espérer son amour, elle s'auto-culpabilise en permanence comme ce fut le cas lorsqu'elle n'a pas été retenue à l'audition dont son père rêvait pour sa carrière de danseuse étoile.

Janvier 2020.

C'est sous un déluge que Meryl arrive à La Petite Fabrique, le café local tenu par Amanda et Antoine où se côtoient des habitués comme Hélène, une bibliothécaire qui fait tout pour rester invisible ; Amédée, aveugle accompagné de sa chienne Flora, Amanda qui tient à sauver les âmes perdues, humains ou animaux…
C'est ici que Meryl qui se sent coupable de tout va découvrir qu'elle peut aider beaucoup de gens et va retrouver goût à la vie.

Serveuse, elle se sent bien dans La Petite Fabrique avec ses habitués et notamment Robin qui est comme elle, une âme égarée.

Réciproquement, ils sont attirés l'un par l'autre mais leur culpabilité et leurs secrets vont-elles ruiner toutes tentatives de premier pas ?

Meryl retrouvera-t-elle le goût de son rêve perdu avant même qu'il ait commencé ? Robin saura-t'il trouver un sens à sa vie qui lui paraît si vide, si inutile ?
Le combat s'annonce rude et il leur faudra lutter pour une fin heureuse !


Sur fond de Coronavirus, Alice Quinn dévoile un beau feel-good sur ces lieux improbables où on soigne les vies brisées.

Les rêves, les espoirs, l'amour… La liberté d'Alice et celle que prennent ses personnages sont une force et que dire de la manière dont perçoivent les habitués de la Petite Fabrique du confinement, des mesures du gouvernement… C'est ce qu'ont pensé les français, de par leurs avis, leurs caractères, on a l'impression d'échanger nos points de vue avec eux.

Plus qu'un feel-good, Alice Quinn nous fait connaître des gens pour qui l'entraide est le quotidien, un moment de partage où le temps de notre lecture, on a l'impression de faire partit nous aussi d'une famille. Hommage à mes racines italiennes, l'auteur donne son avis sur le plan mis en place par le gouvernement face à cette pandémie, amenant une réflexion et une prise de conscience.

La résilience et la renaissance quand tout nous semble perdu, que notre vie est décidée d'avance, l'impression de n'être plus libre de ce que l'on veut être, d'être incompris, de ne pas se sentir intégré dans une société où on ne rentre pas dans les cases… Cette histoire a fait écho en moi de par les ressemblances avec Meryl, je suis très fière d'avoir pu découvrir son histoire grâce à la gentillesse de son auteur.

Dans ce lieu si accueillant, Meryl va prendre confiance en elle et se lancer dans des initiatives pour éviter que son refuge ne soit fermé.

Un club de lecture entre mélange des sens et du goût, un chat particulier, un bon chocolat chaud, une écoute et un intérêt dénué d'intérêts pour chacun, La Petite Fabrique a une âme, celle des nombreuses personnes qui veulent une fin heureuse.

Tout comme ce virus dont on ne sait quasiment rien et qui a semé la paranoïa dans toute la France, le Coronavirus sème le chaos parmi les habitudes des clients quotidiens de la Petite Fabrique…

N'hésitez pas à découvrir le nouveau roman d'Alice Quinn, une vraie bouffée d'oxygène et de vie qui permet une certaine réflexion sur ce qui est important en ces temps où notre vie n'est qu'un chiffre pour certains et où l'humain est au coeur de la vie pour d'autres !

Prenez le temps de vous installer confortablement avec un bon chocolat chaud accompagné d'une madeleine au cours d'une séance de lecture avec un chat polydactyle sur vos genoux… Vous êtes au bon endroit, à La Petite Fabrique où on répare les âmes brisées !
Lien : https://leboudoirdulivre.wor..
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Citations et extraits (7) Voir plus Ajouter une citation
La fiction est primordiale chez les humains. Elle nous permet de sortir de notre animalité. Elle nous aide à nous construire, à nous définir. Beaucoup de penseurs ont écrit sur la «fabulation», le désir de se raconter des histoires, le besoin de donner un sens à ce que nous vivons. Car croire à ce qui n’existe pas nous permet d’accepter la réalité, parfois si dure.
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Pendant qu’il lit, il ne pense plus à ses soucis. Il ne sent plus sa rage ni sa culpabilité. Il s’oublie. Il relativise. Il se prend pour un autre.
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Elle aime quand c'est son tour d'ouvrir le café le matin et que Spritz se précipite dans ses jambes en se frottant et en ronronnant.
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Parfois, la souffrance est un moyen d’atteindre un moment de plénitude qui balaiera tout.
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Au bord du vide elle a compris le plus important : que seul vole celui qui ose le faire.
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